, Offrez une indexation à votre IBMi avec OMNIFIND

Il existe un produit sur #IBMi qui permet d’indexer des fichiers DB (zones), des spools, des membres sources et l’IFS.

De plus en plus vous utilisez l’IFS et il peut être intéressant d’indexer les fichiers utilisateurs dans /HOME par exemple,

voici ce qu’il vous faudra faire pour démarrer avec cette solution.

Vous devez avoir le produit (gratuit) 5733OMF

la page IBM est ici

https://www.ibm.com/support/pages/omnifind-ibm-i

Vous avez plusieurs services SQL qui vont vous permettre d’administrer ce serveur

1) Vous devrez d’abord le démarrer

Vous avez un server par défaut c’est le 1

call sysproc.systs_start(1)

Pour voir si votre server est démarré vous avez un service SQL

SELECT substr(SERVERNAME, 1, 30) as serveur
, SERVERSTATUS FROM QSYS2.SYSTEXTSERVERS

Attention 0 indique démarré et 1 arrêté

vous pouvez lui donner un nom comme ceci

UPDATE QSYS2/SYSTEXTSERVERS SET SERVERNAME = ‘NOM_SERVEUR’ WHERE
SERVERID = 1

2) Vous devez créer une collection qui contiendra les éléments nécessaires à l’administration et les index par exemple

create collection omnifind

CALL SYSPROC.SYSTS_CRTCOL(‘OMNI_COL’,‘FORMAT INSO’)

Vous pouvez indiquer la fréquence de mise à jour, par défaut, pas de mise à jour automatique.

3) Vous allez ensuite créer un index, ici un index sur l’IFS

Si vous voulez indexer /HOME et les sous répertoires vous devrez utiliser la procédure suivante

SET schema pour mettre OMNI_COL comme collection par défaut

CALL MYCOLLECTION.ADD_IFS_STMF_OBJECT_SET(‘/home/’);

3) Vous allez devoir lancer la mise à jour de l’indexation

call SYSPROC.SYSTS_UPDATE(‘OMNI_COL’ , ‘IFS_OMNI_COL’)

ca peut prendre du temps

4) Vous avez une procédure qui permet de rechercher SEARCH

Vous devrez être autorisé à cette procédure

SET CURRENT SCHEMA OMNI_COL

GRANT EXECUTE ON PROCEDURE SEARCH(VARCHAR) TO QPGMR

set schema omni_col ;

CALL SEARCH(‘TEXT’)

la procédure vous renvoi un result SET que vous pouvez intégrer dans un programme RPGLE par exemple

5) Vous pouvez utiliser un dictionnaire de synonyme

Le fichier modèle se trouvera ici

/QOpenSys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/config/spell/Synonymes.xml

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
<synonymgroups version="1.0">
<synonymgroup>
<synonym>cheval</synonym>
<synonym>chevaux</synonym>
</synonymgroup>
 ...

</synonymgroups>

Pour importer

Vous devrez connaitre le nom de la collection

select * from qsys2.systextindexes

Puis passer le scripte sh suivant pour faire l’importation

QSH

cd /Qopensys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/bin

synonymTool.sh importSynonym

-synonymFile /QOpenSys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/config/spell/Synonymes.xml

-collectionName ‘nom_votre_collection’ true

-configPath /QOpenSys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/config

Quand vous rechercherez cheval, vous aurez les fichiers qui ont également chevaux dans le texte

Conclusion:

Ca peut être intéressant d’utiliser ce type d’index pour améliorer la performance de recherche
le produit est gratuit testez le !

, Comparer les PTF de 2 systèmes

Vous avez besoin de connaitre les niveaux de PTF de 2 systèmes.

Voici comment vous pouvez faire pour comparer les PTF de 2 systèmes, avant on pouvait le faire par Navigator for i – voir le post https://www.gaia.fr/comparer-le-niveau-de-ptf-entre-2-systemes-ibmi/

Pour les groupes

Vous avez la vue QSYS2.GROUP_PTF_INFO

Vous allez devoir comparer les niveaux installés sur les 2 systèmes. Voici comment le faire simplement :

Vous devrez faire une extraction des éléments sur le système à comparer par exemple

create table gaia.remote_ptf as (
select * from QSYS2.GROUP_PTF_INFO
) with data

Vous envoyez le fichier sur la machine cible

select a.PTF_GROUP_NAME, a.PTF_GROUP_LEVEL, b.PTF_GROUP_LEVEL
from QSYS2.GROUP_PTF_INFO a join gaia.remote_ptf b on
A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME

pour n’avoir que les différences

select distinct
substr(a.PTF_GROUP_NAME, 1, 30) ,
a.PTF_GROUP_LEVEL, b.PTF_GROUP_LEVEL
from QSYS2.GROUP_PTF_INFO a join gaia.remote_ptf b on
A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME
where a.PTF_GROUP_LEVEL <> b.PTF_GROUP_LEVEL

Attention vous avez 2 niveaux de groupe dans le fichier, il faudrait améliorer le script en prenant un max pour avoir le plus haut sur les 2 systèmes

Exemple :

with
LCL (PTF_GROUP_NAME, PTF_GROUP_LEVEL) as
(
SELECT substr(PTF_GROUP_NAME, 1, 20), max(PTF_GROUP_LEVEL) FROM
QSYS2.GROUP_PTF_INFO GROUP BY PTF_GROUP_NAME
),
RMT (PTF_GROUP_NAME, PTF_GROUP_LEVEL) as
(
SELECT substr(PTF_GROUP_NAME, 1, 20), max(PTF_GROUP_LEVEL) FROM
gaia.remote_ptf GROUP BY PTF_GROUP_NAME
)
select A.PTF_GROUP_NAME, A.PTF_GROUP_LEVEL, B.PTF_GROUP_LEVEL
from LCL A join RMT B on A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME

Pour les PTF unitaires

Vous avez la vue QSYS2.PTF_INFO, vous pouvez également utiliser un DSPPTF en OUTFILE

Vous allez devoir trouver les PTF manquantes

Vous devrez faire une extraction des éléments sur le système à comparer par exemple

create table gaia.remote_ptf1 as (
select * from QSYS2.PTF_INFO
) with data

Vous envoyez le fichier sur la machine cible

Pour avoir les PTF qui manquent sur le remote :

SELECT a.PTF_PRODUCT_ID, a.PTF_IDENTIFIER
FROM QSYS2.PTF_INFO a exception join
gaia.remote_ptf1 b on
a.PTF_PRODUCT_ID = b.PTF_PRODUCT_ID and
a.PTF_IDENTIFIER = b.PTF_IDENTIFIER

Si voulez les PTF qui manquent sur la source, le plus simple est de changer l’ordre des fichiers :

SELECT a.PTF_PRODUCT_ID, a.PTF_IDENTIFIER
FROM gaia.remote_ptf1 a exception join
QSYS2.PTF_INFO b on
a.PTF_PRODUCT_ID = b.PTF_PRODUCT_ID and
a.PTF_IDENTIFIER = b.PTF_IDENTIFIER

Remarque :

Vous pourriez utiliser une connexion DRDA pour comparer vos fichiers sans les envoyer, si c’est paramétré chez vous
exemple :
select distinct
substr(a.PTF_GROUP_NAME, 1, 30) ,
a.PTF_GROUP_LEVEL, b.PTF_GROUP_LEVEL
from QSYS2.GROUP_PTF_INFO a join Votresystéme.QSYS2.GROUP_PTF_INFO b on
A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME
where a.PTF_GROUP_LEVEL <> b.PTF_GROUP_LEVEL

Mai ca ne marche pas vous ne pouvez pas joindre un système avec un distant vous devrez créer une table local

exemple :

create table qtemp/votre bib as (

select * from Votresystéme.QSYS2.GROUP_PTF_INFO

) With Data

Vous avez des outils comme ARE qui permettent également de faire ce type d’opération


un lien avec un exemple DSPPTF OUTFILE
https://www.ibm.com/support/pages/ptfs-comparing-ptfs-between-systems

Il est difficile de déboguer un watcher parce qu’on ne maitrise pas son lancement.

Voici une méthode en utilisant RDI, qui va vous permet de le faire :

  1. Trouver le nom du programme à analyser :

WRKWCH WCH(*ALL) :

  • 5 pour le détail
  • Dans RDI, clic droit sur le programme à déboguer => débogage ou couverture de code (entrée de service) => définir un point d’entrée de service

Le message d’affiche :

Pour tester, on peut simuler un traitement qui va planter. Dans notre cas, on fait un call d’un programme qui n’existe pas, et donc ça va faire un plantage dans QSYSOPR.

SBMJOB CMD(CALL PGM(GAIA/ERREURA)) 

        JOB(ERREURA)                

        JOBQ(QSYSNOMAX)         

Une fois le programme a été lancé, sur RDI s’affichera le message suivant :

Cliquer sur « Afficher *LISTING »

Pour avancer d’un pas on peut utiliser la touche F5 ou en cliquant sur la flèche :

Pour afficher les valeurs des variables il suffit de passer la souris sur le nom de la variable :

Conclusion : c’est une solution simple pour déboguer un watcher ou un programme dont vous ne maitrisez pas le lancement.

Le programme doit être compilé avec le source.

Vous devrez avoir le droit pour faire ce type d’opération. Soit au niveau de profil, soit par les fonctions usages.

, , Informations sur les SAVF

Les groupes DB2 pour la TR2 de la V7R5 et de la TR8 de la V7R4 sont disponibles, une des nouveautés c’est les vues sur les fichiers de sauvegarde

La première vue sur les SAVF SAVE_FILE_INFO permet d’avoir des informations sur le SAVF

par exemple
vous voulez connaitre les SAVF qui date de plus de 6 mois

select * from QSYS2.SAVE_FILE_INFO
where SAVE_TIMESTAMP < current date – 6 month
order by SAVE_TIMESTAMP desc

Vous pouvez par exemple utiliser la fonction SQL QCMDEXC pour faire le ménage plus d’informations ici
https://www.gaia.fr/qcmdexc-en-fonction-sql/

La deuxième vue sur les objets sauvegardés dans les SAVF, QSYS2.SAVE_FILE_OBJECT permet d’avoir des informations sur les ojets contenus dans le SAVF

Par exemple vous voulez savoir, si un objet est dans une sauvegarde et sa date de sauvegarde

select * from QSYS2.SAVE_FILE_OBJECTS
where OBJECT_NAME = ‘votre objet’ and OBJECT_TYPE = ‘votre type’
order by SAVE_TIMESTAMP desc

Attention
Ces fonctions sont à lancer en batch, c’est des informations qui mettent du temps à être extraites

, Migration en V7R4 et IFS

Il est possible que vous ayez un effet de bord sur les fichiers téléchargés par FTP ou SFTP par exemple dans vos cpyfrmstmf ou cpyfrmimpf vous avez un plantage.

Les fichiers étaient jusqu’ici encodés en CCSID = 819 et maintenant par défaut, ils sont encodés en CCSID = 1208

Le problème est référencé ici

https://www.ibm.com/support/pages/after-v7r4-upgrade-encoding-scheme-not-compatible-utilizing-gifsgatecpyfrmstmf-gentran-server-iseries

En résumé, vous devez rajouter une variable d’environnement et redémarrer vos services

Voici comment ?

// Ajout d’une variable d’environnement

ADDENVVAR ENVVAR(PASE_DEFAULT_UTF8) VALUE(N) LEVEL(*SYS)

// Redémarrage du FTP

STRTCPSVR SERVER(*FTP)

ENDTCPSVR SERVER(*FTP)

// Redémarrage du SFTP

ENDTCPSVR SERVER(*SSHD)

STRTCPSVR SERVER(*SSHD)

Conclusion :

Ca vous permet de contourner le problème, mais le mieux est de passer en unicode donc CCSID = 1208

, Comment Modifier un spool ?

Vous avez un spool généré et vous voulez le modifier, bien sur si vous pouvez agir avant la génération du spool c’est mieux.

Imaginons que vous ne pouvez pas le faire, voici la procédure en quelques étapes pour réaliser cette opération.

Vous devez créer un fichier qui a la longueur de votre spool + 1

CRTPF QTEMP/SPOOLPF RCDLEN(longueur + 1)

Ensuite vous avez besoin d’identifier votre spool
nom_spool, Numero_job, Utilisateur, Nom_job et numero_spool (souvent , on peut utiliser *LAST)

Vous allez copier votre spool en idiquant bien *FCFC

CPYSPLF FILE(NOM_SPOOL) TOFILE(QTEMP/SPOOLPF)
JOB(NUMERO_JOB/UTILISATEUR/NOM_JOB)
SPLNBR(LAST) CTLCHAR(*FCFC)

Vous pouvez alors modifier votre ficher DB généré, par SQL, DFU ou par programme

Votre fichier est modifié, vous allez devoir le recopier pour regénérer un spool.
D’abord, indiquez que vous avez besoin des caractères de contrôle


OVRPRTF FILE(NOM_SPOOL) CTLCHAR(*FCFC)


Transformation de votre fichier DB en SPOOL


CPYF FROMFILE(QTEMP/SPOOLPF) TOFILE(NOM_SPOOL)

Vous pouvez à nouveau gérer votre spool, exemple pour le changer de file :


CHGSPLFA FILE(NOM_SPOOL) JOB(NUMERO_JOB/UTILISATEUR/NOM_JOB)
SPLNBR(*LAST) OUTQ(TLXOFC/FAX)

Conclusion :

Ca reste du bricolage, mais ca peut dépanner.

, Messages CPF1124 et CPF1164

Quand un travail démarre, il crée dans la log système un message CPF1124 et un message CPF1164 quand il se termine.

C’est comme ca qu’on sait qu’un job à tourné

Mais attention, Il existe des travaux pour lesquels les messages CPF1124 et CPF1164 ne sont pas logués dans QHST : il s’agit des SPAWN jobs.

Les travaux QP0ZSPWP & QP0ZSPWT en sont de bons exemples.

Spawn batch jobs : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=jobs-spawn-batch

Spawn est une fonction qui crée un nouveau processus de travail (processus enfant) qui hérite de nombreux attributs du processus appelant (processus parent). Un nouveau programme est spécifié et commence à s’exécuter dans le processus enfant. Lorsque vous lancez un travail par lots, vous utilisez un travail parent pour transmettre des arguments et des variables d’environnement au travail enfant. L’API spawn() utilise des travaux batch immédiats, des travaux pré-démarrés ou des travaux batch pré-démarrés.

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=ssw_ibm_i_74/apis/spawn.htm

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=programs-example-using-process-related-apis

Ca peut être le cas aussi pour les jobs QCTXDMON (IBM transformer)

plus rigolo

Vous pouvez demander à supprimer ces messages

Pour cela vous devez créer une dtaara QWTFMSG dans QUSRSYS :

CRTDTAARA DTAARA(QUSRSYS/QWTFMSG) TYPE(*CHAR) LEN(14) VALUE(‘CPF1124CPF1164’)

Cette valeur est prise en compte au démarrage de vos sous systémes

elle est globale c’est dommage qu’on ne puisse préciser un sous système

Attention


Beaucoup d’outils d’analyse utilise ces messages pour vérifier le bon traitement d’une tache

Nombre maximum de spools par JOB

Nombre de spools d’un job est fixé globalement par la valeur système QMAXSPLF.
Elle est par défaut à 9999 et le maximum 999999 sont changement ne nécessite pas d’IPL.

Il est possible que pour un job cette valeur soit insuffisante pour un asynchrone par exemple qui est chargé de faire de l’impression.

Vous recevrez le message CPF4167

Vous pouvez augmenter cette limite en utilisant une variable d’environnement QIBM_SP_MAXSPLF

ADDENVVAR ENVVAR(QIBM_SP_MAXSPLF)
VALUE(99999)
LEVEL(*JOB)

Pour voir les variables d’environnement d’un travail WRKENVVAR

OU DSPJOB puis option 22

ou

DSPJOB OPTION(*ENVVAR)

Attention, bien mettre *JOB pour limiter la portée de la modification au travail

Conseil :


Il n’est pas conseillé de changer la valeur système QMAXSPLF qui vous protégé d’un job qui boucle

, Comparer 2 monitors de base de données

Vous avez collecté 2 monitors de base de données, du genre avant après une mise en prod et vous voulez les comparer

La première solution est d’utiliser ACS
SQL Performance Center
Moniteur de performances

Mais vous pouvez faire des opérations assez similaire en utilisant SQL

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=formats-sql-table

Voici 2 exemples de requêtes

En nombre en ID record

WITH dbmon1 (QQRID, total1) AS (
         SELECT QQRID,
                COUNT(*)
             FROM votrebib.QZGxxxxxx     << monitor 1
             GROUP BY QQRID
     ),
     dbmon2 (QQRID, total2) AS (
         SELECT QQRID,
                COUNT(*)
             FROM votrebib.QZGyyyyyyy     << monitor 2
             GROUP BY QQRID
     )
    SELECT dbmon1.QQRID,
           dbmon1.total1,
           dbmon2.total2
        FROM dbmon1
             JOIN dbmon2
                 ON dbmon1.QQRID = dbmon2.QQRID

En temps d’exécution

WITH dbmon1 (QQRID, total1) AS (
         SELECT QQRID,
                sum(QQETIM - QQsTIM )
             FROM votrebib.QZGxxxxxxx    << monitor 1
             GROUP BY QQRID
     ),
     dbmon2 (QQRID, total2) AS (
         SELECT QQRID,
                 sum(QQETIM - QQsTIM )
             FROM votrebib.QZGyyyyyyyy   << monitor 2 
             GROUP BY QQRID
     )
    SELECT dbmon1.QQRID,
           dbmon1.total1,
           dbmon2.total2
        FROM dbmon1
             JOIN dbmon2
                 ON dbmon1.QQRID = dbmon2.QQRID

Après il vous faudra enquêter sur les différences que vous avez constaté

Exemple :


Avec l’ID , 3002 vous aurez les indexs à créer

, TR2 pour la V7R5

Les annonces de la TR2 pour la V7R5 sont sorties

Voici quelques infos sur les nouveauté de la TR

des nouvelles vues SQL
par exemple pour manipuler les fichiers SAVF
QSYS2.SAVE_FILE_INFO
QSYS2.SAVE_FILE_OBJECTS

sur les audits

Nouvelles fonctions table AUDIT_JOURNAL_XX pour analyser les types suivants
AP, AX, OR, PA, PF, PU, RA, RO, and RZ

ZLIB supporté par SQE

Sur DB2 , nouvelles fonctions SQL pour manipuler les dates et les heures

ADD_DAYS scalar function
ADD_HOURS scalar function
ADD_MINUTES scalar function
ADD_SECONDS scalar function
ADD_YEARS scalar function

Mais la principale nouveauté c’est l’arrivée de

Geospatial Analytics dans DB2 , c’est celle de Watson

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=analytics-best-practices-considerations

Vous voulez une définition regardez ici

https://fr.wikipedia.org/wiki/Analyse_spatiale

Ca préfigure de grosses nouveautés en matière d’analyse de données

RDV pour les premiers tests

plus d’informations ici

https://www.ibm.com/support/pages/ibm-i-75-tr2-enhancements