, 5 raisons pour utiliser Isphere

Isphere est un plugin Eclipse que l’on peut installer sous RDi et qui apporte des fonctionnalités complémentaires

Raison 1

Il est gratuit, donc ça ne coûte rien de l’installer pour voir !
et c’est un produit open source vous pouvez même participer à son évolution


Raison 2

Vous avez un comparateur de sources un peu plus simple, qui permet par exemple de comparer 3 Sources …

Raison 3

Sur la gestion de vos spools le plugin permet d’avoir beaucoup plus d’options
C’est également vrai sur la gestion des messages …

Raison 4

Vous avez un outil qui permet de chercher des informations dans des sources avec une grande facilité d’utilisation

Raison 5

Editer simplement le contenu d’un fichier message .

En conclusions :

Voici les principales options qu’on utilise chez GAIA

Il en existe d’autres, par exemple des options ILE sur les objets …

Plus toutes celles qu’on n’a pas trouvé encore !

Gérer le pool de connexion avec iamobile

Si vous utilisez iamobile,

iamobile est une application Web sur votre IBM i qui permet d’administrer certaines fonctions  de votre IBM i à partir de votre smartphone ou de votre tablette .

Vous pouvez sans doute avoir eu ce message.
« Le nombre maximal de connexions pour le pool a été atteint »

En effet iamobile est une application Java qui utilise un pool de connexion. Un pool de connexion, c’est le système qui prépare des connexions qui seront utilisables et réutilisables par l’application pour optimiser les temps d’accès.

Vous devrez cliquer sur l’onglet ‘Autres’ puis choisir ‘Etat du pool de connexion

La valeur par défaut du nombre de connexion par utilisateur est à 4, vous pouvez par exemple passer à 10 ce qui vous permet de travailler tranquillement

, Comment utiliser plusieurs configurations JDBC avec ACS

Sous ACS dans Exécution de scripts SQL

Vous pouvez être amené à vous connecter à plusieurs partitions IBM i ou avoir plusieurs environnements différents sur une même partition.

ACS permet de gérer plusieurs configurations JDBC en même temps et de pouvoir passer de l’une à l’autre

Pour ce faire, vous devez sélectionner l’onglet connexion puis configuration JDBC

Vous pouvez définir vos configurations, liste de bibliothèques, convention de nommage etc… et une configuration par défaut ..

Pour choisir votre environnement JDBC à la connexion, cliquer sur connexion et Application configuration JDBC vous retrouvez toutes les configurations définies.

C’est bien pratique  pour faire des tests de pouvoir choir son environnement !

Un petit regret quand on est connecté, on ne sait pas quelle configuration JDBC on utilise l’information dans le titre serait bien venue petite RFE à Faire…

, Transférer un objet d’une partition à une autre

Rappel :

Pour transférer un objet (PGM, FICHIER, etc…), vous devez être dans la même version ou sauvegarder en version précédente (limité à 2 niveaux) par exemple en 7.4 vous ne pouvez plus envoyer vers une version 7.1.
Attention, il ne faut pas avoir utilisé des fonctions qui n’existaient pas dans la version cible.
Sur objet sauvegardé si vous ne précisez rien, seul le droit du propriétaire et le droit du public seront transférés, et si le propriétaire n’existe pas sur la cible, votre objet appartiendra à QDFTOWN

Vous avez principalement trop méthodes

La méthode historique c’est object connect.

Cette solution ne fonctionne que en SNA, avec toutes les restrictions que ce la impose.
elle se matérialise par la présence des commandes SAVRST*
cette méthode est très simple mais il ne survivra pas à l’abandon progressif de SNA.

La méthode la plus utilisée aujourd’hui c’est par FTP

 

C’est un protocole applicatif qui lui fonctionne sur TCP/IP.
Cette solution si vous n’avez pas d’outil, nécessite plusieurs manipulations.
vous devez d’abord sauvegarder votre objet dans un fichier de sauvegarde.
Ensuite par FTP vous pourrez faire un put ou un get mais attention vous devrez d’abord passer en BINAIRE.
une fois sur la machine cible vous devrez restaurer votre objet à partir du savf.
récapitulatif des opérations

sur machine source

ibmi–>crtsavf
ibmi–>savobj > SAVF
FTP–>Bin
FTP–>GET ou PUT

sur machine cible

ibmi–>rstobj < SAVF

remarque:

Vous pouvez utiliser simplement une connxion de type ftps
C’est la seule solution qui vous permet de mettre votre objet sous votre pc et d’envoyer le savf par mail.
Mais un usage intensif nécessite des commandes ou des outils d’habillage.

La troisième méthode c’est la moins connu, mais elle très simple d’utilisation c’est par ACS.

il vous faudra avoir ACS sur votre PC.
vous devez choisir dans Général

<Système de fichiers intégré>

sélectionner la bibliothèque qui contient votre objet.

sur l’onglet <Actions> vous avez <envoi>


Vous devrez entrer l’utilisateur distant et le mot de passe


C’est vraiment très simple et en mode graphique sans commande , vous pouvez éventuellement utiliser java pour automatiser cette opération.

Conclusion

Voila les 3 principales méthodes qui existent pour faire vos transferts, on espère que ça vous aura éclairé pour votre choix d’envois et réceptions.

Mise à jour de la bibliothèque QSYS pendant un upgrade

Rappel

La bibliothèque QSYS contient les éléments de votre système, vous ne devez en aucun cas lui ajouter des objets délibérément.
Un certain nombres d’objet ne peuvent être que dans cette bibliothèque comme, les profils, les lignes, les contrôleurs, les unités et descriptions de bibliothèque par exemple.

il est possible que vous ayez customiser certains objets voici quelques conseils.

voila ce que c’est faire le système quand vous allez changer de version par exemple pour monter en V7R4.

Si vous avez modifié une des descriptions fournies par IBM ,  le système conservera ces modifications.

Seul les Descriptions de travail et les sous systèmes ci dessous sont concernés

Descriptions de travail concernées

QCTL (Description de travail de sous-système de contrôle)
QCTLIJBD (Description de travail ICG de sous-système de contrôle)
QESAUTON (Notification automatique d’incident)
QFSIOPWK (Processeur E-S de serveur de fichiers)
QMSF (Utilisée par le travail QPGMF)
QPDAUTOPAR (Utilisée pour l’analyse automatique d’incidents)
QQQTEMPS (description de travail DB2 for i utilisée par QSYSWRK)
QSPLERROR (Erreur de spoulage)
QSPL (Sous-système de spoulage)
QSTRUPJD (Démarrage automatique)
QSYSWRK (Sous-système système)
QSYSWRK (Description de travail de sous-système de système)

QTMSNMP (Description de travail SNMP)
QZMFEJBD (Poste de travail de démarrage automatique QSYSWRK)

Les sous-système concernés

QBASE (Contrôle de base)
QBATCH (Lot)
QCMN (Communications)
QCTL (Sous-système de contrôle)
QINTER (Interactive)
QPGMR (Programmeur)
QSNADS (Distribution SNA)
QSPL (Sous-système de spoulage)
QSYSWRK (Description de travail de sous-système de système)
QUSRWRK (Sous-système utilisateur)

Comment en utilisant des bibliothèques intermédiaires ?
En copiant dans la bibliothèque QINSYS les objets et si il y a des différences, les objets de QSYS seront mis à jour.
La bibliothèque QINPRIOR contient les objets du niveau d’os précédent

Vous pouvez voir le détail ici :
https://www.ibm.com/support/knowledgecenter/fr/ssw_ibm_i_73/rzahc/rzahcibmojects.htm

Vous pouvez également imprimer les informations de votre système par la commande PRTSYSINF vous obtiendrez environ 50 spools qui contiendrons des informations, comme les ressources utilisées, les tables de réponse, Les PTF etc…
Sauvegardez l’OUTQ dans lequel sont placés ces états.

Remarque :

La jobd QDFTJOBD qui est votre jobd par défaut n’est pas dans QSYS mais dans QGPL.

C’est peu être l’occasion de modifier votre programme de démarrage, il est indiqué dans la valeur système QSTRUPPGM.
Souvent ce programme n’est pas mis à jour et fait des choses obsolètes

Vous pouvez par exemple
Extraire le source du programme QSTRUP de QSYS et l’enrichir et le recompiler dans une bibliothèques à vous en indiquant le nouveau nom dans la valeur système.

Vous devez également lire les informations sur le site Planning upgrade à l’adresse

https://www.ibm.com/support/pages/planning-upgrade-ibm-i-74-software

parceque par exemple au passage en 7.4 vous constaterez que
Les 2 PRTFS QSYSPRT et QSAVOBJ sont limités à 100000 enregistrements et que vous devrez les retailler

==>CHGPRTF FILE(QSYSPRT) MAXRCDS(*NOMAX) et
==>CHGPRTF FILE(QSAVOBJ) MAXRCDS(*NOMAX)

 

En résumé

Ne pas travailler dans QSYS
Le système vous met à jour les SBSD et les JOBDS
Mais vous devez lire les informations pour éviter les petites surprises

, Mise en place d’un PRA ?

Quand on discute avec les clients on se rend compte qu’il y a une grande confusion entre haute disponibilité est PRA, PCA etc …

Prenons la définition de WIKIPEDIA .

Un plan de reprise d’activité (PRA) est un ensemble de procédures (techniques, organisationnelles, sécurité) qui permet à une entreprise de prévoir par anticipation, les mécanismes pour reconstruire et remettre en route un système d’information en cas de sinistre important ou d’incident critique.

En gros pour moi c’est le temps dont on a besoin suite à gros un crash pour rendre un service acceptable à la production.

Comment faire le point dans votre entreprise ?

il y a une technique assez simple c’est de se dire voila, on est planté maintenant qu’est ce qui ce passe ?

1) Il va vous falloir Reconstruire une machine.

il va falloir vous pencher sur les contrats de maintenance de votre partenaire matériel . Ne pas hésiter à ce faire confirmer les choses.
La vrai durée qui doit vous intéresser c’est combien de temps pour avoir une machine opérationnelle.

une prise en compte de l’incident au 1/4 heure s’il ne se passe rien derrière ne sert à rien !

2) Reconstruire le contexte opérationnel

On limitera ici à la restauration complète de la machine.

Ça veut dire ou sont la ou les bandes :

A) du système (on parle de savsys)

pour restaurer l’os, les configurations, les utilisateurs.
première remarque, tout ce qui a évolué sur votre système dans le lapse de temps est perdu (nouveau profils , changement de mot de passe)

la bonne fréquence , si on le peut sauvegarde complète tous les soirs, ça simplifie les opérations de reprise
sinon 1 fois par semaine est un bon compromis, une fois par mois est un minimum.
mais attention sachez précisément ou est cette bande, quand vous la chercherez le compteur tournera.

B) des données

Les bibliothèques
Les dossiers partagés (à remplacer au plus vite)
Le reste de l’ifs

Pour avoir une idée de vos temps de restauration compter vos temps de sauvegarde que vous multipliez par environ 1,5.

1 client sur trois ne saurait pas remonter sont système sans perte d’informations, 9 clients sur 10 sauvegardent bien leurs bibliothèques de données mais néglige le reste.

Une fois votre système n’oubliez pas de ré-appliquer les droit privés !

3) Conclusion

Vous devez pouvoir répondre à votre directeur combien de temps prendrait un crash du système

reconstruction de la machine    xx heures
reconstruction du système         xx heures
refresh des dernières données  xx heures

exemple :

36 heures
1 heures
3 heures

Ne négligez pas les temps de prise de décision, que vous ne rattraperez jamais.

Vous pouvez mettre en place des choses simples , pour pouvoir travailler à minima en cas de problèmes.

Par exemple , j’avais un client qui descendait tous les soirs les commandes à préparer le lendemain dans csv sur un PC de L’entrepôt

Vous devez également vérifier que vos sauvegardes sont lisibles …

 

Vous ne pourrez pas dire je ne savais pas !

, Mettre en place une alerte qui vous avertisse en cas de dépassement de seuil limite de votre ASP.

Voici comment être alerté en cas de disques pleins , en mettant en place une solution simple

Vous avez une valeur limite système qui s’appelle QSTGLOWLMT qui indique la valeur minimum qui doit rester et qui est exprimée en % souvent 15 % ou 10 %.

Vous avez une deuxième valeur système QSTGLOWACN qui indique l’action à effectuer quand vous aurez dépassé ce seuil
par défaut *MSG enverra un message dans QSYSOPR
Vous pouvez changer cette valeur en *REGFAC cette notion veut dire déclenche le programme associé au programme d’exit QIBM_QWC_QSTGLOWACN

le programme que vous devez lancer ne reçoit pas de paramètre

 

ADDEXITPGM EXITPNT(QIBM_QWC_QSTGLOWACN)
FORMAT(STGL0100)
PGMNBR(1)
PGM(MABIB/MONPGM)

exemple de programme :

PGM

/* MONPGM */
SNDSMTPEMM RCP((‘admin@votresociété.fr’)) +

SUBJECT(‘Limite espace disque’) +

NOTE(‘Attention vous avez dépassé le seuil de mémoire requise’)

ENDPGM

Bien sur il faut que votre partition soit relais de messagerie .

Attention, si vous utilisez le mail, QPGMR devra avoir le droit d’en emettre, utilisez la commande ADDSMTPLE.

Vous pouvez faire un programme beaucoup plus évolué, même en RPGLE,  si vous le désirez .

Attention :

La petite subtilité est donc au redémarrage :

Quand on démarre le système (IPL) ou qu’on lance le qstruppgm ou qu’on démarre le sous système qctl avec moins de la valeur  QSTGLOWLMT, Il ne peut pas soumettre le Programme d’exit et le système reste en restreint un peu comme la valeur *ENDSYS qui mettrait directement le sous système en restreint. et pour redémarrer vous devrez faire du ménage ….

« Pre-upgrade Verification tool » plus connu sous le nom de PRUV est maintenant en téléchargement pour tous.

Il va vous permettre d’effectuer vos contrôles avant de lancer une mise à jour de version OS.

 

Pour le télécharger rendez vous à l’adresse

https://www-01.ibm.com/support/docview.wss?uid=nas8N1014074

après une explication le chargement ce passe ici

https://www-01.ibm.com/marketing/iwm/iwm/web/dispatcher.do?source=ipvt

Vous avez besoin de vos identifiants IBM pour télécharger

Vous pouvez télécharger soit avec Download director ou par HTTP

Vous allez récupérer un zip exécutable  exemple : pruv_.4.0.nnnnnn.exe

après dezippage,  vous obtenez un fichier run_pruv.bat que vous allez lancer.

Vous devez accepter la clé puis vous identifier.

Choisir votre version cible , ensuite , next

Vous obtenez un rapport très facile à lire, avec les interventions à faire

Vous pouvez facilement l’exporter au format HTML

Conclusion :

Un petit outil bien sympathique qui permet de valider des choses avant votre migration !

Attention, il ne remplace pas  la « Préparation de l’installation » (go licpgm puis Option 5)  que vous devrez quand même l’utiliser.

par exemple:

Pour augmenter les tailles LIC ou pré accepter les licences, mais PRUV vous l’aura indiqué …

 

Nouveauté sur le SBMJOB en V7R4

La V7r4 apporte une nouveauté pour la commande SBMJOB, vous pouvez désormais définir un programme d’exit pour cette commande (QIBM_QWT_SBMJOB).

Le programme d’exit prend la main avant de placer l’exécution de la commande demandée dans la jobq.

Ce point d’exit, peut être mis sur une jobq ou sur toutes, *ANY

2 paramètres

Le premier contiendra plein d’informations nécessaires, Utilisateurs, jobq, jobd etc…

Le second contient la taille dans un binaire de 4

Vous pouvez donc facilement loguer une demande sensible, réorienter un travail en fonction d’un utilisateur ou d’un contexte, voir le cas échéant interdire la demande de ce travail.

Extrait d’un exemple

Pour que les jobs de l’utilisateur exploit parte dans une file de travail en *NOMAX

DCL &SBMJOB *CHAR 1000
….
DCL &USER *char 10

chgvar &user %sst(&sbmjob 14 10)

if cond(&user = ‘EXPLOIT’) then(do)

enddo

Conclusion :
Ça peut être indispensable si vous avez des ERPs de type boite noire, et que vous avez du mal à paramétrer certaines taches .

Remarque :
Vous avez également un nouveau point d’exit sur la commande CHGJOB (QIBM_QWT_CHGJOB)

Mise à jour du firmware sur une machine sans console HMC.

 

Quand on audite chez nos clients souvent les dernières mises à jour du firmware sont très vieilles, vous pouvez voir ces informations par la commande DSPFMWSTS,  c’est surtout vrai dans les sociétés qui n’ont pas de console HMC.

Attention, même si vous n’avez qu’une seule partition et donc pas de HMC Vous pouvez avoir des problèmes de compatibilité entre votre partition et votre firmware.

Ces plantages interviennent suite à l’application de PTFs, souvent microcodes et se matérialisent par un IPL très long voir qui n’aboutit pas. Si c’est le cas vous devrez arrêter électriquement votre machine, pour pouvoir vider le cache et la relancer, et ensuite démarrer votre partition.

C’est donc la partition qui doit pousser les mises à jour au Firmware vous le savez en voyant *OPSYS dans la commande DSPFMWSTS, l’autre valeur est *HMC qui indique que c’est votre HMC qui fait ces mise à jour.

Vous pouvez également avoir ces infos depuis la version 7.3 en utilisant la vue SYSTOOLS.FIRMWARE_CURRENCY
exemple pour la date de mise à jour en cours :

SELECT FW_RELEASE_DATE, FW_MACHINE_TYPE_MODEL FROM
SYSTOOLS.FIRMWARE_CURRENCY
vous avez également le niveau recommandé zone FW_RECOMMENDED_UPDATE
Cette vue pour fonctionner doit avoir accès à la page :
https://www14.software.ibm.com/support/customercare/flrt/liteTable?prodKey=fw&format=json

Les PTF, FSP code commence par MH, vous ne les avez pas si vous êtes en application à partir de la console HMC.

Vous devrez rapidement récupérer le dernier niveau de MH correspondant à votre configuration, vous avez l’information ici :
https://www-01.ibm.com/support/docview.wss?uid=nas8N1021194

 

Vous devrez alors télécharger le groupe PTF sur fix central et l’appliquer par un IPL de type *FULL , attention le temps de l’IPL peut être doublé … D’après les documentations IBM, un IPL de type système peut suffire en effet s’il y a une PTF firmware, il l’applique mais …

Malheureusement ces groupes ne sont pas téléchargeables en automatique, le conseil est donc de le faire une ou 2 fois par an l’opération et à chaque montée d’OS.

Elle  s’applique comme une autre cumulative

Pour contrôler l’application des PTFs, utilisez la commande DSPPTFAPYI

Il est possible que vous ayez des messages CPF6602 dans la log sur d’autres PTF, si vous n’avez pas suivi régulièrement l’application de celles ci.

Pour corriger, la première possibilité est de passer la commande UPDPTFINF pour mettre à jours les informations PTF.

Si cela ne suffit pas, par exemple si vous avez des PTF de versions précédentes, vous devrez supprimer les fichiers QAPZPTF* de la bibliothèque QUSRSYS et faire un IPL qui les recréera avec les informations à jour à partir des modèles dans QSYS.
Vous ne pouvez pas lire les informations de ce fichier, mais vous pouvez y accéder indirectement par les vues de qsys2, PTF_INFO.
exemple :
Voir les PTFs chargées, mais pas encore appliquées
SELECT PTF_IDENTIFIER, PTF_IPL_REQUIRED, A.*
FROM QSYS2.PTF_INFO A
WHERE PTF_LOADED_STATUS = ‘LOADED’
ORDER BY PTF_PRODUCT_ID

Pour rappel, il vaut mieux effacer les savfs de PTF qui sont dans qgpl, en utilisant la commande DLTPTF

Exemple DLTPTF PTF(*PRMAPY) effacera les savfs des PTFs appliquées de manières permanentes.

Conclusions :

Vous êtes le garant d’un écosystème et il faut bien mettre les correctifs sur :
La partition
Le firmware
La HMC si vous en avez une