La durée de vie théorique d’une bande LTO est donnée pour 30 ans, mais elle dépend beaucoup des conditions d’utilisation et elles peuvent être défectueuses. Certaines sociétés changent leurs bandes tous les 3 ans.
La bonne pratique c’est de le faire quand vous changez votre POWER en principe tous les 3 à 5 ans.
Mais il peut être important de contrôler l’état de vos supports pour éviter les mauvaises surprises.
Il n’existe pas de service SQL ni de sortie outfile pour l’instant.
Vous allez pouvoir faire une analyse par volume.
C’est vous qui indiquez le nom de volume quand vous formater votre support INZTAP DEV(TAPXXX) NEWVOL(xxxxxx) vous disposez de 6 caractères
Exemple : ==>INZTAP DEV(TAP01) NEWVOL(LUNDI1) …
La commande qui va vous permettre d’analyser ces volumes est la commande PRTERRLOG qui va vous générer un spool QPCSMPRT.
En principe vous avez un roulement de bande par semaine.
Vous pouvez contrôler le volume dans le lecteur avant de déclencher une sauvegarde, mais il n’est pas conseillé de la bloquer, vous pouvez remonter un message.
« * Attention bande du LUNDI trouvée dans le lecteur * »
Exemple
Vous devez connaitre le type de votre unité de bande pour utiliser cette commande.
Il est important : d’avoir un plan de reprise d’activité suite à un crash de tester une restauration partielle de temps en temps de passer la cartouche de nettoyage tous les 6 mois
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-12-20 07:50:392024-02-26 18:21:00Surveillez l’état de vos bandes
Vous faites le l’administration, le plus souvent en 5250 sous l’écran de commandes IBMI ==> call QCMD
Vous voulez effacer la log que vous voyez par la commande DSPJOBLOG.
La première solution consiste à vous déconnecter, du coup la log est effacée ou transformée en spool.
Cette méthode efface tout le contexte mis en place, liste de bibliothèques , variables d’environnement, objets dans QTEMP que vous avez peut être mis beaucoup de temps à construire dans vos tests.
L’idée c’est d’avoir une solution moins radicale qui permette de n’effacer que la log de votre travail, c’est pourquoi vous devriez avoir dans vos tools un outil comme celui la
Une commande qu’on a appelé astucieusement CLRLOG que vous pouvez trouver ici
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-09-17 16:31:212023-09-17 16:42:33Effacer la log de votre travail
Administration, Non classé, Open source, SecuritéSe connecter à un serveur SSH exécuté sous Windows à partir d’un IBM i (Comment obtenir la log pour débuguer les problèmes éventuels)
Se connecter à un serveur SSH exécuté sous Windows à partir d’un IBM i (Comment obtenir la log pour débuguer les problèmes éventuels)
Mise en place d’OpenSSH Server sur Windows
Pour mettre en place OpenSSH Server sur Windows, la méthode « standard » consiste à passer par les Paramètres > Applications et fonctionnalités > fonctionnalités facultatives :
Il est recommandé de redémarrer Windows une fois la fonctionnalité ajoutée.
Il suffit ensuite de démarrer le serveur via le gestionnaire de Services Windows :
Il est également souhaitable de configurer le démarrage automatique du serveur :
Remarque
Il est également possible d’installer OpenSSH sur Windows via d’autres sources (GitHub par exemple) ce qui permet, entre autres, de choisir plus facilement sa version d’OpenSSH, voir section Détail.
Création d’un jeu de clefs SSH via ssh-keygen
Pour plus de détails sur la création de clefs, vous pouvez vous référer à l’article de Guillaume Gestion des clefs SSH.
Dans cet article je vais tout réaliser sur l’IBM i via QSH :
$ ssh-keygen -t ecdsa -f ~/.ssh/ssh_key
Mise en place de la clef privée et configuration côté IBM i (client)
On a généré la clef privée dans le répertoire .ssh de l’utilisateur, donc elle est déjà bien en place. Il suffit donc de créer un fichier config dans le répertoire .ssh de l’utilisateur afin de simplifier nos commandes pour la suite. Voici un exemple de fichier config :
[~/.ssh/config]
Host windows
Hostname sshd_server.lan
User jl
IdentityFile ~/.ssh/key
StrictHostKeyChecking accept-new
Host
Nom de la configuration, utilisé à la place des différentes informations à la connexion
Hostname
Adresse ou nom du serveur à atteindre
User
Nom de l’utilisateur
IdentityFile
Chemin vers la clef privée
StrictHostKeyChecking accept-new
Permet d’ajouter automatiquement la signature du serveur distant au known_hosts
Mise en place de la clef privée et configuration côté Windows (serveur)
Il faut transférer la clef ssh_key.pub vers Windows et l’ajouter soit au fichier %UserProfile%.ssh\authorized_keys pour un utilisateur lambda, soit au fichier C:\ProgramData\ssh\administrators_authorized_keys pour un utilisateur ayant des droits d’administrateur local.
Attention à ce niveau, les droits des fichiers sont un peu particulières, il faut comme toujours avec le SSH réduire au maximum les utilisateurs ayant accès au fichier et, particularité de Windows, ajouter le droit de lecture au profil de service local Système :
Activation du fichier de log – Configuration sshd_config
Afin de pouvoir analyser d’éventuels problèmes ou simplement vouloir observer un peu plus en détail les différentes étapes de la mise en relation d’un flux ssh il est possible d’activer la log du serveur.
Par défaut celle-ci est redirigée vers les journaux d’évènements Windows et est seulement en « info ». On les retrouver via l’Observateur d’événements Windows :
Le mieux à mon avis est de repasser par un système plus standard, soit un vrai fichier de logs.
Pour ce faire, il faut aller modifier le fichier de configuration du serveur SSH, généralement il se trouve ici :
C:\ProgramData\ssh\sshd_config
ou
%ProgramData%\ssh\sshd_config
Il faut rechercher les lignes suivantes :
[sshd_config]
# Logging
#SyslogFacility AUTH
#LogLevel INFO
Les décommenter et indiquer les valeurs suivantes :
Une fois la configuration modifiée et le serveur redémarré, il suffit de retenter une connexion puis d’aller consulter le fichier de log :
C:\ProgramData\ssh\logs\sshd.log
ou
%ProgramData%\ssh\logs\sshd.log
Remarque
Les problèmes courants se passent généralement autour des lignes liées au fichier authorized_keys ou administrators_authorized_keys, problèmes de droits ou chemin du fichier utilisé…
Test de SSH IBM i vers Windows
On peut maintenant tester le tout via QSH ou CALL QP2TERM. Grâce au fichier config la commande est simple : (l’option -T permet de désactiver l’allocation d’un pseudo terminal)
$ ssh -T windows
Microsoft Windows [version 10.0.19045.3208]
(c) Microsoft Corporation. Tous droits r
Il est maintenant possible d’exécuter des commandes Shell Windows à partir de cette connexion.
Si on voulait obtenir les mêmes niveaux de log côté client (IBM i) que l’on a activé côté Windows, on pourrait utiliser la commande suivante :
$ ssh -T -vvv windows
OpenSSH_8.0p1, OpenSSL 1.1.1t 7 Feb 2023
debug1: Reading configuration data /home/jl/.ssh/config
debug1: /home/jl/.ssh/config line 1: Applying options for *
debug1: /home/jl/.ssh/config line 4: Applying options for laptop
debug1: Reading configuration data /QOpenSys/QIBM/ProdData/SC1/OpenSSH/etc/ssh_config
...
Microsoft Windows [version 10.0.19045.3208]
(c) Microsoft Corporation. Tous droits r
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2023/08/Openssh.gif191194Julien/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngJulien2023-08-02 19:21:092023-08-11 16:00:34Se connecter à un serveur SSH exécuté sous Windows à partir d’un IBM i (Comment obtenir la log pour débuguer les problèmes éventuels)
Sécurisez vos services IBM i ! Nous ne le répéterons jamais suffisamment : vous devez crypter les accès au telnet 5250, au serveur de base de données etc … Bref partout où transitent aussi bien vos profils/mots de passe que vos informations métier.
Nous prenons ici l’exemple de telnet, le plus visuel.
Pour crypter vos connexions telnet : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=server-assigning-certificate-telnet
En synthèse :
Importer ou créer un certificat dans DCM (Digital Certificate Manager)
Associer ce certificat aux services à sécuriser : TELNET ici mais aussi CENTRAL, SIGNON, DATABASE …
Ne pas oublier de permettre la connexion sécurisée à telnet :
Permettre l'accès non sécurisé et sécurisé (ports 23 et 992) :
CHGTELNA ALWSSL(*YES)
Permettre l'accès sécurisé uniquement (port 992 uniquement) :
CHGTELNA ALWSSL(*ONLY)
Dès lors vous pouvez vous connecter avec ACS en mode sécurisé. Soit en indiquant au niveau de la configuration dans l’émulateur 5250 (menu Communication puis Configuration) :
Soit au niveau de la connexion système dans sa globalité :
A la prochaine connexion vous obtenez :
Mais comment ces certificats sont-ils gérés par ACS ?
Principe d’un certificat, chaîne de certification
Un certificat est une clé de cryptage permettant de chiffrer les données entre un serveur et un client.
La question est de savoir comment faire confiance à un certificat (celui de votre banque par exemple ?).
Un certificat est lui-même signé, c’est à dire validé, par une autorité de certification à laquelle nous faisons confiance.
Exemple avec les informations issues d’un navigateur :
Le navigateur fait confiance à www.volubis.fr car le certificat est lui-même signé par « Gandi Standard SSL CA 2 » et « USERTrust RSA Certification Authority » qui sont eux connus du navigateur :
D’autres critères entrent en compte comme la durée de validité par exemple
Pour un certificat non reconnu par votre navigateur, vous avez :
Validation par Access Client Solutions
ACS va utiliser la même mécanique : si l’autorité de certification est connue de ACS, alors le certificat est validé.
Si l’autorité n’est pas connue : demande à l’utilisateur de valider ou non l’accès.
Access Client Solutions utilise plusieurs magasins de certificats pour stocker les autorités :
le magasin lié à votre JVM qui exécute ACS
un magasin propre à ACS en complément
Magasin lié à la JVM
Pour trouver la JVM utilisée par ACS :
Java utilise par défaut un magasin de certificats JAVA_HOME\lib\security\cacerts. Ce magasin est protégé par un mot de passe (défaut = changeit)
Remarque :
Cette configuration par défaut peut être modifiée par fichier de configuration ou arguments de démarrage de la JVM.
Nous retrouvons bien notre autorité primaire « USERTrust RSA Certification Authority » :
Magasins liés à ACS
Par défaut, chaque utilisateur d’ACS dispose de son propre magasin de certificat (complémentaire à celui de l’environnement Java ci-dessus).
Dans les préférences vous retrouvez l’emplacement des configurations :
Access Client Solutions dispose également d’un outil de gestion des certificats pour son propre magasin uniquement : menu « Outils » puis « Gestion des clés » :
Cela vous permet d’importer, supprimer, voir vos certificats.
Remarque :
Cette configuration par défaut peut être modifiée par fichier de configuration AcsConfig.properties : permet d’indiquer l’emplacement du magasin de certificats.
Cas d’un certificat « internet »
Si vous avez acheté votre certificat auprès d’un organisme certificateur (Gandi pour nous, mais aussi OVH, Sectigo … Let’s encrypt gratuit), Access Client Solutions ne devrait rien vous demander et accepter directement le certificat : les autorités présentes dans le magasin associé à votre JVM permettent la validation.
Vous pouvez rencontrer des problèmes avec d’anciennes installations de Java non mises à jour : les nouvelles autorités de certification ne seront pas présentes. Bien sûr cela n’arrive jamais.
Cas d’un certificat « local »
Pour un certificat que vous avez généré sur votre IBM i, ou autre plateforme dans votre SI, si vous disposez de vos propres autorités de certification internes (fréquent dans les sociétés de grande taille) : Access Client Solutions ne dispose pas des autorités permettant la validation !
Remarque :
Si vos équipes de déploiement des postes client livrent les autorités de certification dans le magasin de la JVM, vous revenez dans le cas précédent.
A la première connexion, vous avez ce message :
Non : vous refusez la connexion
Oui : l’autorité de certification est ajoutée au magasin de certificats d’ACS.
Après avoir répondu « Oui » :
Aucun message affiché lors des prochaines connexions.
Changement de certificat
Comment faire en sorte que la sécurisation de vos services ou un changement de certificat soit transparent pour vos utilisateurs ?
Nous savons que demander à des centaines d’utilisateurs de répondre « Oui » peut générer un support très important aux équipes et être anxiogène.
Mise en place
Au-delà du certificat, il faut procéder aux changements de configurations : au niveau de la définition du système et/ou de la session 5250.
Pour le certificat, plusieurs solutions :
Vous disposez d’un poste modèle sur lequel vous avez installé ACS, et importez manuellement l’autorité de certification. Il vous suffit alors de déployer le fichier cacerts de ACS sur les différents postes.
Ce dernier est ici : "C:\Users\{USER}\Documents\IBM\iAccessClient\Private\{USER}\cacerts"
Dans le fichier de configuration AcsConfig.properties : vous pouvez indiquer un fichier cacerts mutualisé sur un lecteur réseau par exemple :
Injection du certificat en mode commande
ACS dispose de commande, avec option silencieuse :
/PLUGIN=certdl => demande à downloader l’autorité de certification et l’importer dans le magasin
/SYSTEM=nom système configuré => depuis le système en question
A intégrer dans vos outils de déploiement pour exécution sur chaque poste client ! Le certificat est ensuite visible dans le menu « Outils » puis « Gestion des clés ».
Renouvellement
Le certificat est issu de la même autorité de certification que le précédent : rien à faire ! C’est l’autorité qui est stockée, pas le certificat lui-même
Le certificat est issu d’une autre autorité (autre fournisseur, autorité précédente périmée ou invalidée) : il faut injecter l’autorité dans le magasin de certificat (cf Mise en place)
En synthèse : pas de difficulté, plusieurs solutions en fonction de votre organisation et outillage !
N’oubliez pas de renouveler vos certificats avant la date d’expiration …
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team1.png600600Nathanaël Bonnet/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngNathanaël Bonnet2023-07-25 08:12:182023-07-25 10:11:00Connexions sécurisées via ACS & gestion des certificats
Administration, Securité, SQL_DB2Comment tracer immédiatement la création d’un PF ou d’une table dans une bibliothèque ?
Vous voulez savoir immédiatement quand un fichier PF ou table est créé dans votre bibliothèque
4 principales techniques sont à votre disposition,
La première, les programmes d’exit
QIBM_QCA_CHG_COMMAND pour
CRTPF CRTDUPOBJ CPYF MOVOBJ RSTOBJ
QIBM_QZDA_SQL1 ou QIBM_QZDA_SQL2 Pour les create table SQL Attention sera appelé pour chaque requête SQL sur votre système et la syntaxe peut être compliqué
La deuxième technique consiste à utiliser la journalisation
Si votre bibliothèque est journalisée
— Mise en plage des règles d’héritages — pour avoir tous les événnements, ce qui n’est pas le cas par défaut
MOVOBJ OBJ(GAIA/APF3) OBJTYPE(*FILE) TOLIB(GDATA) Pas de poste est le fichier n’est pas journalisé
CPYF code D type CT
RSTOBJ Pas de poste et le fichier n’est pas journalisé il est journalisé que si c’est une restauration de lui même, paramètre du RSTOBJ … STRJRN(*YES)
vous pourrez faire un programme d’exit sur le journal pour les code D type CT mais attention donc donc pas de poste pour les MOVOBJ et les RSTOBJ
La troisième technique est d’utiliser le journal d’audit
s’il est démarré et qu’il a la valeur *CREATE, vous allez avoir des postes code T type CO pour les créations et OR, RA, RO pour les restaurations
Vous pourrez faire un programme d’exit sur le journal d’audit pour les postes vues ci dessous, remarque les outils de replication logiciel utilise cette techno.
La quatrième, le journal du catalogue DB2
Le catalogue bénéficie de son propre journal, QDBJRNFILE de la Bibliothèque QRECOVERY
Quand vous créez une table ou un PF, vous avez un poste code R type PT ou PX qui sont générés
Vous pouvez mettre en place un programme d’exit journal sur celui ci
C’est une solution simple et efficace
Conclusion
Pas de solution miracle si votre base est journalisée utiliser la solution 2 semble la plus simple surtout que dans certain cas on ne voudra pas tracer les MOVOBJ et les RSTOBJ
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-06-30 17:59:152023-07-10 11:12:31Comment tracer immédiatement la création d’un PF ou d’une table dans une bibliothèque ?
Dans la dernière TR est apparue une nouveauté très intéressante « API RSE », c’est un ensemble d’API REST fournies avec votre système d’exploitation au travers du serveur ADMIN5.
Ces APIs sont utilisables depuis le web et permettent de lancer des commandes, accéder à l’IFS, de lancer de requêtes SQL…
Ce service ne fonctionne qu’en TLS vous devrez donc le sécuriser par l’administration http ://Votre_systeme:2001/HTTPAdmin
Vous devez ensuite le démarrer s’il ne l’est pas c’est le serveur ADMIN5
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-06-27 07:16:592023-06-27 07:17:00Débuter avec API RSE
Il est difficile de déboguer un watcher parce qu’on ne maitrise pas son lancement.
Voici une méthode en utilisant RDI, qui va vous permet de le faire :
Trouver le nom du programme à analyser :
WRKWCH WCH(*ALL) :
5 pour le détail
Dans RDI, clic droit sur le programme à déboguer => débogage ou couverture de code (entrée de service) => définir un point d’entrée de service
Le message d’affiche :
Pour tester, on peut simuler un traitement qui va planter. Dans notre cas, on fait un call d’un programme qui n’existe pas, et donc ça va faire un plantage dans QSYSOPR.
SBMJOB CMD(CALL PGM(GAIA/ERREURA))
JOB(ERREURA)
JOBQ(QSYSNOMAX)
Une fois le programme a été lancé, sur RDI s’affichera le message suivant :
Cliquer sur « Afficher *LISTING »
Pour avancer d’un pas on peut utiliser la touche F5 ou en cliquant sur la flèche :
Pour afficher les valeurs des variables il suffit de passer la souris sur le nom de la variable :
Conclusion : c’est une solution simple pour déboguer un watcher ou un programme dont vous ne maitrisez pas le lancement.
Le programme doit être compilé avec le source.
Vous devrez avoir le droit pour faire ce type d’opération. Soit au niveau de profil, soit par les fonctions usages.
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-05-20 08:21:172023-05-20 08:21:18Informations sur les SAVF
Quand un travail démarre, il crée dans la log système un message CPF1124 et un message CPF1164 quand il se termine.
C’est comme ca qu’on sait qu’un job à tourné
Mais attention, Il existe des travaux pour lesquels les messages CPF1124 et CPF1164 ne sont pas logués dans QHST : il s’agit des SPAWN jobs.
Les travaux QP0ZSPWP & QP0ZSPWT en sont de bons exemples.
Spawn batch jobs : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=jobs-spawn-batch
Spawn est une fonction qui crée un nouveau processus de travail (processus enfant) qui hérite de nombreux attributs du processus appelant (processus parent). Un nouveau programme est spécifié et commence à s’exécuter dans le processus enfant. Lorsque vous lancez un travail par lots, vous utilisez un travail parent pour transmettre des arguments et des variables d’environnement au travail enfant. L’API spawn() utilise des travaux batch immédiats, des travaux pré-démarrés ou des travaux batch pré-démarrés.