Vous avez installé un nouveau système et il vous manque des fonctions usage dans navigator for i , attention il y a des fonctions qui ne sont pas administrables par cette interface mais uniquement en 5250 par la commande =>WRKFCNUSG, cela dépendra de la catégorie :
Pour gérer plus simplement les utilisateurs pour les fonctions non administrées dans navigator for i , (par exemple QIBM_DB_ZDA qui sert pour autoriser les accès ODBC) nous proposons un produit téléchargeable à cette adresse https://github.com/Plberthoin/PLB/blob/master/WRKUSRUSG/
Vous pouvez gérer le comportement globale de la fonction <F10> et les users en exception <F6>
Maintenant ,voici comment ajouter celles qui sont administrables et que vous ne voyez pas
Leur affichage dans Navigator for i peut dépendre des produits installés sur votre partition
Ouvrir l’onglet
Ajouter des fonctions dans fonctions usage
Puis choisir dans les actions
sélectionnez l’enregistrement des fonctions
Quand vous revenez dans liste des fonctions, vous en avez maintenant beaucoup plus
On peut analyser les violations des fonctions usage, c’est les postes de type GR dans le journal d’audit.
Soit par un DSPJRN
Soit par une requête SQL
Liste des violations de Fonction Usage sur la journée précédente !
SELECT *
FROM TABLE (
SYSTOOLS.AUDIT_JOURNAL_GR (STARTING_TIMESTAMP => CURRENT DATE – 1 DAYS))
WHERE FUNCTION_REGISTRATION_OPERATION = ‘USAGE FAILURE’
Conclusion :
L’utilisation de certaines de ces fonctions devient primordiale, et il faudra s’habituer à les utiliser .
Vous pouvez ajouter ou supprimer des fonctions liées à des applications installées sur votre partition dans navigator for i mais toutes ne sont pas gérées dans l’interface !
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-01-01 19:39:152023-01-03 09:47:09Informations sur les commandes
Avec la version TR1 de 7.5 TR1 et la TR7 de la 7.4
IBM met à dispo un service qui va permettre suivre les travaux soumis par JOBQ, cette information existait mais était plus compliquée d’utilisation et vous pourrez choisir les JOBQ que vous voulez suivre.
Voici la liste des services disponibles :
ADD_TRACKED_JOB_QUEUE, qui permet d’ajouter une JOBQ à superviser CLEAR_TRACKED_JOB_QUEUE, qui permet de reseter les statistiques des JOBQ supervisées REMOVE_TRACKED_JOB_QUEUE, qui permet de retirer une JOBQ à superviser TRACKED_JOB_INFO, qui permet d’avoir des informations sur les travaux soumis dans cette JOBQ TRACKED_JOB_QUEUES, qui permet de voir les JOBQ supervisées
Ci-dessous le lien de référence pour retrouver les informations essentielles
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-01-01 19:15:092023-01-03 09:46:13Suivi des travaux par JOBQ
Vous connaissez tous les notions de cette bibliothèque :
Elle n’est pas sauvegardée à la fin d’un travail et chaque travail a sa QTEMP.
Elle est généralement dans votre liste de bibliothèque.
Maintenant imaginez que vous utilisez un logiciel et que vous voulez être sûr que QTEMP soit la première bibliothèque de votre liste :
Vous pouvez l’enlever et la remettre en entête mais attention, l’enlever revient à la supprimer. Si vous avez des données par exemple des fichiers à l’intérieur, ils seront donc perdus, je propose donc un petit programme qui pourra réaliser ça pour vous :
PGM
/* MISE EN PLACE QTEMP EN TETE DE LISTE */
dcl &time *char 6
DCL VAR(&NBR) TYPE(*DEC) LEN(10)
dcl &libl *char 2750
dcl &req *char 512
/* Recherche si QTEMP est entete on ne fait rien */
RTVJOBA USRLIBL(&LIBL)
IF COND(%sst(&libl 1 10) = 'QTEMP') THEN(DO)
goto fin
ENDDO
/* Recherche si QTEMP est pas en tete de liste */
ELSE
DSPOBJD OBJ(QTEMP/*ALL) OBJTYPE(*ALL) +
OUTPUT(*OUTFILE) OUTFILE(QTEMP/WRESULT)
MONMSG MSGID(CPF2123) exec(do)
/* si bibliothèque vide */
RMVLIBLE LIB(QTEMP)
ADDLIBLE LIB(QTEMP) POSITION(*FIRST)
GOTO CMDLBL(FIN)
ENDDO
/* Si bibliothèque QTEMP remplie */
CRTLIB LIB('W' *TCAT &TIME) TYPE(*TEST) TEXT('Bib +
sauvegarde qtemp')
monmsg CPF2111 exec(do)
CLRLIB LIB('W' *TCAT &TIME)
ENDDO
CRTDUPOBJ OBJ(*ALL) FROMLIB(QTEMP) OBJTYPE(*FILE) +
TOLIB('W' *TCAT &TIME) DATA(*YES)
monmsg CPF2130
rmvlible qtemp
addlible qtemp *first
CRTDUPOBJ OBJ(*ALL) FROMLIB('W' *TCAT &TIME) +
OBJTYPE(*FILE) TOLIB(QTEMP) DATA(*YES)
monmsg CPF2130
DLTLIB LIB('W' *TCAT &TIME)
/* fin du programme */
fin:
SNDPGMMSG MSGID(CPF9898) MSGF(QCPFMSG) +
MSGDTA('Bibliothèque Qtemp placée en tête +
de liste') MSGTYPE(*COMP)
ENDPGM
Voila, vous avez une exemple tout en CLP , qui permet de mettre QTEMP en tête de liste sans perdre les informations à l’intérieur.
A*
A DSPSIZ(24 80 *DS3)
A CA03(03)
A R FMT01
A*%%TS SD 20221129 091353 QSECOFR REL-V7R4M0 5770-WDS
A 1 20'Liste des commandes ATTN'
A DSPATR(HI)
A 3 2' 1'
A CMD001 61A O 3 6
A 4 2' 2'
A CMD002 61A O 4 6
A 5 2' 3'
A CMD003 61A O 5 6
A 6 2' 4'
A CMD004 61A O 6 6
A 7 2' 5'
A CMD005 61A O 7 6
A 8 2' 6'
A CMD006 61A O 8 6
A 9 2' 7'
A CMD007 61A O 9 6
A 10 2'80'
A CMD008 61A O 10 6
A 11 2'90'
A CMD009 61A O 11 6
A 22 4'F3=Exit'
Vous l’avez compris l’information se trouve dans le message CPX2313 .
Donc pour customiser votre menu ATTN, il vous suffit de faire un changement sur ce message, attention c’est pour tous les utilisateurs de votre système …
On rencontre parfois ces 2 customisations que je vous ai mis dans un programme CLP
pgm
/*-------------------------------------*/
/* Customisation du menu ATTN */
/* 2 on remplace DSPJOB par WRKJOB */
/* 4 on remplace SNDMSG par SNDSMTPEMM */
/*-------------------------------------*/
dcl &msg *char 100
RTVMSG MSGID(CPX2313) MSGF(QCPFMSG) MSG(&MSG)
chgvar %SST(&MSG 12 10) 'WRKJOB'
chgvar %sst(&msg 34 10) 'SNDSMTPEMM'
CHGMSGD MSGID(CPX2313) MSGF(QCPFMSG) MSG(&MSG)
endpgm
Vous pourrez désormais gérer vos travaux et envoyer un mail (si tout est paramétré chez vous)
La valeur QSECURITY permet de connaître le niveau de sécurité appliqué au système.
Il y a 5 niveaux de sécurité, 10 – 20 – 30 – 40 – 50.
10 étant la sécurité la plus faible et 50 la plus élevé.
Pour connaître la valeur du niveau de sécurité de votre système, vous devez vous rendre dans les valeurs système en utilisant la commande WRKSYSVAL.
Sur la ligne rouge on peut voir le niveau de sécurité de notre système.
Dans le carré bleu, on peut voir les 5 niveaux de sécurité avec une courte description.
Depuis la version V7R5, le niveau de sécurité minimal est de 30.
IBM recommande le niveau de sécurité 40 en raison des vulnérabilités trouvées au niveau 30.
La plupart des entreprises possédant un IBM i travaillent avec un niveau de sécurité 40.
Seuls les services financiers et quelques autres entreprises utilisent le niveau de sécurité 50 pour se conformer aux normes de défense américaine.
Voyons maintenant en détails, les 5 niveaux de sécurité :
ㅤ
Niveau 10→ Pas de mot de passe requis, des profils sont créés à chaque fois qu’un utilisateur essaie de se connecter. Les utilisateurs créés ont accès à tout car l’autorité *ALLOBJ leur est attribuée automatiquement. Ce niveau n’est plus entretenu par IBM.
Niveau 20 → À ce niveau l’autorité *ALLOBJ est toujours attribuée à chaque utilisateur. En plus du niveau 10, un identifiant et un mot de passe sont nécessaires pour se connecter. Seul un profil *SECADM peut créer des nouveaux profils utilisateur. Ce niveau n’est plus admis depuis la V7R5.
Niveau 30 → En plus du niveau 20, ce niveau peut gérer les autorisations des utilisateurs au cas par cas. Les profils ayant l’autorité *ALLOBJ sont forcément créés avec la classe de sécurité *SECOFR, les autres n’ont pas cette autorité.
Niveau 40 → Protection de l’intégrité du système d’exploitation. Signature et sécurité des ressources. Le système empêche les tentatives d’appeler directement des programmes système non reconnus.
Niveau 50 → Protection renforcée de l’intégrité du système d’exploitation. Signature et sécurité des ressources. Avant de passer à ce niveau, la mise en place du journal d’audit est obligatoire. Ce niveau a été créé pour répondre à la norme C2 (Norme de département de défense Américain). Une meilleure protection des blocs de contrôle interne est appliquée.
Vous devez moderniser votre base de données, pour cela vous pouvez commencer par extraire le source de votre PF, par exemple en passant par Générations d’instructions SQL dans ACS , ou en utilisant la procédure SQL de QSYS2 GENERATE_SQL Ou GENERATE_SQL_OBJECT ,
La plus part du temps on obtient un scripte SQL qui vous permettra de générer votre nouvelle table , ici un exemple ou on a enlevé les commentaires.
Que ce passe t’il au niveau des droits ?
Avant par DSPOBJAUT
par DROITS dans ACS
La liste d’autorisations
Premier effet vous pouvez avoir des différences sur les droits publics
exemple ici
Après
Vous vous retrouvez avec un droit USER DEF au lieu de *CHANGE et vous avez perdu le droit exécute, on est d’accord ca ne change rien sur une table, c’est juste un peu moins lisible quand on analyse au niveau du système
le plus gênant c’est la liste d’autorisation que vous perdez et la cela peux changer complètement puisque vous perdez 1 voir 2 niveaux de recherches
Dans notre cas FORM06 se retrouve avec des droits *PUBLIC
Conclusion :
Après avoir modernisé vos tables, vous devez réappliquer vos droits le plus simple est de généré un objet de référence
une autre solution est de vous affranchir des listes d’autorisation qui ne sont pas générées dans SQL
Si vous commencez à faire du SSH (en tant que client), par exemple pour faire du GitHub, vous avez des jobs qui vont rester et que vous devrez tuer par un kill ou un ENDJOB.
C’est des jobs BCI qui restent après avoir arrêté vos JOBs interactifs.
Voici un petit script CLP qui permet de faire ça, il vous suffit de le planifier tous les soirs à 23 heures par exemples.
Ici on a utiliser la fonction table QSYS2.ACTIVE_JOB_INFO et la fonction QSYS2.QCMDEXC et on packagé le tout dans un CLP …
PGM
/* Suppression des jobs SSH dans QINTER */
dcl &NBRCURRCD *dec 10
/* Exécution de la requete SQL */
RUNSQL SQL('Create table qtemp/sortie as(SELECT +
QSYS2.QCMDEXC(''ENDJOB '' CONCAT +
JOB_NAME) as resultat FROM +
TABLE(QSYS2.ACTIVE_JOB_INFO(SUBSYSTEM_LIST_+
FILTER => ''QINTER'')) X where job_type +
= ''BCI'') with data') COMMIT(*NONE)
MONMSG MSGID(SQL0000) exec(do)
SNDUSRMSG MSG('Erreur dans l''exécution de la requête +
SQL d''épuration des jobs SSH') +
MSGTYPE(*INFO)
Return
enddo
/* Envoi d'un message de fin */
RTVMBRD FILE(QTEMP/SORTIE) NBRCURRCD(&NBRCURRCD)
if cond(&NBRCURRCD > 0) then(do)
SNDUSRMSG MSG(%CHAR(&NBRCURRCD) *TCAT ', job(s) SSH +
arrêté(s)') MSGTYPE(*INFO)
enddo
else do
SNDUSRMSG MSG('Pas de Job SSH à Supprimer ') +
MSGTYPE(*INFO)
enddo
ENDPGM
Sur les job de ssh-agent vous pouvez demander le kill directement comme ceci, merci à Julien …
La commande QSH lancer par votre CL qui vous permet de soumettre se présente donc comme ça :
eval "$(ssh-agent -s)" ; // Démarrage de l'agent
SSH ssh-add /home/jl/.ssh/github ; // Ajout de la clé à l'agent
ssh -T git@github.com ; // Test de connexion à GitHub
ssh-agent -k // Arrêter l'agent
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2022-11-04 17:07:312022-11-06 09:30:49Tuez les jobs SSH dans QINTER
et la on a le résultat qui l’indique ZONE OAOBJA à ‘USER DEF’ et une ZONE des DATA ici OAUPD à ‘/’
En résumé
On ne sait pas par SQL, mais on sait faire par une sortie fichier historique
Oui je sais , on peut trouver l’information par des vues spécifiques dans QSYS2 et SYSIBM
Vous avez d’abord la vue SYSIBM.SQLCOLPRIVILEGES mais attention, vous avez toutes les autorisations sur la zone y compris celles qui correspondent à un *CHANGE sur le fichier par exemple.
exemple : Select * from SYSIBM.SQLCOLPRIVILEGES where TABLE_SCHEM = ‘MABASESQL’ and TABLE_NAME = ‘CLIENTS’
order by column_name, grantee
Ou mieux la vue QSYS2.COLUMN_PRIVILEGES qui ne contient que les zones avec des autorisations spécifiques
exemple
Select * from QSYS2.COLUMN_PRIVILEGES where TABLE_SCHEMA = ‘MABASESQL’ and TABLE_NAME = ‘CLIENTS’
j’ai donc fait une RFE pour avoir l’information dans la fonction table QSYS2.OBJECT_PRIVILEGES
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2022-10-08 16:12:502022-10-25 09:54:57Droits SQL sur les Zones