CPF1269 Demande de démarrage de programme reçue sur unité &1 CPF1393 Le profil utilisateur &2 a été désactivé CPF1397 Poste &3 mis hors fonction par sous-système &1 CPI2209 Profil utilisateur &1 supprimé car endommagé. CPI9014 Le mot de passe reçu de l’unité &1 est incorrect. CPI96C0 Le mot de passe protégé n’a pas pu être validé. CPI96C1 La valeur de la variable GDS d’ouverture de session CPI96C2 Le mot de passe utilisateur n’a pas pu être changé. CPI96C3 Message &4 renvoyé lors d’un appel système. CPI96C4 Le mot de passe n’est pas correct pour le profil utilisateur CPI96C5 L’utilisateur &4 n’existe pas. CPI96C6 Code retour &4 reçu lors de l’appel de CPI-Communication CPI96C7 Incident système dans programme de transaction d’ouverture
Vous en avez d’autres qui seront envoyés dans les 2 files
Vous avez décidé de changer de version d’OS , voici quelques opérations auxquelles on ne pense pas toujours, mais qui peuvent vous aider en cas de problème.
1) Appliquer les PTFs définitivement
APYPTF LICPGM(ALL) APY(PERM) vous pourrez ainsi faire le ménage et supprimer les SAVFs sans déphaser le catalogue DLTPTF PTF(*PRMAPY)
2) Faire le ménage
Ça ne fait jamais de mal de faire un peu de place
Supprimer tout ce qui est inutile les SAVFs
Les récepteurs Les spools Dans l’ifs les fichiers de travail de log etc…
Réorganiser les fichiers ayant beaucoup de d’enregistrements supprimés, méfiez vous de BRMS et des collectes de performances.
Supprimer les objets inutilisés (si nécessaire faire une sauvegarde au cas où).
3) Téléchargez PRUV, lancez le, et suivez les recommandations qu’il vous donne …
Je vous conseille de télécharger la dernière version juste avant de faire votre opération.
.
4) Faire un DSPOBJD *ALL dans un fichier pour garder les dates de référence sur les objets.
Ça vous permettra d’avoir les dates d’usage, de modification etc .. de vos objets avant installation, cette dernière pouvant changer ces informations et fausser vos analyses futures.
5) Bien sur faire une SAV21 de votre système qui vous servira à redémarrer en cas de gros problèmes
Conserver cette bande vers vous jusqu’à la fin de votre opération complète !
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2021-10-21 18:45:132022-04-12 10:22:405 choses à faire avant de changer de version
On ne dira jamais assez comment à quel point SQL nous simplifie la vie. C’est d’autant plus vrai pour la gestion des correctifs
Voici 5 requêtes à garder pour vos contrôles de PTFs
1) Contrôle de la TR et de la version avec QSYS2.GROUP_PTF_INF
SELECT CURRENT SERVER CONCAT ‘ est en version ‘ CONCAT PTF_GROUP_TARGET_RELEASE CONCAT ‘ et le niveau de TR est : ‘ CONCAT PTF_GROUP_LEVEL AS NIVEAU_DE_TECHNOLOGY_REFRESH FROM QSYS2.GROUP_PTF_INFO WHERE PTF_GROUP_DESCRIPTION = ‘TECHNOLOGY REFRESH’ AND PTF_GROUP_STATUS = ‘INSTALLED’ ORDER BY PTF_GROUP_TARGET_RELEASE DESC FETCH FIRST 1 ROWS ONLY
2) Contrôle des cumulatives sur le microcode et l’OS avec QSYS2.PTF_INFO
with result_ptf as( SELECT PTF_PRODUCT_ID , Max(PTF_IDENTIFIER) as last_ptf FROM QSYS2.PTF_INFO WHERE (PTF_PRODUCT_ID = ‘5770999’ and substr(PTF_IDENTIFIER , 1 , 2) = ‘TL’ ) or (PTF_PRODUCT_ID = ‘5770SS1’ and substr(PTF_IDENTIFIER , 1 , 2) = ‘TC’ ) GROUP BY PTF_PRODUCT_ID ) select PTF_PRODUCT_ID, date(’20’ concat substr(LAST_ptf, 3, 2) concat ‘-01-01’) + (dec(substr(Last_PTF , 4, 3)) – 1 ) days as last_date_ptf from result_ptf where date(’20’ concat substr(LAST_ptf, 3, 2) concat ‘-01-01’) + (dec(substr(Last_PTF , 4, 3)) – 1 ) days < (current_date – 6 months)
3) Contrôle si groupes à télécharger, nécessite une connexion avec SYSTOOLS.GROUP_PTF_CURRENCY
select cast(substr(PTF_GROUP_TITLE, 1, 50) as char(50)) as Nom_groupe, PTF_GROUP_LEVEL_AVAILABLE as niveau from systools.group_ptf_currency where ptf_group_level_installed <> ptf_group_level_available
4) Contrôle si groupes à appliquer, nécessite un IPL avec QSYS2.GROUP_PTF_INFO
SELECT * FROM GROUP_PTF_INFO WHERE PTF_GROUP_STATUS not in (‘INSTALLED’, ‘RELATED GROUP’, ‘NOT APPLICABLE’))
5) Contrôle du firmware, nécessite une connexion avec SYSTOOLS.FIRMWARE_CURRENCY
SELECT * FROM SYSTOOLS.FIRMWARE_CURRENCY WHERE FW_CURRENTFIXPACK <> FW_RECOMMENDED_UPGRADE and + FW_RECOMMENDED_UPGRADE is not null ) with data
Remarque
Il en existe sans doute d’autres, la limite c’est votre imagination …
/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.png00Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2021-10-07 15:29:572022-04-12 10:38:575 requêtes pour contrôler vos PTFS
Vous connaissez l’outil ACS de gestion des packages OPEN SOURCE
Si vous décidez d’utiliser l’Open source vous vous rendrez compte qu’il faudra sans doute automatiser la mise à jour des Packages RPM par YUM.
Voici donc quelques éléments pour réaliser cette opération !
D’abord vous devrez vérifier que vous avez bien Yum installé sur votre machine, normalement il est là, ACS l’utilise.
Les logiciels open source sont installés dans le répertoire
/QOpenSys/pkgs/bin
sous QSH
faire un cd /QOpenSys/pkgs/bin
puis ls yum*
yum yum-builddep yum-debug-dump yum-groups-manager
yumdownloader yum-config-manager yum-debug-restore
$ Vous devez avoir le fichier yum
il est conseillé de mettre ce répertoire dans votre Path.
Vous avez un fichier .profile éditer le pour ajouter ces 2 lignes par exemple à la fin de votre fichier .profile :
PATH=/QOpenSys/pkgs/bin:$PATH
export PATH
Il est également conseillé pour des questions d’homogénéisation de votre système d’utiliser un répertoire /home/votreprofil qui est la valeur par défaut de votre profil utilisateur (paramètre HOMEDIR de votre USER IBMi) et votre .profile devrait s’y trouver
Attention si vous voulez que ça fonctionne dans tous les environnements votre fichier .profile doit être en CCSID 819 !
Maintenant voyons comment procéder pour automatiser ces opérations de mise à jour
vous devrez planifier une tache qui lancera un QSH
la commande à passer pour voir si des mises à jour sont disponibles
c’est > yum check-update
Pour se faciliter la vie on mettra cette information dans un fichier txt
yum check-update > majpackage.txt
Ce fichier comporte l’intégralité des mises à jours et même les obsolescences
pour se limiter au logiciel qu’on veut mettre à jour on peut faire un cat avec un grep, par exemple nous on veut les mises à jour pour le logiciel NODEJS
cat majpackage.txt | grep « node »
nodejs14.ppc64 14.17.5-1 ibm
$
On voit qu’on a une mise à jour à faire, vous pouvez alors envoyer un mail par la commande sndsmtpemm pour indiquer la mise à jour à faire.
ou faire la mise à jour directement
yum update nodejs14.ppc64 -y –enablerepo=ibm
-y pour indiquer que vous allez installer en batch !
Il est conseillé de mettre un fichier de log exemple
Vous pourrez analyser ensuite la log en cas de problème en principe le nettoyage étant fait à la fin et votre version continu à fonctionner !
Il suffit de faire un ou 2 programmes CLP ou scripts Unix et d’y intégrer ce qu’on vient de voir !
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2021-09-23 16:27:352022-04-12 11:11:22Mise à jour Produits Open source sur votre IBMi
On a souvent du mal a régler ODBC voici quelques points qui peuvent vous aider dans cette tache. L’apport de la procédure SET_SERVER_SBS_ROUTING qui permet de router des jobs ODBC, par adresses IP ou utilisateurs à considérablement changer la donne.
pour voir les redirections existantes par adresses IP
SELECT * FROM QSYS2.SERVER_SBS_CONFIGURATION;
Voici quelques axes qui peuvent vous donner des idées
1) Séparer vos connexions en créant un sous-système spécifique
Ce qui permet une meilleur administration. Vous pourrez router vos jobs par utilisateurs ou par adresse IP grâce à la procédure SQL SET_SERVER_SBS_ROUTING
CRTSBSD SBSD(VOTRESBS) POOLS((1 *BASE)) TEXT(‘Sous-système pour job ODBC’) vous pouvez indiquer le pool de base
2) Mettre un pool spécifique sur votre sous système
Ce qui permettra de réinitialiser votre cache entre 2 benchmarks.
POOLS((1 *SHRPOOL7))
3) Mettre une classe spécifique
Ce qui permettra de régler les priorités d’exécution sur la commande RTGE. la classe par défaut est la QPWFSERVER , dupliquez la et ajustez les paramètres que vous désirez par CHGCLS. Par exemple, les priorités.
4) Mettre une JOBD spécifique pour fixer le niveau de log
par exemple sur la commande ajout des travaux auto. la jobd par défaut est la QDFTSVR , dupliquez la et ajustez les paramètres que vous désirez par CHGJOBD. Par exemple le niveau de log.
5) Mettre un programme initial spécifique
Pour par exemple choisir le fichier QAQQINI pour les réglages SQL. Le programme par défaut est QCMD , voici un exemple. Par exemple, changer le fichier QAQQINI PGM CHGQRYA QRYOPTLIB(&LIB) SNDPGMMSG MSGID(CPF9898) MSGF(QCPFMSG) MSGDTA(‘Vous + utilisez désormais QAQQINI de la + bibliothèque, ‘ BCAT &LIB) MSGTYPE(STATUS) ENDPM
Rappel :
Ici on traite pas de la traçabilité, il est important de voir qui peut faire de l’ODBC sur votre système.
Pour mettre en place une authentification par JWT sur IBMi, on utilise l’API Qc3VerifySignature.
Le JWT
Il est composé de trois partie :
Un entête (header)
Une charge utile (payload)
Une signature numérique
Pour obtenir la signature, il faut tout d’abord encoder séparément le header et le payload avec BaseURL64, ensuite, on les concatène en les séparant d’un point.
On calcule enfin une signature d’après le header et le payload afin de garantir que le jeton n’a pas été modifié, d’après l’algorithme défini dans le header (RS256, HS256, HS512, …). Cette signature binaire est elle-même encodée ensuite en Base64URL.
On obtient ainsi le JWT : { header }.{ payload }.{ signature }
Préparation
Afin de tester cette API, il faut dans un premier temps générer une clé au format PEM en suivant les étapes ci-dessous :
openssl req -new -out monserveur.csr
Pour créer une demande certificate (.csr = certificat signing request)
Cela crée deux fichiers : monserveur.csr et privkey.pem
openssl rsa -in privkey.pem -out monserveur.key
Cela crée le fichier monserveur.key (clé privée sans le mot de passe)
On crée la donnée à contrôler en concaténant header et payload, séparés d’un point, comme expliqué au paragraphe précédent.
Exemple :
ATTENTION : Il faut, pour être utilisable, que celle-ci soit en ASCII. Pour ce faire on utilise le programme système QDCXLATE qui permet de faire de la conversion de chaines de caractères grâce à des tables système.
Data Structure du format ALGD0400 (algorithme) :
cipher INT(10) inz(50) // Code secret pour RSA , initialisé à 50
PKA CHAR(1) inz(1) // PKCS bloc 01
filler CHAR(3) inz(x’000000’) // Réservé : ce champ doit rester NULL
hash INT(10) inz(3) // Signature Algorithme de Hash 3=SHA256
Data Structure du format KEYD0600 (clé) :
keylen INT(10) // Longueur du certificat PEM
filler CHAR(4) inz(x’00000000′) // Réservé : ce champ doit rester NULL
key CHAR(4096) CCSID(65535) // Certificat PEM en ASCII
Code Retour
L’appel de l’API avec les paramètres choisis , retourne un Data Structure ErrorCode décrite ci-dessous :
bytesProv INT(10) inz( %size( ErrorCode ) ); // ou 64 pour voir MSGID
bytesAvail INT(10) inz(0);
MSGID CHAR(7);
filler CHAR (1);
data CHAR (48);
Dans le cas où la signature est vérifiée, les valeurs retour sont les suivantes
BYTESPROV = 64
BYTESAVAIL = 0
MSGID = ‘ ‘
FILLER = ‘ ‘
DATA = ‘ ‘
Si la signature n’est pas vérifiée, les valeurs retour seront :
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2021/07/GG-2.jpg343343Guillaume GERMAN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngGuillaume GERMAN2021-07-27 23:15:492021-07-27 23:15:51Authentification par JWT (Json Web Token)
Depuis mi-juillet 2021, ce n’est plus un choix le mode FTP simple en anonymous ne fonctionne plus, vous le voyez quand vous allez sur fix central le mode ftps ou sftp est par défaut .
Quand vous faites votre demande vous recevez désormais 3 mails au lieu de 2 – Le premier, pour vous dire que votre demande a été prise en compte. – Le deuxième, pour vous indiquer les instructions à passer pour votre téléchargement – Le Troisième (nouveau) qui contiendra le mot de passe que vous devrez utiliser
Comment faire désormais pour télécharger ces PTFs, on va voir 2 méthodes ?
1) A partir de Filezilla
Le logiciel connait le certificat racine Digicert, donc si vous vous connectez en SSL sur le site delivery01-bld.dhe.ibm.com, il vous propose la première fois de télécharger le certificat.
Et vous pouvez faire ensuite votre téléchargement .
2) A partir de votre partition IBMi
Il va vous falloir installer le certificat racine Digicert et le certificat du site dans DCM qui gère les certificats du coté IBMi.
Il est conseillé pour faire ses installations d’utiliser le logiciel QMGTOOLS.
Nous vous conseillons également de le mettre à jour pour éviter les problèmes.
ADDLIBLE LIB(QMGTOOLS) GO MENU(MG)
Check IBM for updated QMGTOOLS
Vous pouvez donc maintenant faire vos installations
Vous devez dezipper vos fichiers et les copier dans l’IFS de votre IBMi par exemple /temp
Vous allez utilisez la première commande suivante GETSSL pour le certifcicat racine détail ici https://www.ibm.com/support/pages/node/683901 et pour installer le certificat vous allez à nouveau utiliser la commande GETSSL avec le paramétrage suivant QMGTOOLS/GETSSL IP(WWW.ECUREP.IBM.COM) PORT(443) AUTOIMP(Y) STOREPWD(‘votre mot de passe’)
Si vous allez dans DCM vous avez un nouveau certificat installé QMG0001
Vous pouvez désormais vous connecter au site avec la commande suivante
Dans notre exemple, on sélectionne les jobs actifs sur le système, on sélectionne les requêtes SELECT et on trie par consommation descendante !
With job_act (JOB_NAME_SHORT, JOB_USER, JOB_NUMBER, JOB_USER_IDENTITY) as (SELECT JOB_NAME_SHORT, JOB_USER, JOB_NUMBER,JOB_USER_IDENTITY FROM TABLE (QSYS2.ACTIVE_JOB_INFO(DETAILED_INFO => ‘ALL’)) X where substr(job_user_identity, 1, 1) <> ‘Q’) Select qqjob, qquser, qvc102, qqjnum, qq1000, qqi6 as temps_execution from gdata.dump_cache a join job_act b on QQJOB = JOB_NAME_SHORT and QQUSER = JOB_USER and QQJNUM = JOB_NUMBER where substr(QQ1000 , 1, 6) = ‘SELECT’ order by qqi6 desc
Vous pouvez changer vos critères de tri et de sélection, ici on est en mode pompier ? Vous pouvez planifier cette requête et la faire tourner plusieurs fois par jour sur votre système en gardant le résultat ou les dump cache.
Nous avons packagé ce script pour faire une commande WRKSQLJOB que vous pouvez trouver ici !