, , Afficher une fenêtre

Comment Afficher une fenêtre dynamique ?

Vous avez besoin d’afficher une fenêtre avec un titre est un texte , par exemple dans des opérations d’administration

Vous pouvez utiliser un écran de type DSPF et un programme associé voici une alternative intéressante en utilisant DSM (Dynamic Screen Manager) qui vous permettra de créer dynamiquement un écran à la volée sans source à compiler

Le source est disponible ici

https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/WINDOW

Exemple :

avec un texte et un titre :

Pour en savoir plus sur DSM

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.3?topic=ssw_ibm_i_73/apis/dsm.html

Avec DSM vous pouvez gérer entièrement votre affichage …

, , Sécuriser le SQL embarqué

SQL prend une place de plus en plus importante dans les développements.

Il faut donc prendre des mesures de protection spécifiques sur le SQL embarqué qu’on ne prenait pas forcément en RPGLE.

Par exemple si vous utilisez du cryptage avec les fonctions ENCRYPT et DECRYPT il est important de ne pas afficher la clé de cryptage.

1) Le debug

Le premier risque c’est le debug : vous allez voir la clé de décryptage, même si vous utilisez une variable host c’est facile à voir.

La solution, c’est quand vous compilez votre programme le paramètre DBGENCKEY(‘Votre_clé’)

Vous devrez désormais indiquer votre clé pour débuguer.

Attention bien à ne pas perdre cette clé qui vous sera demandée à chaque de bug !

2) Informations sur les instructions SQL embarquées

Vous avez des vues qui vous permettent de voir le code sql embarqué dans vos programmes RPGLE

exemple :

la vue QSYS2.SYSPROGRAMSTMTSTAT

Pour vous prémunir vous devrez utiliser une variable host et ainsi vous n’aurez pas la valeur de décryptage dans l’instruction …

3) Le cache sql

Vous avez l’instruction exécutée que vous pouvez consulter dans le cache SQL, par exemple par ACS

Comment faire pour que la valeur ne soit pas affichée et pas affichable dans la requête avec les variables ?

Vous avez une procédure SYSPROC.SET_COLUMN_ATTRIBUTE

CALL SYSPROC.SET_COLUMN_ATTRIBUTE(‘GENVOI’, ‘GPARAM’, ‘PWORD’, ‘SECURE YES’);

plus de detail ici

Vous avez :h dans le cache et quand vous faites <gestion instruction SQL et variables>
la zone apparait en sécure

Vous devrez faire cette opérations sur toutes les zones !

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=services-set-column-attribute-procedure

4) Les SQL packages

Le SQL package est un objet qui stocke des informations pour en tirer partie au cours d’une future utilisation, depuis l’arrivée du moteur SQE, ils sont utilisés en second par rapport au cache SQL

Il faut différencier 2 types de SQL PACKAGE :

  • Les sql packages qui font partie de votre programme pour les SQL statiques, vous pouvez les consulter par la commande PRTSQLINF de votre programme sqlrpgle qui produira un spool comme celui ci :

On voit que également en ayant utilisé une variable hôte que l’information n’apparait pas en claire

  • Il existe une deuxième catégorie de packages SQL qui sont dus à l’utilisation du Extended Dynamic SQL, ce sont des objets qui sont créés essentiellement pour des accès ODBC et dynamiques, ce sont des objets de type *SQLPKG, ils sont en principe créés dans la bibliothèque qui contient la base de données. SQL utilisera les informations qui sont stockées à l’intérieur quand il en aura besoin. Il est difficile de voir le contenu des ces objets , cependant vous pouvez faire un dump de cet objet, par la commande DMPOBJ comme ci-dessous , mais encore une fois pas de contenu des variables hôtes.

Ces objets peuvent être supprimés, le système les recréera automatiquement quand, par exemple, vous changez de version d’IBM i ou quand il occupe trop de place. Attention cependant, il en existe certains qui font partie de SQL comme

QSQLPKG2 de QSYS
QSQXDPKG de QSYS

En règle générale, il ne faut pas toucher à ceux dont le nom commence par Q, ni aux objets qui sont dans QSYS.

Ci dessous un lien pour en savoir plus ces objets

https://www.ibm.com/support/pages/sql-package-questions-and-answers

Complément sur la procédure SET_COLUMN_ATTRIBUTE

Merci Christian

la procédure SET_COLUMN_ATTRIBUTE cache aussi :

  • la valeur des marqueurs qui sont dans les lignes QQRID=3010 des moniteurs de performance et images instantanées de cache de plan.
  • la valeur des marqueurs qui sont dans les attributs d’un graphe Visual Explain (voir image).
  • la valeur des marqueurs dans le pseudo SQL des nœuds de VE (voir image).

Conclusion :

SQL change la donne sur certains points, vous devrez adapter votre sécurité en fonction.

Dans tous les cas, préférez une variable host à un hardcoding qui apparait en clair.

Il y a certainement d’autres choses à mettre en œuvre, mais ces quelques astuces vous donnent une idée de ce que vous devrez mettre en œuvre

, , , Utilisation d’invite sélective

Vous connaissez et utilisez l’API QCMDEXC qui permet d’exécuter un commande IBMI

Exemple

CALL QCMDEXC (‘ADDLIBLE STITE’ 25)

Vous pouvez utilisez aussi par SQL sous forme de fonction ou procédure

Et enfin elle sera utilisée si vous faites un menu par SDA ou par UIM

Pour avoir une invite sélective vous devrez indiquer un ? avant la commande

Exemple


?WRKSPLF

Pour exécuter la commande WRKSPLF en ayant un invite équivalent à si vous aviez utilisé <F4>

Mais vous pouvez vouloir que certain paramètres soient affichables sans saisie d’autre pas affichable etc …

On va pouvoir indiquer devant les paramètres de la commande 2 caractères, pour indiquer une option de traitement de l’invite

?? le paramètre est modifiable et visible
?* le paramètre est vue mais pas modifiable
?– le paramètre n’est pas affichée

Ci dessous un tableau récapitulatif

Exemple

Sur la commande de gestion des fonctions usage , dans une procédure SQL

Ce qui produira un résultat suivant ou les 2 paramètres DEFAULT et ALLOBJAUT ne seront pas affichés

Le lien à connaitre pour les informations complètes

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.3?topic=time-using-selective-prompting-cl-commands

, , Liste des fonctions usage

Vous avez installé un nouveau système et il vous manque des fonctions usage dans navigator for i , attention il y a des fonctions qui ne sont pas administrables par cette interface mais uniquement en 5250 par la commande =>WRKFCNUSG, cela dépendra de la catégorie :

Pour gérer plus simplement les utilisateurs pour les fonctions non administrées dans navigator for i , (par exemple QIBM_DB_ZDA qui sert pour autoriser les accès ODBC) nous proposons un produit téléchargeable à cette adresse https://github.com/Plberthoin/PLB/blob/master/WRKUSRUSG/

Vous pouvez gérer le comportement globale de la fonction <F10> et les users en exception <F6>

Maintenant ,voici comment ajouter celles qui sont administrables et que vous ne voyez pas

Leur affichage dans Navigator for i peut dépendre des produits installés sur votre partition

Ouvrir l’onglet  

Ajouter des fonctions dans fonctions usage

Puis choisir dans les actions

sélectionnez l’enregistrement des fonctions

Quand vous revenez dans liste des fonctions, vous en avez maintenant beaucoup plus

On peut analyser les violations des fonctions usage, c’est les postes de type GR dans le journal d’audit.

Soit par un DSPJRN

Soit par une requête SQL

Liste des violations de Fonction Usage sur la journée précédente !

SELECT *

  FROM TABLE (

      SYSTOOLS.AUDIT_JOURNAL_GR (STARTING_TIMESTAMP => CURRENT DATE – 1 DAYS))

    WHERE FUNCTION_REGISTRATION_OPERATION = ‘USAGE FAILURE’

Conclusion :

L’utilisation de certaines de ces fonctions devient primordiale, et il faudra s’habituer à les utiliser .

Vous pouvez ajouter ou supprimer des fonctions liées à des applications installées sur votre partition dans navigator for i mais toutes ne sont pas gérées dans l’interface !

, , , Informations sur les commandes

Avec la version TR1 de 7.5 et la TR7 de la 7.4

IBM met à dispo un service (COMMAND_INFO) qui va permettre d’avoir des informations sur les commandes de votre partition IBM i.

Voici 2 idées d’utilisation de cette vue QSYS2.COMMAND_INFO

Par exemple, pour connaitre les commandes qui sont permises en environnement restreint

SELECT *
FROM QSYS2.COMMAND_INFO
WHERE ALLOW_LIMITED_USER = ‘*YES’

Par exemple, pour savoir si un programme est utilisé dans une commande lorsqu’on fait une analyse d’impact avant une modification

SELECT COMMAND_NAME,
COMMAND_PROCESSING_PROGRAM_LIBRARY,
COMMAND_PROCESSING_PROGRAM
FROM QSYS2.COMMAND_INFO
WHERE COMMAND_LIBRARY = ‘GFTP’

Conclusion :

Cette vue fournit des informations intéressantes et faciles à croiser avec d’autres éléments sur toutes les commandes présentes sur vos systèmes.

, Suivi des travaux par JOBQ

Avec la version TR1 de 7.5 TR1 et la TR7 de la 7.4

IBM met à dispo un service qui va permettre suivre les travaux soumis par JOBQ, cette information existait mais était plus compliquée d’utilisation et vous pourrez choisir les JOBQ que vous voulez suivre.

Voici la liste des services disponibles :

ADD_TRACKED_JOB_QUEUE, qui permet d’ajouter une JOBQ à superviser
CLEAR_TRACKED_JOB_QUEUE, qui permet de reseter les statistiques des JOBQ supervisées
REMOVE_TRACKED_JOB_QUEUE, qui permet de retirer une JOBQ à superviser
TRACKED_JOB_INFO, qui permet d’avoir des informations sur les travaux soumis dans cette JOBQ
TRACKED_JOB_QUEUES, qui permet de voir les JOBQ supervisées

Ci-dessous le lien de référence pour retrouver les informations essentielles

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=services-work-management

Principe

Vous ajoutez une JOBQ à superviser


CALL QSYS2.ADD_TRACKED_JOB_QUEUE(IASP_NAME => ‘*SYSBAS’,
JOB_QUEUE_LIBRARY => ‘SSHLIB’,
JOB_QUEUE => ‘SSHJOBQ’);

Vous pouvez voir les travaux qui sont placés par votre JOBQ

SELECT * FROM TABLE(QSYS2.TRACKED_JOB_INFO(JOB_QUEUE_LIBRARY_FILTER => ‘SSHLIB’,
JOB_QUEUE_FILTER => ‘SSHJOBQ’))
WHERE JOB_END_TIME IS NULL;

Vous pouvez avoir des informations sur les JOBQ supervisées

SELECT *
FROM QSYS2.TRACKED_JOB_QUEUES
ORDER BY IASP_NAME, JOB_QUEUE_LIBRARY, JOB_QUEUE_NAME;

Conclusion :

Ce service peut vous permettre d’avoir un suivi précis par JOBQ des jobs soumis, à l’inverse vous pourrez savoir si une JOBQ n’est pas utilisée

Vous connaissez tous les notions de cette bibliothèque :

Elle n’est pas sauvegardée à la fin d’un travail et chaque travail a sa QTEMP.

Elle est généralement dans votre liste de bibliothèque.

Maintenant imaginez que vous utilisez un logiciel et que vous voulez être sûr que QTEMP soit la première bibliothèque de votre liste :

Vous pouvez l’enlever et la remettre en entête mais attention, l’enlever revient à la supprimer. Si vous avez des données par exemple des fichiers à l’intérieur, ils seront donc perdus, je propose donc un petit programme qui pourra réaliser ça pour vous :

PGM                                                                   
/* MISE EN PLACE QTEMP EN TETE DE LISTE */                            
dcl &time *char 6                                                     
             DCL        VAR(&NBR) TYPE(*DEC) LEN(10)                  
             dcl &libl *char 2750                                     
             dcl  &req *char 512                                      
 /* Recherche si QTEMP est entete on ne fait rien                  */ 
             RTVJOBA    USRLIBL(&LIBL)                                
             IF COND(%sst(&libl 1 10) = 'QTEMP') THEN(DO)             
             goto fin                                                 
             ENDDO                                                    
 /* Recherche si QTEMP est pas en tete de liste                    */ 
             ELSE                                                     
             DSPOBJD    OBJ(QTEMP/*ALL) OBJTYPE(*ALL) +               
                          OUTPUT(*OUTFILE) OUTFILE(QTEMP/WRESULT)     
             MONMSG     MSGID(CPF2123) exec(do)                       
 /* si bibliothèque vide */                                           
             RMVLIBLE   LIB(QTEMP)                                    
             ADDLIBLE   LIB(QTEMP) POSITION(*FIRST)                   
             GOTO       CMDLBL(FIN)                                 
             ENDDO                                                  
 /* Si bibliothèque QTEMP remplie */                                 
             CRTLIB     LIB('W' *TCAT &TIME) TYPE(*TEST) TEXT('Bib +
                          sauvegarde qtemp')                        
             monmsg CPF2111 exec(do)                                
             CLRLIB     LIB('W' *TCAT &TIME)                        
             ENDDO                                                  
             CRTDUPOBJ  OBJ(*ALL) FROMLIB(QTEMP) OBJTYPE(*FILE) +   
                          TOLIB('W' *TCAT &TIME) DATA(*YES)         
   monmsg    CPF2130                                                
             rmvlible qtemp                                         
             addlible qtemp  *first                                 
             CRTDUPOBJ  OBJ(*ALL) FROMLIB('W' *TCAT &TIME) +        
                          OBJTYPE(*FILE) TOLIB(QTEMP) DATA(*YES)    
   monmsg    CPF2130                                                
             DLTLIB     LIB('W' *TCAT &TIME)                        
 /* fin du programme */                                             
 fin:
            SNDPGMMSG  MSGID(CPF9898) MSGF(QCPFMSG) +               
                         MSGDTA('Bibliothèque Qtemp placée en tête +
                         de liste') MSGTYPE(*COMP)                  
            ENDPGM                                                                                                                

Voila, vous avez une exemple tout en CLP , qui permet de mettre QTEMP en tête de liste sans perdre les informations à l’intérieur.

Merci à Jean-Marie pour son aide.

C’est un menu que vous pouvez lancer à tout moment par la combinaison de touche <flèche> + <ATTN> + <Enter>

Si vous avez du mal au clavier vous pouvez dans ACS faire un clique droit !

Ce menu vous propose des actions voici un source qui vous permet de voir ces options

Le programme en CLP

pgm
dclf wrkattn
dcl &msg *char 100
dcl &txt *char 50
             RTVMSG     MSGID(CPX2313) MSGF(QCPFMSG) MSG(&MSG)
             DOUNTIL    COND(&IN03) /* do */
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 1 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd001  (%sst(&msg  1 10) *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 12 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd002  (%sst(&msg 12 10)  *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 23 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd003  (%sst(&msg 23 10) *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 34 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd004  (%sst(&msg 34 10) *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 45 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd005  (%sst(&msg 45 10) *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 56 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd006  (%sst(&msg 56 10) *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 67 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd007  (%sst(&msg 67 10) *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 78 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             chgvar &cmd008  (%sst(&msg 78 10) *cat &txt)
             RTVOBJD    OBJ(%SST(&MSG 89 10)) OBJTYPE(*CMD) TEXT(&txt)
             monmsg cpf9801
             chgvar &cmd009  %sst(&msg 89 10)
             SNDRCVF    RCDFMT(FMT01)
             IF         COND(&IN03) THEN(LEAVE)
             enddo


endpgm

L’écran

     A*
     A                                      DSPSIZ(24 80 *DS3)
     A                                      CA03(03)
     A          R FMT01
     A*%%TS  SD  20221129  091353  QSECOFR     REL-V7R4M0  5770-WDS
     A                                  1 20'Liste des commandes ATTN'
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                  3  2' 1'
     A            CMD001        61A  O  3  6
     A                                  4  2' 2'
     A            CMD002        61A  O  4  6
     A                                  5  2' 3'
     A            CMD003        61A  O  5  6
     A                                  6  2' 4'
     A            CMD004        61A  O  6  6
     A                                  7  2' 5'
     A            CMD005        61A  O  7  6
     A                                  8  2' 6'
     A            CMD006        61A  O  8  6
     A                                  9  2' 7'
     A            CMD007        61A  O  9  6
     A                                 10  2'80'
     A            CMD008        61A  O 10  6
     A                                 11  2'90'
     A            CMD009        61A  O 11  6
     A                                 22  4'F3=Exit'

Vous l’avez compris l’information se trouve dans le message CPX2313 .

Donc pour customiser votre menu ATTN, il vous suffit de faire un changement sur ce message, attention c’est pour tous les utilisateurs de votre système …

On rencontre parfois ces 2 customisations que je vous ai mis dans un programme CLP

pgm
/*-------------------------------------*/
/* Customisation du menu ATTN          */
/* 2 on remplace DSPJOB par WRKJOB     */
/* 4 on remplace SNDMSG par SNDSMTPEMM */
/*-------------------------------------*/
dcl &msg *char 100
             RTVMSG     MSGID(CPX2313) MSGF(QCPFMSG) MSG(&MSG)
             chgvar         %SST(&MSG 12 10)  'WRKJOB'
             chgvar         %sst(&msg 34 10)  'SNDSMTPEMM'
             CHGMSGD    MSGID(CPX2313) MSGF(QCPFMSG) MSG(&MSG)
endpgm

Vous pourrez désormais gérer vos travaux et envoyer un mail (si tout est paramétré chez vous)

, La valeur de sécurité QSECURITY

La valeur de sécurité QSECURITY

La valeur QSECURITY permet de connaître le niveau de sécurité appliqué au système.

Il y a 5 niveaux de sécurité, 10 – 20 – 30 – 40 – 50.

10 étant la sécurité la plus faible et 50 la plus élevé.

Pour connaître la valeur du niveau de sécurité de votre système, vous devez vous rendre dans les valeurs système en utilisant la commande WRKSYSVAL.

Au vu du nombre de valeurs de notre système, on va trier par sous-ensemble.

On va rentrer *SEC pour aller voir les valeurs système de sécurité.

On affiche ensuite la valeur système QSECURITY.

Sur la ligne rouge on peut voir le niveau de sécurité de notre système.

Dans le carré bleu, on peut voir les 5 niveaux de sécurité avec une courte description.

Depuis la version V7R5, le niveau de sécurité minimal est de 30.

Tableau des valeurs de QSECURITY depuis la V7R5

IBM recommande le niveau de sécurité 40 en raison des vulnérabilités trouvées au niveau 30.

La plupart des entreprises possédant un IBM i travaillent avec un niveau de sécurité 40.

Seuls les services financiers et quelques autres entreprises utilisent le niveau de sécurité 50 pour se conformer aux normes de défense américaine.

Voyons maintenant en détails, les 5 niveaux de sécurité :

Niveau 10 Pas de mot de passe requis, des profils sont créés à chaque fois qu’un utilisateur essaie de se connecter. Les utilisateurs créés ont accès à tout car l’autorité *ALLOBJ leur est attribuée automatiquement. Ce niveau n’est plus entretenu par IBM.

Niveau 20 → À ce niveau l’autorité *ALLOBJ est toujours attribuée à chaque utilisateur. En plus du niveau 10, un identifiant et un mot de passe sont nécessaires pour se connecter. Seul un profil *SECADM peut créer des nouveaux profils utilisateur. Ce niveau n’est plus admis depuis la V7R5.

Niveau 30 → En plus du niveau 20, ce niveau peut gérer les autorisations des utilisateurs au cas par cas. Les profils ayant l’autorité *ALLOBJ sont forcément créés avec la classe de sécurité *SECOFR, les autres n’ont pas cette autorité.

Niveau 40 → Protection de l’intégrité du système d’exploitation. Signature et sécurité des ressources. Le système empêche les tentatives d’appeler directement des programmes système non reconnus.

Niveau 50 → Protection renforcée de l’intégrité du système d’exploitation. Signature et sécurité des ressources. Avant de passer à ce niveau, la mise en place du journal d’audit est obligatoire. Ce niveau a été créé pour répondre à la norme C2 (Norme de département de défense Américain). Une meilleure protection des blocs de contrôle interne est appliquée.

, , Droits et génération SQL script

Vous devez moderniser votre base de données, pour cela vous pouvez commencer par extraire le source de votre PF,
par exemple en passant par Générations d’instructions SQL dans ACS , ou en utilisant la procédure SQL de QSYS2 GENERATE_SQL Ou GENERATE_SQL_OBJECT ,


La plus part du temps on obtient un scripte SQL qui vous permettra de générer votre nouvelle table , ici un exemple ou on a enlevé les commentaires.

Que ce passe t’il au niveau des droits ?

Avant par DSPOBJAUT

par DROITS dans ACS

La liste d’autorisations

Premier effet vous pouvez avoir des différences sur les droits publics

exemple ici

Après

Vous vous retrouvez avec un droit USER DEF au lieu de *CHANGE et vous avez perdu le droit exécute, on est d’accord ca ne change rien sur une table, c’est juste un peu moins lisible quand on analyse au niveau du système

le plus gênant c’est la liste d’autorisation que vous perdez
et la cela peux changer complètement puisque vous perdez 1 voir 2 niveaux de recherches

Dans notre cas FORM06 se retrouve avec des droits *PUBLIC

Conclusion :


Après avoir modernisé vos tables, vous devez réappliquer vos droits le plus simple est de généré un objet de référence

une autre solution est de vous affranchir des listes d’autorisation qui ne sont pas générées dans SQL