Une petite explication sur les fichiers ACS et leur extension, et les migrations possibles à partir des fichiers de Client Access

Pour les fichiers de définition de session

Les fichiers, KMP, PMP, BAR, MAC ont la même extension, mais ne sont pas compatibles, vous devrez les migrer par l’outil de migration .

Gestionnaire de sessions / fichier / importer

Pour les transferts de fichiers

Vous pouvez ouvrir un fichier DTF par ACS et l’enregistrer en DTFX, la migration est automatique

On n’a pas d’outil pour migrer les descriptions de fichier FDX, vous devrez les recréer ou modifier le source, il y a peu de différences

Résumé

On sait migrer les sessions, les claviers, les transferts les macros **

Pour les fichiers macros, vous ne pourrez migrer que ce qui a été enregistré et non codé

Mais ca peut être l’occasion de faire le ménage de reprendre propre.

**

, , Utilisation du catalogue DB2

Il existe de nombreuses tables dans QSYS qui constituent le catalogue DB2,
Ces tables sont accessibles par des vues qui se trouvent dans QSYS2 de manière globale et dans les bibliothèques de vos collections SQL.

On utilise pas assez ces informations pour analyser la base de données, elles contiennent une multitude d’informations

On va faire une petit exemple:

Imaginons que nous voulons savoir ou est utilisée une zone


Nous fixerons la database par set schema , pour éviter les qualifications

exemple de manière globale
SET SCHEMA QSYS2

On va utiliser une vue qui s’appelle SYSCOLUMNS qui contient les zones de votre database

SELECT
A.SYSTEM_COLUMN_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_SCHEMA
FROM SYSCOLUMNS A
WHERE COLUMN_NAME = ‘NUMCLI’

Vous obtenez une liste de tous les fichiers (tables, vue, PF, LF) etc …

Imaginons ensuite que vous ne vouliez que les tables ou PF vous pouvez utiliser la vue SYSTABLES

SELECT a.SYSTEM_COLUMN_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_SCHEMA
FROM SYSCOLUMNS a join SYSTABLES b on A.SYSTEM_TABLE_NAME=b.SYSTEM_TABLE_NAME
and a.SYSTEM_TABLE_SCHEMA = b.SYSTEM_TABLE_SCHEMA and B.TABLE_TYPE in(‘T’ , ‘P’)
WHERE COLUMN_NAME = ‘NUMCLI’

Vous limitez ainsi votre recherche aux tables et PF

Imaginons maintenant que vous ne vouliez que les tables et PF qui ont été utilisées sur l’année flottante (13 mois), on va utiliser la vue SYSTABLESTAT

SELECT a.SYSTEM_COLUMN_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_SCHEMA
FROM SYSCOLUMNS a join SYSTABLES b on A.SYSTEM_TABLE_NAME=b.SYSTEM_TABLE_NAME
and a.SYSTEM_TABLE_SCHEMA = b.SYSTEM_TABLE_SCHEMA and B.TABLE_TYPE in( ‘T’ , ‘P’)
join SYSTABLESTAT c on A.SYSTEM_TABLE_NAME=c.SYSTEM_TABLE_NAME
and a.SYSTEM_TABLE_SCHEMA = c.SYSTEM_TABLE_SCHEMA and c.LAST_USED_TIMESTAMP >
(current date – 13 months)
WHERE COLUMN_NAME = ‘NUMCLI’

Cette exemple n’est pas parfait, mais il vous montre qu’avec le catalogue db2 et un peu de SQL vous pouvez avoir de nombreuses informations pertinentes sur cette dernière .
Vous pouvez par exemple avoir des informations statistiques sur vos colonnes par la vue SYSCOLUMNSTAT et une vue globale avec la vue SYSFILES qui permet d’avoir un bon résumé de vos fichiers

https://www.ibm.com/support/pages/node/6486897


Voici un lien qui vous présente les vues disponibles,

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=views-i-catalog-tables

, 2 requêtes pour gérer vos récepteurs de journaux

Pour faire un peu de place il peut être important de supprimer certains récepteurs de journaux inutiles

D’abord la liste des récepteurs détachés de plus de 30 jours

SELECT JOURNAL_RECEIVER_LIBRARY, JOURNAL_RECEIVER_NAME FROM
QSYS2.JOURNAL_RECEIVER_INFO WHERE ATTACH_TIMESTAMP < current date –
30 days and DETACH_TIMESTAMP is not null

A partir de cette liste vous pouvez faire une DLTJRNRCV de ces recepteurs

Liste des journaux qui n’éffacent pas les récepteurs après détachement
SELECT JOURNAL_NAME, JOURNAL_LIBRARY FROM qsys2/JOURNAL_INFO WHERE
DELETE_RECEIVER_OPTION = ‘NO’

A partir de cette liste vous pouvez modifier le récepteur en indiquant de supprimer les recepteurs après détachement !

CHGJRN DLTRCV(*YES)

Attention :

Il ne faut pas supprimer des récepteurs de votre base de données de production
mais il y a souvent une multitude de bases de tests qui n’ont pas besoin de leurs récepteurs détachés pour permettre de faire des tests

, Outil pour gérer les outqs

Un nouvel outil dans GTOOLS

Nous avons développé une petite commande pour un client, elle facilite la gestion des remotes Outqs
par exemple pour changer une adresse IP
La commande est WRKOUTQIP

Vous pouvez
Arrêter le travail d’édition
Supprimer une outq
Changer une outq


Les sources sont ici
https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/GTOOLS

Il y a une commande, un programme et un écran

Cet outil est un peu brut, vous pouvez l’améliorer, par exemple, un 3 dupliquer pourrait intéresser tout le monde

, Amélioration du scheduler IBMi en V7R5

En une seule commande vous pouvez holder tous les travaux en suspendant le scheduler lui même, vous voyez le status dans la commande wrkjobscde, bien utile pour les installations , les machines de backups etc..

.

HLDJOBSCDE JOB(JOBSCD) ENTRYNBR(ALL)

pour libérer

HLDJOBSCDE JOB(JOBSCD) ENTRYNBR(ALL)

Vous pouvez désormais soumettre une tâche annuellement

ADDJOBSCDE

FRQ(*YEARLY)

exemple épuration de fin d’années

, Texte dynamique dans vos commandes

Vous pouvez demander à générer le texte des commandes que vous allez créer à l’utilisation non à la compilation !

Vous devez créer un fichier de message avec vos messages

Vous pouvez ensuite coder votre commande ici LSTFIC

CMD PROMPT(TXT0001) PMTFILE(CMDTXT DYNAMIC)

PARM KWD(BIBLIO) TYPE(NAME) LEN(10) PROMPT(TXT0002)

le fichier message peut être indiqué de 2 manières dans la commande CMD paramètre PMTFILE()
ou
à la compile dans la commande de génération CRTCMD
CRTCMD … PMTFILE()

c’est le paramètre dynamic qui permet cette possiblité

Utilisation

==>LSTFIC <F4>

Exemple pour gérer votre traduction
vous créer
Un fichier message en anglais dans une bibliothèque


vous mettez votre bibliothèque avant l’autre dans la liste des bibliothèques et voila

Utilisation

==>LSTFIC <F4>

Remarque :


Je n’ai pas mis ici le programme de traitement, il reçoit un paramètre char de 10
Ca ne concerne pas les messages d’erreur c’est le paramètre MSGF()
Attention s’il ne trouve pas votre message il ne plante pas vous aurez l’ID du message affiché, exemple TXT0001

, EXIT PGM sur PWRDWNSYS

Dans les programmes d’exit, il en existe un qui s’exécutera avant un PWRDWNSYS


Pour 2 raisons


-1 Pour faire un contrôle par rapport à une condition particulière de lancement
-2 Pour fermer des applications et valider des informations en cours

Voici un exemple succinct qu’il vous faudra améliorer

Ici on demande juste de valider par un Y que l’IPL est bien voulu

La commande pour ajouter le point d’exit est au début du programme

PGM                                                                    
/* association pour associer le programme */                           
/*ADDEXITPGM EXITPNT(QIBM_QWC_PWRDWNSYS)  */                           
/* FORMAT(PWRD0100)                       */                           
/* PGMNBR(1)                              */                           
/* PGM(GDATA/PPWRDWN)                     */                           
DCL VAR(&RPY) TYPE(*CHAR) LEN(1)                                       
dcl VAR(&USR) TYPE(*CHAR) LEN(10)                                      
Rtvjoba USER(&USR)                                                     
             SNDUSRMSG  MSGID(CPF9897) MSGF(QCPFMSG) +                 
                          MSGDTA('PWRDWNSYS demandé par, ' *BCAT +     
                          &USER *BCAT 'Tapez pour valider.') +         
                          VALUES('Y' 'N') DFT('N') TOUSR(QSYSOPR) +    
                          MSGRPY(&RPY)                               
/* Si non on arrête le travail */                                      
if (&RPY *NE 'Y') then(do) 
             SNDUSRMSG  MSGID(CPF9897) MSGF(QCPFMSG) MSGDTA('****  +   
                          PWRDWNSYS annulé ****') MSGTYPE(*INFO) +     
                          TOUSR(QSYSOPR)                               
              ENDJOB     JOB(*) OPTION(*IMMED)      
ENDDO                                              
 /* Si oui faire les traitements de fermeture    */    
 /*  pour les applications sensibles par exemple */
 /* libérer des unités etc ...                   */  
 endpgm  

Remarque

Vous pouvez tester même le type d’ipl ou la zone de redémarrage en utilisant les paramètres que vous pouvez recevoir dans la zone au format PWRD0100 ou
PWRD0100.
Attention après sa mise en œuvre, il sera appelé à chaque lancement de PWRDWNSYS pour l’enlever

RMVXITPGM EXITPNT(QIBM_QWC_PWRDWNSYS) FORMAT(PWRD0100) PGMNBR(1)

Plus d’informations ici
https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=ssw_ibm_i_74/apis/xpwrdwn.htm

C’est le nombre de tentatives de connexions pour un profil


Vous pouvez désormais depuis la version 7.5 l’indiquer au niveau du profil et non plus de manière global par la valeurs système QMAXSIGN pas de *NOMAX 25 max

Pour connaitre le nombre de tentatives par profil sur votre ibmi

SELECT AUTHORIZATION_NAME, (CASE MAXIMUM_SIGN_ON_ATTEMPTS
WHEN ‘*SYSVAL’ THEN (select CURRENT_CHARACTER_VALUE
from QSYS2.SYSTEM_VALUE_INFO
where SYSTEM_VALUE_NAME = ‘QMAXSIGN’)
ELSE MAXIMUM_SIGN_ON_ATTEMPTS
END) AS MAXIMUM_SIGN_ON_ATTEMPTS
FROM qsys2.user_info

.

Conseil

Continuez à gérer le plus grand nombre par QMAXSIGN et les exceptions au niveau des profils spécifiques

, SAV IFS en V7R5

Le paramètre ASYNCBRING qui existait mais qui était à *NO passe à *YES par défaut sur la commande SAV
Ce qui permait d’améliorer les temps de sauvegarde en bufferisant les fichiers

Nous utilisons déjà cette option en V7R4 depuis longtemps

Sur 2 cas constatés

Chez nous

32000 fichiers à sauvegarder
gain quotidien environ 4 minutes

Chez un client Lyonnais

450000
gain quotidien 17 minutes

Remarque :
Efficace sur les petits fichiers très nombreux

Pour gagner du temps sur une sav21 vous pouvez également mettre l’attribut *ALWSAV à *NO sur des répertoires
par exemple sur de logs, des images iso, des répertoire temporaires etc .. ces répertoires ne seront pas sauvegardés

CHGATR OBJ(‘/home/qsecofr/test’)
ATR(ALWSAV) VALUE(NO)

ZLIB en V7R5

Depuis la version V7R5, on peut faire des compressions en utilisant l’algorithme ZLIB (https://fr.wikipedia.org/wiki/Zlib) alors que jusqu’à présent on pouvait au maximum utiliser LZ1 (https://en.wikipedia.org/wiki/LZ77_and_LZ78#LZ77)
c’est le paramètre DTACPR(*ZLIB) dans les commandes SAV*.

Voici un premier test comparatif, on fait un test sur 2 bibliothèques et un système de fichiers voici les tailles obtenues et les taux de compression que cela représente

On constate une compression à 11% environ sur des bibliothèques
et à 4 % environ sur l’ifs (mais très variable en fonction des fichiers)

et si on compare avec LZ1 on gagne environ 2 % en moyenne