Sans être un expert base de données, on peut être amené à faire un minimum de gestion. Voici comment gérer vos index.

Index advisor est un logiciel, intégré à SQL, qui analyse tous les index inexistants dont le système à besoin et qui  choisit de les créer.

il collecte des informations sur le nombre de fois dont il en a eu besoin, la dernière utilisation etc…

On estime aujourd’hui l’impact de vos index à 70 % de la performance totale de votre SGBD.

Il est donc important de savoir bien gérer ces index.

Pour matérialiser index advisor, Vous pouvez voir des informations à plusieurs endroits :

Dans ACS Shémas/Tables/ clique droit / utilisation index , ou directement dans le table système interrogeable par un simple select sur la table QSYS2.SYSIXADV,
ou un select sur la vue fournie sur cette table QSYS2/CONDENSEDINDEXADVICE nom sql et CONDIDXA nom système.

Nous allons voir comment être efficace en utilisant ces informations.

1) Périmètre

Il faut déterminer le périmètre que vous voulez analyser.
C’est une liste de bibliothèques contenants vos pf ou un schéma contenant vos tables.

2) Réinitialisation des statistiques

Il va vous falloir réinitialiser régulièrement les statistiques
des index sur votre périmètre, souvent à la semaine ou au mois.
Il existe une procédure sql qui permet de réaliser cette tache,
RESET_TABLE_INDEX_STATISTICS nom sql et RESET_STAT nom système.
Exemple :
CALL QSYS2.RESET_TABLE_INDEX_STATISTICS(‘Votre_Bib’,’%’, ‘*YES’);

-% indique pour toutes les tables de votre bibliothèque.
-la valeur *YES indique que la ligne sera supprimée de la table QSYS2.SYSIXADV.

3) Analyse

Vous allez pouvoir analyser les index qui ont été nécessaire depuis votre précédente réinitialisation !

Voici un exemple de requête sur une bibliothèque de votre périmètre :

SELECT
substr(TABLE_NAME, 1, 10) as TABLE_NAME,
LAST_ADVISED,
TIMES_ADVISED,
substr(KEY_COLUMNS_ADVISED, 1 , 100)
FROM QSYS2/SYSIXADV WHERE TABLE_SCHEMA = ‘Votre_Bib’
ORDER BY TIMES_ADVISED desc ;

4) Création

Vous allez pouvoir envisager des actions pour les index manquants que vous analysez comme pertinent.

Exemple ceux qui ont été demandés 500 fois au moins
SELECT
substr(TABLE_NAME, 1, 10) as TABLE_NAME,
LAST_ADVISED,
TIMES_ADVISED,
substr(KEY_COLUMNS_ADVISED, 1 , 100)
FROM QSYS2/SYSIXADV WHERE TABLE_SCHEMA = ‘Votre_Bib’
and TIMES_ADVISED > 500
ORDER BY TIMES_ADVISED desc

Il y a 2 types d’actions possibles

A) Les index nécessaires

Il faudra les construire.

B) Les index demandés :

A cause d’une requête mal écrite.
On trouve très souvent le défaut dans la clause WHERE d’un select

Exemple :

Vous avez une liste d’objets avec un index sur le nom d’objet et le Type

Si vous écrivez :

select * from votre_table where …

order by objet , type
Vous allez utiliser l’index existant.

Si vous écrivez
select * from votre_table where …

order by type, objet

Le système va construire un nouvel index, ordonné par type puis par nom d’objet, mais il ne sert à rien…
Si vous avez la main sur l’applicatif, corrigez la requête …

5) Génération de scripts

Il existe des procédures dans la bibliothèque SYSTOOLS pour vous
aidez dans votre gestion.

La première procédure va permettre de créer des index automatiquement sur une table en fonction de critères statistiques :
ACT_ON_INDEX_ADVICE(‘Votre_bib’ , ‘Votre_table’, Nb_fois,
nb_maint, tps_estim)

Exemple (plus de 5OO utilisations) :
CALL SYSTOOLS.ACT_ON_INDEX_ADVICE(‘Votre_bib’,’votre_table’, NULL,
500, NULL )

La valeur à utiliser est à déterminer après avoir fait une analyse.

Cette méthode est plus destinée à un applicatif avec un ERP dont vous n’avez pas les sources et par conséquent dont où vous ne pouvez pas intervenir directement dans l’applicatif.

 

La deuxième procédure va vous permettre de générer les scripts SQL en fonction de critères statistiques , qui vous aiderons à créer vos
index suggérés.
Vous devez créer un fichier source assez long, par exemple qsqlsrc.
Exemple
CRTSRCPF FILE(VOTRE_BIB/QSQLSRC)
RCDLEN(512)
TEXT(‘SOURCE pour génération index’)
voici la procédure
HARVEST_INDEX_ADVICE(‘Votre_bib’ , ‘Votre_table’, Nb_fois, nb_maint,
tps_estim, ‘Bib_src’, ‘Fic_src’)

Exemple:

CALL SYSTOOLS.HARVEST_INDEX_ADVICE(‘Votre_bib’,’votre_table’, 1, 500,
0, ‘Votre_bib’, ‘QSQLSRC’)

Pour exécuter vos scripts vous pouvez ensuite le faire par la
commande système RUNSQLSTM.

RUNSQLSTM SRCFILE(Votre_bib/QSQLSRC) SRCMBR(Votre_Table)
COMMIT(*NONE) NAMING(*SQL) ERRLVL(30) MARGINS(512)

MARGINS étant la longueur de votre fichier source.

Cette méthode permet de vérifier les index proposés avant de les générer. Toujours privilégier une correction de requête dans l’applicatifs que la génération d’un index pour palier des légèretés de programmation…

6) Suppression des index générés

Il est possible d’utiliser une procédure cataloguée REMOVE_INDEXES,
pour supprimer les index générés, ne supprime pas les autres index.

Vous pouvez la planifier une fois par an :

Exemple :

CALL SYSTOOLS.REMOVE_INDEXES(NULL, 1, ’12 MONTHS’)

Attention si vous voulez supprimer des index applicatifs,
il faut analyser ceux qui n’ont pas été utilisés et surtout penser à
supprimer les objets dépendants.

Conclusion :

Vous allez de en plus utiliser SQL et les index sont un facteur important de la gestion de votre base de données.
Il est donc intéressant de mettre en place une politique adaptée à la gestion de ceux ci.

 

L’arrivée de la function table joblog_info qui permet de voir la log d’un travail ouvre de nouvelles manières de travailler.

En voici une qui va vous permettre de savoir si vous avez des données erronées dans vos fichiers PF.

Quand vous faites une requête avec un select sur un pf qui a des données en erreur, en fonction de votre interface vous obtenez des ++++ ou autres qui vous indique que vos données sont en erreur !

Mais surtout ça génère un message CPF5035 dans votre log qui vous indique la ligne et la zone en erreur

Exemple :

select substr(MESSA00007, 1, 10) as fichier ,
substr(MESSA00007, 21, 10) as biblio,
substr(MESSA00009, 55, 71) as texte
from table(qsys2.joblog_info(‘*’)) a
where MESSAGE_ID = ‘CPF5035’

Qui vous donnera

CLIENTS GAIA la zone CLIENTS_1.CAANC, numéro d’enreg 213, format *FIRST, membre
CLIENTS GAIA la zone CLIENTS_1.CAAN1, numéro d’enreg 213, format *FIRST, membre
CLIENTS GAIA la zone CLIENTS_1.CAAN2, numéro d’enreg 213, format *FIRST, membre

Ici on voit que sur l’enregistrement 213 (rang relatif) a des zones CAANC, CAAN1 et CAAN2  qui ont des données en erreur

Vous pouvez corriger facilement en faisant

update gaia.clients a set caanc = 0 where rrn(a) = 213

Voici un petit script CLLE qui vous permettra de savoir si un PF à des données en erreur

pgm parm(&table &lib)
dcl &table *char 10
dcl &lib *char 10
chkobj &lib/&table *file
RUNSQL SQL(‘drop table qtemp/wtest’) COMMIT(*NONE)
monmsg SQL9010
RUNSQL SQL(‘create table qtemp/wtest as (select * +
from’ *BCAT &LIB *TCAT ‘/’ *TCAT &TABLE +
*bcat ‘)with data’) COMMIT(*NONE)
monmsg SQL9010 exec(do)

/* ici votre traitement pour récupérer les erreurs CPF5035 */
/* select substr(MESSA00009, 55, 71) as texte */
/* from table(qsys2.joblog_info(‘*’)) a */
/* where MESSAGE_ID = ‘CPF5035’ */
/* vous devrez par exemple écrire ces données dans une table */

endpgm

Ce script est a améliorer en effet il ne donne que le premier enregistrement corrompu , sql interrompant le traitement à la première erreur.

 

La version 7.4 arrive, et une des grandes annonces est l’abandon de *ANYNET.

(*ANYNET est une solution qui permet d’encapsuler SNA dans de l’IP)

C’est l’occasion de faire le point sur SNA.
Pour les plus jeunes SNA est une implémentation réseau un peu comme TCP/IP ou ISO avec les quels il a de grandes similitudes.
C’est une solution propriétaire (IBM) qui existait avant TCP/IP qui tend à le remplacer.
Souvent les gens pensent ne plus utiliser SNA mais réalité ils l’utilisent encore.

Voici trois traces persistantes qu’on retrouvent chez nos clients

  • 1) La commande SNDDST pour envoyer des mail
    2) l’utilisation des fichiers stockés dans QFLR (plus connu sous le nom de dossier partagés)
    3) l’utilisation des commandes SAVRST* qui permettent de distribuer des objets d’une machine à une autres.

Si vous utilisez une des 3 fonctions ne chercher pas vous êtes concernés.

Certes SNA ne semble pas être le sens de l’histoire, mais comment faire ?

  • Première Solution

  • Abandonner SNA purement et simplement
  • Attention à bien analyser l’impact beaucoup de sources recèlent des trésors cachés (SNDDST, SNDNETF, SBMNETJOB, SAVRSTLIB, etc …)
    il peut y avoir beaucoup de travail, par exemple OBJECT CONNECT n’a pas d’équivalent IP.
  • Quels gains peut on attendre ?
    Plus besoin de faire un SAVDLO dans votre sauvegarde globale
    Plus besoin de gérer la directory SNA
    Faire des envois de mail avec des historiques et de vraies pièces jointes.

 

  • Deuxième Solution

  • Faire durer SNA encore une peu.
  • Si vous avez plusieurs machines, vous allez être obliger de migrer vos connexion en Oject extended.
  • Ne perdez pas de temps, vous pouvez faire cette opération dès à présent ce qui simplifiera votre migration.
  • Cette deuxième solution ne vous dispense pas de petit à petit basculer des fonctions de SNA vers IP , on n’est pas sur que SNA sera Pérennisé dans le temps par IBM

Conclusion

  • Dans tous les cas, il faut penser à remplacer  petit à petit SNA
  • Par contre l’arrêt de *ANYNET sera brutal , alors anticipez !

Principales correspondances SNA / IP

Vous voulez faire un point sur vos opérations de sauvegardes, voici quelques points à regarder  ?

1) Vérifiez vos niveaux logiciels :

Assurez-vous d’avoir un bon niveau de PTF pour le groupe SF99724

Vous ne devez pas avoir plus de 6 mois de retard , vérifier sur le site IBM FIX CENTRAL

2) Vérifiez vos supports :

Assurez-vous que vos bandes ne sont pas trop vieilles, trois ans c’est le maximum pour du LTO.

Ça peut dégrader les performances, mais aussi et surtout, rendre impossible partiellement une restauration.

Vous pouvez avoir des informations sur vos supports dans le menu SST :

9. Work with save storage and restore storage

Ou en faisant un PRTERRLOG

Exemple :

PRTERRLOG TYPE(*VOLSTAT) VOLTYPE(3580)

Title . . . . . . . . . . : Volume Statistics Report
System type . . . . . . . : 8286
System model . . . . . . : 41A
System release . . . . . : V7R3M0
System name . . . . . . . : NEPTUNE
System serial number . . : 21-7D81V
Report type . . . . . . . : Lifetime Report
Removable media . . . . . : Self-configured tape and 1/4 inch cartridge tape
Volume ---Temporary Errors--- --------M Bytes--------
ID Read Write Read Written
GAIA 0 0 1 363822
JEUDI 0 0 17209 57078599
LUNDI 0 0 21917 30098797
MARDI 0 0 4153 29205718
MRCRDI 0 0 30 29331213

>>indicates media replacement is recommended
> indicates media replacement criteria should be checked

Remarque: l’option de cette commande ne peut être mise en base de données.

3) Faites le ménage :

Attention à tous les objets obsolètes, les duplications, les SAVF.

J’ai fait enlever 27 gigas chez un client …

Et surtout attention à l’IFS ou la gestion est souvent anarchique .

Pour vous aider vous pouvez utiliser des outils comme RTVDSKINF, pour suivre l’évolution de vos espaces

4) Vérifiez vos scripts :

Assurez-vous que vos commandes d’initialisation utilisent le maximum de compactage de vos supports, on trouve souvent des commandes qui date du dérouleur précédent

Le meilleur compromis est pour l’initialisation

==> INZTAP … DENSITY(*DEVTYPE)

et pour les commandes de sauvegarde

==> SAVLIB COMPACT(*DEV)

Supprimez les dlyjob notamment sur les arrêts de TCP/IP qui ne servent plus, 300 secondes c’est 10 minutes , j’ai vu 30 minutes de DLY dans un script CL.

Le temps de sauvegarde de l’ifs prend de plus en plus de temps notamment si vous avez beaucoup de petits fichiers.

Une option apparue par PTF en 6.1 et disponible depuis les autres versions permet de diminuer ce temps :

==> SAV … ASYNCBRING(*YES)

Le plus simple pour tester, modifier la valeur par défaut de la commande SAV

==> CHGCMDDFT CMD(SAV) NEWDFT(‘ASYNCBRING(*YES)’)

Prenez les temps avant et après, vérifiez le gain…

S’il n’y a pas de gain, probablement que votre machine n’a pas de mémoire, vous pouvez faire retours en arrière.

==> CHGCMDDFT CMD(SAV) NEWDFT(‘ASYNCBRING(*NO)’)

Sauvegardez les droits privés :

==> SAVLIB … PVTAUT(*YES)

Cela évitera une opération de RSTAUT.

5) Testez vos sauvegardes :

Par exemple, restaurez un objet en fin de bande, ce qui vous garantira l’intégrité complète de votre sauvegarde.

6) A ne pas faire :

Pour gagner du temps en sauvegarde, ne pas sauvegarder les indexes.

Le gain de temps sera largement perdu à la restauration.

7) A étudier

La sauvegarde des spools

==>SAVLIB SPLFDTA(*all)

Si vous n’avez pas besoin de vos spools ne les sauvegardez pas

Si vous utilisez cette option, assurez-vous de ne pas avoir de spool obsolètes , faites une épuration avant vos sauvegardes, J’ai vu 237000 spools sauvegardés inutilement…

Si vous devez utiliser du cryptage, choisissez du cryptage matériel fourni en standard sur les LTO.

Sauvegarde en While Active

Allonge considérablement les temps de sauvegarde, ne doit être utilisé qu’en cas d’arrêt impossible de la production

Découpez les sauvegardes

Attention à bien maitriser l’ensembles des supports et la procédure pour les restaurations

8 ) Conclusion

Il est possible qu’en ayant étudié tous ces points, vous ne puissiez pas optimiser mieux vos phases d’immobilisations, c’est que votre système est bien géré ou que vous allez devoir en changer !

Le but n’est pas ici de développer toutes les spécificités de la GDPR, par exemple, pour la gestion de vos registres de traitement vous n’échapperez pas à l’analyse de votre SI et sans doute vous aurez besoin d’une aide juridique si vous gérez des données sensibles ou confidentielles.

Mais l’idée est de voir comment votre IBM i peut vous aider techniquement à réaliser les obligations de la nouvelle loi.

Voici une liste de points à vérifier .

1) Identifier les personnes (pour que quelqu’un puisse faire quelque chose il lui faut un profil et un mot de passe …).

3 conseils :

  • Passez en mot de passe long.
    Passez vos accès SSH (pour que les MDP ne circulent pas en clair)
    Appliquez à votre IBM i la même politique de changement de Password que dans le reste votre entreprise, en attendant un single sinon.

2) Ajuster les droits des utilisateurs, en théorie une personne ne doit pas avoir plus de droits que ce que lui impose ses tâches .

3 conseils :

  • Analysez les profils qui ont le droit spécial *ALLOBJ.
    Analysez les droits sur les ressources avec authority collection
    Analysez les partages de L’IFS.
    Et après mettez en place une politique plus restrictive, attention aux effets de bord

3) Pour la tracabilité, les journaux d’audit propose un grand nombre d’informations

4 conseils :

  • Analysez les logs que vous collectez et gardez uniquement la partie pertinente
    Ajoutez des triggers after sur certaines tables pour loguer *
    Ajoutez des programmes d’exit sur les traitements (ODBC, FTP, PARTAGE, SQL)
    En cas de violation agissez …

* Ce point peut être mis en place à l’aide des tables temporelles, bien meilleur, mais plus compliqué à mettre en place. Par contre pour vos nouveaux traitements, pensez y !

4) Anonymisation et cryptage des données, vous pouvez crypter vos données dans l’ASP, dans vos sauvegardes par BRMS, et par SQL sur vos bases de données RCAC et Field Proc.

 

3 Conseils :

  • Sécurisez tous les échanges avec vos serveurs externes (avec certificat par exemple)
    Attention à la gestion de la pseudonimisation pour les data Whare house.
    Testez vos restaurations !

5) Registre de traitements.

Il vous faudra avoir une base de donnée centralisée, elle peut être sur votre ibm i …

Sauvegarde et Restauration des webservers

Pour Sauvegarder et Restaurer un server de webservices vous pouvez utiliser les scriptes QSH prévus à cet effet.

Sauvegarde

saveWebServicesServer.sh
-server ‘server’
-saveFile ‘savf’ (‘/qsys.lib/libsavf.lib/savf.file’)

Restauration

restoreWebServicesServer.sh
-fromServerDirectory ‘server-directory’ (‘/www/server’)
-saveFile ‘savf’ (‘/qsys.lib/libsavf.lib/savf.file’)

Remarque :

Le seul support est le SAVF

Mais comment restaurer un serveur de webservices, si vous n’avez que les répertoires de l’IFS.

Il faut savoir qu’un webserveur de webservices c’est 3 choses :

– des répertoires de configuration (dans /www/)
– une instance APACHE déclarée dans http server (fichier QATMHINSTC qui contient un membre pour chacun instance)
– un enregistrement dans LWI ou Liberty.

Il vous faudra donc respecter les étapes suivantes

1) Restauration des répertoires de L’IFS

  • RST DEV(‘/qsys.lib/qgpl.lib/savfIFS.file’)
    OBJ((‘/www/YOURSERVER’))
    Vous pouvez restaurer l’IFS à partir d’autres supports…

2) Autorisation de la branche du server au profil QTMHHTTP

Le profil QTMHHTTP est le profil utilisé par http server pour la plupart de ses opérations. Il doit avoir un droit explicite sur ces fichiers.

  • CHGAUT OBJ(‘/www/YOURSERVER/*’)
    USER(QTMHHTTP)
    DTAAUT(*RWX)
    OBJAUT(*ALL)
    SUBTREE(*ALL)

Remarque :

Cette étape peut être facultative si vous avez une sauvegarde avec les droits privées paramètres PVTAUT(*YES) de vos commandes SAVXXX.

Il vous faudra préciser dans la commande RST … le paramètre PVTAUT(*YES)

3) Création du membre de l’instance APACHE dans le fichier QATMHINSTC de QUSRSYS.

En utilisant la commande

wrkmbrpdm qusrsys/QATMHINSTC

Dupliquer un membre existant en lui donnant le nom de votre server YOURSERVER
puis modifier le contenu en lui indiquant le nom de votre serveur
-apache -d /www/YOURSERVER -f conf/httpd.conf

Cette modification peut-être faite, via l’option 18, par SQL, par script…

 

4) Enregistrement de votre serveur dans liberty ou LWI

Sous LWI

java -cp /QIBM/ProdData/OS400/jt400/lib/jt400Native.jar:/QIBM/ProdData/OS/OSGi/LWI81/native/iasadmin.jar com.ibm.lwi.admin.IntegratedServerAdmin -registerServer YOURSERVER /www

Remarque :
La version de votre lwi ici 8.1, dépend de votre système pour la connaitre :
Se mettre sous qsh
cd /QIBM/ProdData/OS/OSGi
puis ls
o


par exemple ici la version est 6.0
donc la commande devient
java -cp /QIBM/ProdData/OS400/jt400/lib/jt400Native.jar:/QIBM/ProdData/OS/OSGi/LWI60/native/iasadmin.jar com.ibm.lwi.admin.IntegratedServerAdmin -registerServer YOURSERVER /www

Sous Liberty

java -cp /QIBM/ProdData/OS400/jt400/lib/jt400Native.jar:/QIBM/ProdData/OS/OSGi/shared/lib/iasadmin.jar com.ibm.lwi.admin.IntegratedServerAdmin -registerServer YOURSERVER /www

Vous avez un fichier de propriétés, il est dans le répertoire LWI correspondant :

Votre serveur est opérationnel et vous pouvez l’utiliser à nouveau.

Les fichiers de référence des serveurs enregistrés se trouvent :
En 6.1, dans /QIBM/UserData/OS/OSGi/registry/registry.data pour Lwi

À partir de la 7.1,  dans /QIBM/UserData/OS/OSGi/registry/iasregistry.data pour Liberty

Vous pouvez désormais arrêter et redémarrer votre serveur.
ENDTCPSVR *HTTP HTTPSVR(YOURSERVER)
STRTCPSVR *HTTP HTTPSVR(YOURSERVER)

Exemple de requêtes SQL pour retrouver des informations

Liste des instances apaches démarrées

SELECT DISTINCT SERVER_TYPE
FROM TABLE(QSYS2.ACTIVE_JOB_INFO(
SUBSYSTEM_LIST_FILTER => ‘QHTTPSVR’)) X_table

WHERE function = ‘QZSRHTTP’

Liste des instances HTTP déclarées

SELECT TABLE_PARTITION as MEMBER FROM SYSPARTITIONSTAT
WHERE TABLE_NAME = ‘QATMHINSTC’ AND TABLE_SCHEMA = ‘QUSRSYS’

Remarque :

Admin n’a pas d’instance dans ce fichier

La jonction entre les tables pour voir celles qui ne sont pas démarrées

SELECT DISTINCT SERVER_TYPE, TABLE_PARTITION
FROM SYSPARTITIONSTAT a
Join TABLE(QSYS2.ACTIVE_JOB_INFO(
SUBSYSTEM_LIST_FILTER => ‘QHTTPSVR’)) B
on B.server_type = ‘QIBM_HTTP_’ concat TABLE_PARTITION
and TABLE_NAME = ‘QATMHINSTC’
AND TABLE_SCHEMA = ‘QUSRSYS’
where function = ‘QZSRHTTP’

Nous avons vu dans le premier article sur le PCML, que la gestion de l’usage des paramètres ne peut se faire dans le source d’un programme. On peut au mieux déclarer les paramètres en entrée, par le mot clé « const ».

Tous les autres paramètres seront déclarés en entrée/sortie dans le PCML.

Lors de déploiements de web service par script, il faut pouvoir gérer ces paramètres, de façon à générer des WSDL (SOAP) ou des SWAGGER (REST) corrects.

Cet article recense plusieurs méthodes possibles pour cette gestion.

PCML généré dans l’IFS – ajustement manuel :

Prérequis : génération du PCML dans l’IFS, options de compilation PGMINFO et INFOSTMF à renseigner.

On peut éditer le fichier et le modifier manuellement.
Il faudra faire attention à bien respecter le formalisme du PCML.

Avantages :

  •  Mise en œuvre minimaliste.

Inconvénients :

  • Il faut penser après génération du PCML à le modifier, risque d’oubli comme pour toutes procédures peu usitées.
  • Risque d’écraser le PCML modifié par le PCML standard lors d’une prochaine compilation.
  • Risque d’erreur dans la modification, rendant inopérant le PCML.
  • Ce n’est pas sport !

Cette méthode peut être utilisée si vous n’exposez que peu de web service, contenant que quelques paramètres. Même si nous la déconseillons fortement.

PCML généré dans l’IFS – ajustement programmatique :

Prérequis : génération du PCML dans l’IFS, options de compilation PGMINFO et INFOSTMF à renseigner.

Plutôt que d’éditer un PCML dans l’IFS, on peut prévoir de le modifier par programme, en se basant sur un formalisme de nommage des paramètres.
Par exemple, en suffixant le paramètre en entrée par « _I » et les paramètres en sortie par « _O ». Les paramètres en entrée/sortie n’auront pas besoin de suffixe, leurs usages dans le PCML est déjà correct.
Le programme devra mettre à jour le PCML dans l’IFS, en transformant l’usage des paramètres selon le suffixe.
Pour exemple, dans l’extrait de code ci-dessous, nous utilisons les API « C » pour modifier le PCML :
Si vous le souhaitez, nous pouvons sur demande fournir le code complet.

// Ouverture du fichier en mise à jour
 fd = OpenFile(Path : O_RDWR + O_TEXTDATA + O_CCSID : S_IRGRP : 37 ) ;
 if (fd < 0) ;
 // fichier non ouvert : non trouvé ou vérouillé ou ...
 // gestion personnalisée à faire
 *inlr = *on ;
 return ;
 endif ;

// Boucle de lecture infinie - sortie explicite via le leave
 // lecture du fichier totale, avec recherche de chaîne
 Pos = 0 ;
 dow (1 = 1) ;
 // récupération de la longueur du fichier entre la position actuelle
 // et la fin de fichier au premier passage, longueur totale du PCML
 Length = ReadFile(fd:%addr(Data):%size(Data)) ;

// Longueur à 0 --> fin de fichier on sort de la boucle
 if (Length = 0);
 leave;
 else;
 // Recherche du tag de déclaration d'un paramètre
 // on récupère sa position
 Debut = %scan('<data name="' : Data) ;
 if Debut > 0;
 // Extraction de la position du suffixe
 // En fin de nom paramètre sur 2
 Debut += 12 ; // longueur chaîne '<data name="'
 DebSuf = %scan('"' : Data : Debut) - 2;

// Extraction de la position de l'usage du paramètre
 DebUsage = %scan('usage="' : Data : Debut) + 6; // + lng'usage="'

// détermination de l'usage en fonction du suffixe
 select;
 when %scan('_I' : Data : DebSuf : 2) > 0;
 UsageIO = 'input" />' ;
 when %scan('_O' : Data : DebSuf : 2) > 0;
 UsageIO = 'output" />' ;
 other;
 UsageIO = 'inputoutput" />' ;
 endsl;

// positionnement sur l'adresse de début de modification
 Pos += DebUsage;
 Data = UsageIO ;
 lseek(fd: Pos: SEEK_SET) ;
 // modification du fichier
 WriteOK = write(fd:%addr(data): 15) ;
 Pos += 15 ;
 endif;
 endif;

enddo;

PCML issu de la compilation :

<pcml version="6.0"> 
 <!-- RPG program: TESTWS --> 
 <!-- created: 2018-03-12-11.09.56 --> 
 <!-- source: DT/QRPGLESRC(TESTWS) --> 
 <!-- 3 --> 
 <program name="TESTWS" path="/QSYS.LIB/DT.LIB/TESTWS.PGM"> 
 <data name="VARIN_I" type="char" length="15" usage="inputoutput" /> 
 <data name="VAROUT_O" type="char" length="30" usage="inputoutput" /> 
 </program> 
</pcml>

PCML après traitement par le PGM :

<pcml version="6.0"> 
 <!-- RPG program: TESTWS --> 
 <!-- created: 2018-03-12-11.09.56 --> 
 <!-- source: DT/QRPGLESRC(TESTWS) --> 
 <!-- 3 --> 
 <program name="TESTWS" path="/QSYS.LIB/DT.LIB/TESTWS.PGM"> 
 <data name="VARIN_I" type="char" length="15" usage="input" /> 
 <data name="VAROUT_O" type="char" length="30" usage="output" /> 
 </program> 
</pcml>

Avantages :

  •  Automatisation possible, à la création du web service, en masse sur un répertoire de l’IFS, … Au gré des besoins !
  • Si vous avez l’utilité du PCML pour d’autres applications que l’exposition des web services, vous pouvez par ce biais ne gérer qu’une fois cette problématique.

Inconvénients :

  • Risque d’oubli de génération du PCML dans l’IFS.
  • Risque d’écraser le PCML modifié par le PCML standard lors d’une prochaine compilation.
  • Risque de conflit entre les normes de nommage, ou de non utilisation de la norme.
  • Si vous avez plusieurs partitions, il faudra soit déployer le PCML dans l’IFS de chaque partition, soit le générer dans l’IFS puis le modifier via le programme.

Extraction des informations du PCML d’un objet :

Prérequis : génération du PCML dans l’objet, les options de compilation peuvent être dans le source.

Cette méthode consiste à :

  • Extraire les informations du PCML, via l’API QBNRPII. Les informations relatives aux paramètres seront stockés dans fichier.
  • Gérer l’usage des paramètres trouvés, par un interactif.
  • Générer le paramètre -parameterUsage à ajouter à la commande shell de création de web service.

Programme d’extraction des informations PCML :

**free

/if defined(*crtbndrpg)
ctl-opt actgrp(*NEW) ;
/endif
ctl-opt option(*NODEBUGIO : *SRCSTMT);

//-------------------------------------------------------------------------------------------------/
// Paramètre PGM
Dcl-Pi *N;
 P_Objet Char(10) const;
 P_Lib Char(10) const;
 P_Type Char(10) const;
 P_Error Char(110);
End-Pi;

//-------------------------------------------------------------------------------------------------/
// DS objet et module pour appel APi
dcl-ds qualname qualified based(TypeDef);
 Obj Char(10);
 Lib Char(10);
end-ds;

dcl-ds Qbn_Interface_Entry_t qualified based(TypeDef);
 // Offset from start of receiver
 Offset_Next_Entry int(10) ;
 Module_Name Char(10) ;
 Module_Library Char(10) ;
 Interface_Info_CCSID int(10) ;
 Interface_Info_Type int(10) ;
 Offset_Interface_Info int(10) ;
 Interface_Info_Length_Ret int(10) ;
 Interface_Info_Length_Avail int(10) ;
end-ds;

dcl-ds Qbn_PGII0100_t qualified based(TypeDef);
 Bytes_Returned int(10) ;
 Bytes_Available int(10) ;
 Obj_Name Char(10) ;
 Obj_Lib_Name Char(10) ;
 Obj_Type Char(10) ;
 Reserved3 Char(2) ;
 Offset_First_Entry int(10) ;
 Number_Entries int(10) ;
end-ds;

dcl-ds errcode qualified;
 bytesprov int(10) inz(0);
 bytesavail int(10) ;
end-ds;

dcl-ds psds psds ;
 codmsg char(7) pos(40);
 Libmsg char(100) pos(91);
end-ds;

// Define the initial storage for the first call to the API
dcl-ds tempRcvr likeds(Qbn_PGII0100_t);
dcl-ds rcvr likeds(Qbn_PGII0100_t) based(pRcvr);
dcl-ds entry likeds(Qbn_Interface_Entry_t) based(pEntry);
dcl-ds NomObj likeds(qualname);
dcl-ds NomMod likeds(qualname);

//-------------------------------------------------------------------------------------------------/
// Constantes
dcl-c AllMod '*ALLBNDMOD' ;
dcl-c LibModPGM 'QTEMP' ;
dcl-c Format_retour 'RPII0100' ;
// tailleXml doit avoir la même valeur que la variable XMLVALUE
dcl-c tailleXml 8192 ;

//-------------------------------------------------------------------------------------------------/
// Variables
dcl-s pRcvr pointer inz(*null);
dcl-s data Char(tailleXml) based(pData);
dcl-s pcml Varchar(tailleXml);
dcl-s len int(10);
dcl-s i int(10);
dcl-s entry_off int(10);

//-------------------------------------------------------------------------------------------------/
// Prototype d'appel de l'API QBNRPII (Retrieve Program Interface Information)
dcl-pr QBNRPII extpgm('QBNRPII') ;
 Receiver_variable likeds(Qbn_PGII0100_t);
 Length_of_receiver_variable int(10) const;
 Format_name Char(8) const;
 Qualified_object_name likeds(qualname) const;
 Object_Type Char(10) const ;
 Qualified_bound_module_name likeds(qualname) const;
 Error_code likeds(errcode);
end-pr;

// Prototype d'initialisation SQL
dcl-pr initSQL end-pr;

// Prototype déallocation mémoire
dcl-pr cleanup end-pr;

// Prototype extraction paramètre
dcl-pr rtvparam ind end-pr;

//-------------------------------------------------------------------------------------------------/
 initSQL();

// Construction des DS objet et module pour l'appel de l'API
 NomObj.Obj = P_Objet ;
 NomObj.Lib = P_Lib ;
 if P_Type = '*PGM' ;
 // Dans le cas d'un programme, nom module = nom PGM et bib = QTEMP
 NomMod.Obj = P_Objet ;
 NomMod.Lib = LibModPGM ;
 else;
 // Dans le cas d'un programme de service, appel de l'API pour tous les modules
 NomMod.Obj = AllMod ;
 NomMod.Lib = *blanks ;
 endif;

// Appel de l'API - détermination de la taille du retour contenant l'ensemble des PCML
 callp(e) QBNRPII (tempRcvr : %size(tempRcvr) : Format_retour : NomObj : P_Type : NomMod : errcode);

// Non trouvé : objet ou programme ou bibliothèque
 if %error;
 P_Error = codmsg + ' - ' + libmsg ;
 cleanup() ;
 return;
 endif;

// Pas de PCML
 if tempRcvr.Bytes_Available <= tempRcvr.Bytes_Returned;
 P_Error = 'Aucun PCML trouvé dans l''objet ' + P_Objet + ' de la bibliothèque ' + P_Lib ;
 cleanup() ;
 return;
 endif;

pRcvr = %alloc(tempRcvr.Bytes_Available);
 callp(e) QBNRPII (rcvr : tempRcvr.Bytes_Available : Format_retour : NomObj : P_Type : NomMod : errcode);
// Normalement, aucune erreur à ce niveau, mais par sécurité on refait les tests
 if %error or rcvr.Number_Entries = 0 ;
 if codmsg = *blanks ;
 P_Error = 'Erreur API - aucune donnée retournée';
 else;
 P_Error = codmsg + ' - ' + libmsg ;
 endif;

cleanup();
 return;
 endif;

// Lecture de la variable retour par PCML 
// --> Pour les *PGM, un seul PCML, pour les *SRVPGM, autant de PCML que de modules
 entry_off = rcvr.offset_First_Entry;
 for i = 1 to rcvr.Number_Entries;
 pEntry = pRcvr + entry_off;
 entry_off = entry.Offset_Next_Entry;
 pData = pRcvr + entry.Offset_Interface_Info;
 len = entry.Interface_Info_Length_Ret;

// Si le PCML récupéré est plus grand que la taille de la variable prévue --> erreur
 if len > tailleXml ;
 P_Error = 'Taille PCML : ' + %char(len) + ' trop grande pour la variable retour : ' + %editc(tailleXml : 'X') ;
 cleanup() ;
 return;
 endif;

pcml = %subst(data : 1: len);
 if not rtvparam() ;
 return;
 endif;
 endfor;

cleanup();
 P_Error = *blanks ;
 return;

//----------------------------------------------------------------------------------------//
// Procédure d'initialisation SQL //
//----------------------------------------------------------------------------------------//
dcl-Proc initSQL;
 Dcl-Pi *n end-Pi;

// initialisation des options de compilation sql
 EXEC SQL
 Set Option
 Naming = *Sys,
 Commit = *None,
 UsrPrf = *User,
 DynUsrPrf = *User,
 Datfmt = *iso,
 CloSqlCsr = *EndMod;

// création de la table de travail dans QTEMP, ou remise à blanc si elle existe déjà
 EXEC SQL
 create or replace table qtemp.wsparam
 (PROCNAME varchar(128),
 ENTRPT varchar(128),
 PARNAME varchar(128),
 USAGEIO varchar(11))
 on replace delete rows;

end-proc;

//----------------------------------------------------------------------------------------//
// Procédure de désallocation de la mémoire //
//----------------------------------------------------------------------------------------//
dcl-Proc Cleanup;
 Dcl-Pi *n end-Pi;

if pRcvr <> *null and pRcvr <> %addr(tempRcvr);
 dealloc(n) pRcvr;
 endif;

end-proc;

//----------------------------------------------------------------------------------------//
// Procédure d'extraction des paramètres //
//----------------------------------------------------------------------------------------//
dcl-Proc rtvparam;
 Dcl-Pi *n ind end-Pi;

dcl-s XMLVALUE sqltype(XML_CLOB : 8192);

// conversion du texte PCML en un champs XML
 EXEC SQL
 set :XMLVALUE = xmlparse(document :pcml) ;

if sqlcode <> 0 ;
 P_Error = 'Erreur de conversion XML, SQLCODE = ' + %char(sqlcode);
 cleanup() ;
 return *off;
 endif;

// Extraction du XML du nom du module, du nom de point d'entrée, du nom des paramètres et de leur usage,
// dans une table temporaire de QTEMP

EXEC SQL
 insert into qtemp.wsparam select x.* from
 xmltable('$d/pcml/program/data' passing :XMLVALUE
 as "d"
 columns PROCNAME varchar(128) path '../@name',
 ENTRPT varchar(128) path '../@entrypoint',
 PARNAME varchar(128) path '@name',
 USAGEIO varchar(11) path '@usage') as X ;
 if sqlcode <> 0 ;
 P_Error = 'Erreur insertion WSPARAM, SQLCODE = ' + %char(sqlcode);
 cleanup() ;
 return *off;
endif;

return *on ;

END-PROC;

A partir du fichier généré, vous pouvez gérer l’usage des paramètres :

Il ne reste plus qu’à créer le paramètre de la commande shell.

Extrait de code de la génération du paramètre -parameterUsage :

formalisme : -parameterUsage PROC1:i,o:PROC2:i,i,io

Attention à la casse des points d’entrée (PROC1 / PROC2…).

dcl-Proc gener_Opt;
 Dcl-Pi *n end-Pi;

Dcl-s LProc char(128);
 Dcl-s LEntrpt char(128);
 Dcl-s LParam char(128);
 Dcl-s LProcSh char(128);
 Dcl-s LUsage char(11);
 Dcl-s LProcSV char(30) inz(*blanks);
 Dcl-s param1 ind;
//------------------------------------//
// Constantes
dcl-c Deb_Opt '-parameterUsage ';
dcl-c SRVPGM '*SRVPGM' ;
//------------------------------------//

// Création d'un curseur récupérant les données du fichier de travail QTEMP/WSPARAM
 EXEC SQL
 declare curs02 cursor for
 SELECT PROCNAME, ENTRPT, PARNAME, USAGEIO
 FROM WSPARAM;

EXEC SQL
 open curs02;

// Lecture du fichier WSPARAM, pour alimentation de la variable retour
 dou sqlcode <> 0;
 EXEC SQL
 fetch from curs02
 into :LProc, :LEntrpt, :LParam, :LUsage;

if sqlcode = 0;
 //Entête module
 if LProc <> LProcSV ;
 // détermination du nom de la procédure pour la commande Shell (casse sensitive)
 if P_Type = SRVPGM ;
 LProcSh = LEntrpt ;
 else ;
 LProcSh = LProc ;
 endif;

// Insertion du nom de la procédure dans la commande
 if LProcSV = *blanks;
 P_Opt = Deb_Opt + %trim(LProcSh) +':'; // initialisation commande - 1ière proc
 else;
 P_Opt = %trim(P_Opt) + ':' + %trim(LProcSh) +':'; // Ajout 2ième procédure et suivan
 endif;
 LProcSV = LProc;
 param1 = *on ;
 endif;

//détail paramètre - construction de l'usage des paramètres
 if param1 ;
 param1 = *off ;
 else;
 P_Opt = %trim(P_Opt) + ',';
 endif;

select ;
 when LUsage = Input;
 P_Opt = %trim(P_Opt) + 'i';
when LUsage = Output;
 P_Opt = %trim(P_Opt) + 'o';
other;
 P_Opt = %trim(P_Opt) + 'io';
endsl;
 endif;
enddo;

EXEC SQL
 close curs02;

end-proc;

Dans le cas de web service de type REST, il faudra alimenter le fichier de propriété avec les bons usages des paramètres au lieu de construire le paramètre -parameterUsage.

Avantages :

  • Gestion de l’usage des paramètres au déploiement du web service.
  • Intégration simple au scénario de déploiement de web service ou autre traitement si besoin.
  • Dans le cas de sauvegarde du script de déploiement, il est directement utilisable sur une autre partition.

Inconvénients :

  • Aucun lorsqu’on a le source à disposition !

Cette dernière méthode sera intégrée à la prochaine version de notre outils WEBCONSOLE.

Retrouvez-nous à l’université du i les 16 et 17 mai.