Il est possible que vous ayez des doutes sur les performances de vos requêtes SQL, voici comment avoir une idée rapide de ce qui tourne
On va utiliser ACS dans Base de données choisir SQL Performance center
Vous avez un onglet Affichage des instructions
Vous choisissez le filtre à appliquer, ici on choisit les actives, vous pouvez être beaucoup plus pertinent en limitant votre choix.
Une fois que vous avez repéré une requête candidate, il vous suffit de faire un clic droit sur celle ci et vous pouvez lancer directement Visual Explain, qui vous expliquera le comportement de cette requête, vous pourrez alors faire les ajustements qui s’imposent
Le résultat dans V-E
PS: Le principal critère de performance sur SQL, c’est les index, pensez à surveiller les suggestions faites par Index Advisor
L’idée est de limiter les requêtes selon certain critères (de temps d’exécution, d’espace temporaire occupé etc… ) Jusqu’à présent c’était pas toujours simple et un peu binaire
Ajout d’un seuil à contrôler
Se fait par la procédure QSYS2.ADD_QUERY_THRESHOLD
Vous devez indiquer : – Un nom ici Seuil – Le seuil à contrôler – Une valeur pour ce seuil – Un filtre d’inclusion ou d’exclusion ici inclusion du profil PLB – Un délai de rafraichissement en seconde
Vous avez une vue qui permet de voir les seuils définis sur votre partition
C’est la vue QUERY_SUPERVISOR
exemple
voir tous les seuils définis pour Query supervisor
SELECT * FROM QSYS2.QUERY_SUPERVISOR ORDER BY THRESHOLD_TYPE, THRESHOLD_VALUE DESC;
;
Vous pouvez indiquer un programme d’exit QIBM_QQQ_QRY_SUPER
ci joint un exemple basique pour expliquer ce qui ce passe
Il existe un grand nombre d’API aux fonctionnalités diverses dont certaines nous permettent de récupérer des données structurées dans différents formats (XML, JSON, …).
Grace aux fonctions SQL de l’IBMi nous pouvons récupérer ces données pour les insérer dans les fichiers de la base de données.
La commande SQL suivante permet d’afficher les données dans un champ DATA
SELECT DATA FROM (values char(SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('https://api.openweathermap.org/data/2.5/weather?q={city name}&appid={API key}&mode=xml',''), 4096)) ws(data);
Sortie API en JSON
La commande SQL suivante permet d’afficher les données dans un champ DATA
SELECT DATA FROM (values char(SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('api.openweathermap.org/data/2.5/weather?q={city name}&appid={API key}',''), 4096)) ws(data);
Sortie API en HTML
La commande SQL suivante permet d’afficher les données dans un champ DATA
SELECT DATA FROM (values char(SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('https://api.openweathermap.org/data/2.5/weather?q={city name}&appid={API key}&mode=html',''), 4096)) ws(data);
Récupération des données
En XML
On crée un fichier qui contiendra les colonnes que l’on veut récupérer (Ville, Température en cours, date, …)
CREATE TABLE GG/METEODB (VILLE_ID DECIMAL (9, 0) NOT NULL WITH DEFAULT, VILLE_NOM CHAR (50) NOT NULL WITH DEFAULT, TEMPERATURE DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, TEMP_MIN DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, TEMP_MAX DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, DATE_MAJ CHAR (20) NOT NULL WITH DEFAULT);
Récupérer les données de l’API dans le fichier créé :
INSERT INTO GG.METEODB select xdata.* FROM xmltable('$doc/cities/list/item' PASSING XMLPARSE(document SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('https://api.openweathermap.org/data/2.5/find?lat=45.75&lon=4.5833&cnt=10&appid={API key}&mode=xml','')) AS "doc" COLUMNS ville_id decimal(9, 0) PATH 'city/@id', ville_nom varchar(50) PATH 'city/@name', temperature decimal(5, 2) PATH 'temperature/@value', temp_min decimal(5, 2) PATH 'temperature/@min', temp_max decimal(5, 2) PATH 'temperature/@max', date_maj varchar(20) PATH 'lastupdate/@value' ) as xdata;
En JSON
Contrairement à XML, on peut créer tout de suite un fichier qui contiendra les colonnes que l’on veut récupérer.
CREATE TABLE GG.METEOBD (VILLE_ID DECIMAL (9, 0) NOT NULL WITH DEFAULT, VILLE_NOM CHAR (50) NOT NULL WITH DEFAULT, TEMPERATURE DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, TEMP_MIN DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, TEMP_MAX DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, DATE_UX_MAJ DECIMAL (12, 0) NOT NULL WITH DEFAULT)
Récupérer les données de l’API dans le fichier créé :
En utilisant une API de LA POSTE qui ne nécessite pas d’inscription au préalable, ni d’identification. Nous pouvons réaliser un programme qui nous aide à retrouver une commune à partir d’un code postal, dans l’optique d’aider au remplissage de certains formulaires. On crée un fichier temporaire en interrogeant directement l’API.
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2021/07/GG-2.jpg343343Guillaume GERMAN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngGuillaume GERMAN2021-06-09 13:56:312022-04-12 12:28:31UTILISATION DES API EN SQL
Voici quelques variables que vous pouvez utiliser dans vos requêtes SQL
par exemple Client_Ipaddr qui est arrivée avec la TR4
Quelques registres et variables d’environnement
select current time as heure_en_cours, current date as date_en_cours, current user as utilisateur_courant, current timestamp as timestamp_en_cours, CURRENT CLIENT_ACCTNG as Client_connexion, CURRENT CLIENT_APPLNAME as Client_Application, Current timezone as Fuseau_Horaire, Current server as Current_Server , current path as Current_path, CURRENT CLIENT_APPLNAME as Programme_client, CURRENT CLIENT_USERID as Utilisateur_client, CURRENT CLIENT_PROGRAMID as Programme_client from sysibm.sysdummy1
Quelques Variables globales dans SYSIBM
select SYSIBM.Client_Host as Client_Host, SYSIBM.Client_Ipaddr as Client_Ipaddr, SYSIBM.Client_Port as Client_Port, SYSIBM.Package_Name as Package_Name, SYSIBM.Package_Schema as Package_Schema, SYSIBM.Package_Version as Package_Version, SYSIBM.Routine_Schema as Routine_Schema, SYSIBM.Routine_Specific_Name as Routine_Specific_Name, SYSIBM.Routine_Type as Routine_Type from sysibm.sysdummy1
Comme dans nos exemples, ces variables sont utilisables dans vos requêtes
Depuis la TR4 de la V7R4, vous pouvez passer votre propre SQLSTATE ce qui est très intéressant sur les triggers avants par exemple. Vous pouvez avoir la vraie raison du refus C’est un petit pas pour SQL, mais un grand pas pour le développeur SQL
Exemple
Création de la table
CREATE OR REPLACE TABLE ARTICLE ( NOMART CHAR(30) CCSID 297 NOT NULL DEFAULT » , NUMART DECIMAL(6) , DESIGN CHAR(25) CCSID 297 NOT NULL DEFAULT » , PRXUNI DECIMAL(6) ) Insertion d’un article (Je sais, je surfe sur l’actualité du moment) INSERT INTO ARTICLE VALUES(‘Maillot Benzema’, 19, ‘Maillot Benzema EDF’, 166)
tentative de mise à jour
UPDATE ARTICLE SET PRXUNI = 167 WHERE NUMART = 19
Création d’un trigger de controle ici on teste que l’utilisateur est bien ‘DBADMIN’ pour pouvoir modifier le tarif
CREATE OR REPLACE TRIGGER ARTICLETRG BEFORE UPDATE OF PRXUNI ON ARTICLE FOR EACH ROW BEGIN ATOMIC IF CURRENT USER <> ‘DBADMIN’ THEN SIGNAL SQLSTATE ‘DB999’ SET MESSAGE_TEXT = ‘UTILISATEUR NON AUTORISÉ’; END IF; END;
Par SQL
Maintenant dans un programme RPGLE
On va utiliser get diagnostics pour récupérer le SQLTATES et le Message associé
**free dcl-s MessageText char(45) ; dcl-s ReturnedSQLState char(5); exec sql SET OPTION COMMIT = *NONE ; // test mise à jour trigger exec sql UPDATE ARTICLE SET PRXUNI = 167 WHERE NUMART = 19 ; exec sql get diagnostics condition 2 :ReturnedSQLState = RETURNED_SQLSTATE , :MessageText = MESSAGE_TEXT; dsply (ReturnedSQLState + ‘ ‘ + MessageText) ; *inlr = *on ;
Vous lancez le programme
Conclusion :
c’est une nouveauté qui devrait simplifier le contrôle des triggers est donc leur usage.