, , Utilisez de l’Unicode en 5250

Unicode permet d’encoder des caractères complexes sous deux octets

Un site pour avoir des informations supplémentaires

https://fr.wikipedia.org/wiki/Unicode

Vous voulez afficher des caractères Unicode dans votre session 5250,

parce que vous travaillez avec la chine par exemple.

Voici un petit exemple pour vous indiquer les grandes étapes

Rappel:

Pour avoir des caractères Unicode, vos zones doivent être déclarées comme ceci

NOM VARGRAPHIC(30) CCSID 1200 NOT NULL

Vous pouvez insérer des caractères dans votre table par SQL par exemple

Exemple chinois et russe

INSERT INTO NOMTBL (NOM) VALUES(
(‘张’), (‘Иванов’) )

Dans votre DSPF, vous pouvez déclarer zones par référence

niveau fichier
A REF(*LIBL/NOMTBL)

niveau zone
A NOM R O 6 4REFFLD(PERSONNES/NOM *LIBL/NOMTBL)

Vous obtiendrez le résultat suivant ;

Vous devrez également indiquer sur la commande de compile de l’écran (CRTDSPF),

le paramètre IGCDTA(*YES)

Votre session ACS devra supporté l’Unicode comme ceci

Votre programme en RPGLE par exemple n’aura aucune différence par rapport à des caractères latins

Voici le résultat d’un affichage

Remarque :


Vous pouvez faire beaucoup de choses
Tout n’est pas parfait , pas de solution simple pour utiliser les MSGID et MSGCON …

Vous devrez avoir un clavier qui vous permet de saisir les caractères souhaités

, Mettez des relations dans votre DB

Vous êtes en train d’analyser votre data base et vous voulez mettre en place des relations sur celle-ci.

Je vais vous re présenter les contraintes d’intégralité référentielles
et plus précisément pour voir et comprendre les données en attente de validation .

Voici un petit exemple pour illustrer :
Considérons un fichier pour les employés et un pour les services services :


Création du fichier des services
CREATE OR REPLACE TABLE GDATA.CST2 (
SERVICE CHAR(3) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT  » ,
LIBEL CHAR(30) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT  » ,
CONSTRAINT GDATA.Q_GDATA_CST2_SERVICE_00001 PRIMARY KEY( SERVICE ) )

RCDFMT CST2F ;


1/ Création du fichier des employés avec une contrainte

CREATE OR REPLACE TABLE GDATA.CST1 (

NUMERO DECIMAL(5, 0) NOT NULL DEFAULT 0 ,
NOM CHAR(30) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT  » ,
PRENOM CHAR(30) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT  » ,
SERVICE CHAR(3) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT  » ,
PRIMARY KEY( NUMERO ) ,
CONSTRAINT GDATA.Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001
FOREIGN KEY( SERVICE )
REFERENCES GDATA.CST2 ( SERVICE )
ON DELETE NO ACTION
ON UPDATE NO ACTION )

RCDFMT CST1F ;

Vous pouvez ajouter la contrainte ultérieurement avec

  • la commande :

ADDPFCST FILE(GDATA/CST1)
TYPE(REFCST) KEY(SERVICE) PRNFILE(GDATA/CST2) PRNKEY(SERVICE) DLTRULE(NOACTION)
UPDRULE(*NOACTION)

  • le SQL

ALTER TABLE GDATA.CST1
ADD CONSTRAINT GDATA.Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001
FOREIGN KEY( SERVICE )
REFERENCES GDATA.CST2 ( SERVICE )
ON DELETE NO ACTION
ON UPDATE NO ACTION ;

2/ Alimentation des données

Création des services

INSERT INTO GDATA/CST2 VALUES(‘COM’, ‘Comptabilité’)
INSERT INTO GDATA/CST2 VALUES(‘PRO’, ‘Production ‘)

Création des employés

INSERT INTO GDATA/CST1 VALUES(01, ‘Berthoin’, ‘Pierre-Louis’, ‘COM’)
INSERT INTO GDATA/CST1 VALUES(02, ‘Berthoin’, ‘Younes ‘, ‘PRO’)

Sur une insertion avec service inexistant, un message d’erreur est produit

INSERT INTO GDATA/CST1 VALUES(03, ‘Berthoin’, ‘Yasmine ‘, ‘CRP’)

ID message . . . . . . : SQL0530

Message . . . . : Opération non admise par la contrainte référentielle
Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001 de GDATA.

Sur une suppression de service avec des employés liés, un message d’erreur est produit

DELETE FROM GDATA/CST2 WHERE SERVICE = ‘PRO’

ID message . . . . . . : SQL0532

Message . . . . : Suppression impossible à cause de la contrainte
référentielle Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001 de GDATA.

Il est possible de désactiver la contrainte :

CHGPFCST FILE(GDATA/CST1)
CST(‘Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001’)
STATE(*DISABLED)

Une fois les contrôles désactivés, les requêtes précédentes s’exécutent

DELETE FROM GDATA/CST2 WHERE SERVICE = ‘PRO’

INSERT INTO GDATA/CST1 VALUES(03, ‘Berthoin’, ‘Yasmine ‘, ‘CRP’)

Lorsqu’on remet la contrainte :

CHGPFCST FILE(GDATA/CST1)
CST(‘Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001’)
STATE(ENABLED) CHECK(YES)

Les valeurs de clé de la contrainte référentielle sont incorrectes.
Vérification en instance pour le fichier CST1.

Si vous avez des anomalies, vous devez désactiver la contrainte :

CHGPFCST FILE(GDATA/CST1)
CST(‘Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001’)
STATE(*DISABLED)

Pour voir les enregistrements en attente de validation :

DSPCPCST FILE(GDATA/CST1)
CST(‘Q_GDATA_CST1_SERVICE_00001’)
OUTPUT(*)

Pas de service SQL mais un peu d’astuce et c’est ok

Il suffit de chercher les employés avec un service inexistant

CREATE TABLE QTEMP.ATTENTES AS
(SELECT *
FROM GDATA.CST1 A
WHERE NOT EXISTS (
SELECT *
FROM GDATA.CST2 B
WHERE A.SERVICE = B.SERVICE
AND B.SERVICE IS NOT NULL))
WITH DATA;

Remarque :

Vous pouvez passer cette commande avant de mettre en œuvre votre contrainte !
Vous pourrez ainsi mettre des relations dans votre application sans risque

Vous pouvez ensuite utiliser, un outil de modélisation :

https://gitmind.com/fr/schema-base-donnees.html

Vous avez également des extensions dans Visual Studio Code

ou utiliser un simple Chatgpt avec un prompt du style :

« Peux tu me faire un schéma format PNG des relations de ma base de données avec les scriptes ci joint  »

FK Foreign key

PK Primary key

Rien de magique , mais si on peut renseigner et documenter sa base, c’est toujours ça de fait

, , Utilisez DRDA sur #IBMi

Dans ACS vous avez des exemples comme si dessous

Vous indiquer le nom de votre base de données distantes et vous exécuter votre requête sur le système distant.

derrière cette requête ce cache un protocole nommé DRDA , comme ODBC il permet de ce connecté à une base de donnée distante.

Nous allons voir comment le mettre en œuvre .

sur le système source
Vous devez créer une entrée pour la base de données

le plus simple c’est de passer par la commande WRBRDBDIRE , vous ajouterez une connexion IP à votre système distant.

Sur le système cible
Vous devez paramétrer le service par la commande CHGDDMTCPA , il faut avoir le même mode d’authentification que la base de données distante, par défaut user + mot de passe
vous devez démarrer le service STRTCPSVR *DDM

voila c’est tout
vous pouvez à partir de votre système source faire un connect SQL sur votre système cible si vous avez un mot de passe.

Si vous ne voulez pas renseigner de mot de passe comme dans les exemples ACS vous allez devoir utiliser sur votre système source les postes poste d’authentification serveur.
Pour les ajouter vous avez la commande ADDSVRAUTE, vous devrez également avoir mis la valeur système QRETSVRSEC à ‘1’ pour que vos mots de passe soit enregistrés

il est conseillé d’ajouter un poste générique, par exemple QDDMDRDASERVER en indiquant un user et un mot de passe du système cible !

il n’y a pas de commande WRKSRVAUTE mais vous pouvez en trouver une ici https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/GTOOLS/

Exemple :

A partir de ce moment la mot de passe sera passé directement.

Vous pouvez facilement, par des services sql comparer 2 partitions (valeurs systèmes, fonctions , etc …)

Remarques

Les noms doivent être en majuscule
il est conseillé de mettre un programme d’exit de contrôle
Attention, vous pouvez vous connecter avec un utilisateur *disabled
Les fichier DDM sur IP s’appuient sur cette technologie

, , Nommer un groupe d’activation pour des programmes RPGLE

Vous voulez nommer votre groupe d’activation pour toute une application
donc sans indiquer d’option dans le source qui seraient prioritaires par rapport à votre commande de compile

On va parler ici des BIND c’est l’opération que fait une commande pour compiler le module et l’assembler pour en faire un programme

Pour les sources RPGLE

C’est simple vous avez un paramètre

CRTBNDRPG PGM(GDATA/AAACTGRP)
SRCFILE(GDATA/QRPGLESRC)
SRCMBR(AAACTGRP)
DFTACTGRP(NO) ACTGRP(GAIA) <======== c’est ici

Pour les SQLRPGLE

Vous n’avez pas le paramètre ACTGRP dans la commande CRTSQLRPGI

il faut donc passer par les options de compile c’est le paramètre COMPILEOPT

CRTSQLRPGI OBJ(GDATA/AAACTGRP2)
SRCFILE(GDATA/QRPGLESRC)
SRCMBR(AAACTGRP2)
OBJTYPE(PGM) REPLACE(NO)
COMPILEOPT(‘DFTACTGRP(*NO) ACTGRP(GAIA)’) <====== comme ceci

On est obligé de mettre les 2 paramètres même si DFTACTGRP(*NO) dans le source ????

Attention, il n’y a pas de contrôle de syntaxe sur le paramètre

Remarque

Bien sur mes informations concernent les binds, pour l’assemblage de modules l’option est dans la commande CRTPGM directement

, , , Connaitre la bibliothèque du programme en cours

Vous voulez connaitre la bibliothèque d’un programme en cours d’exécution, pour ajouter cette bibliothèque par exemple, pour contextualiser un exit programme, un watcher, un trigger ou pour limiter un environnement prod, versus dev.
Le tout, sans harcoder une bibliothèque qui figera votre code et vos environnements.

Voici 2 exemples

En RPGLE

dcl-ds *N PSDS ;                  
  bibli_du_pgm CHAR(10) POS(81);  
  nom_du_pgm CHAR(10) POS(1);     
 End-ds ;                          
dcl-s present ind ;
// on tente d'ajouter la bibliothèque
 exec sql                                                                  
 call qcmdexc('Addlible ' concat :bibli_du_pgm concat ' *FIRST') ;         
if sqlcode = 0 ;
  present = *on ;
endif ;
// votre traitement ici
// on enlève si on a ajouté 
if present = *on ;
 exec sql                                                                  
 call qcmdexc('Rmvlible ' concat :bibli_du_pgm ) ;         
endif ;

En CLLE

PGM                                                    
            DCL        VAR(&DATA) TYPE(*CHAR) LEN(80)  
            DCL        VAR(&LIB) TYPE(*CHAR) LEN(10)   
            DCL        VAR(&PGM) TYPE(*CHAR) LEN(10)   
            DCL        VAR(&TEMOIN) TYPE(*LGL)
 /* Paramétrage de l'appel */                          
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA  1 4)) VALUE(80) 
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA  5 4)) VALUE(80) 
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA  9 4)) VALUE( 0) 
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA 13 4)) VALUE( 0) 
 /* Appel de la procédure */                           
            CALLPRC    PRC('_MATPGMNM') PARM(&DATA)    
 /* Extraction des informations  */                    
            chgvar &pgm %SST(&DATA 51 10)              
            chgvar &lib %SST(&DATA 19 10) 
/* ajout de la bibliothèque */
ADDLIBLE &LIB *FIRST
monmsg cpf2103 exec(do)
chgvar &temoin '1'
enddo 
/* Votre traitement ici */
/* on enlève si on a ajouté */
if cond(*not &temoin) then(do)
RMVLIBLE &LIB
enddo          
ENDPGM          

Remarque :

On a mis également le programme en cours dans les exemples

On a mis le code pour enlever la bibliothèque après le traitement, uniquement si c’est notre programme qui l’a ajouté.


En RPGLE si vous avez un fichier vous devrez déclarer votre fichier en USROPN et ouvrir le fichier par un OPEN, après avoir ajouté la bibliothèque

Gestion de l’IDENTITY d’une table

Que se passe-t-il si on définit soi-même une zone IDENTITY lors de la mise à jour d’une table ?

Ce n’est évidemment pas la meilleure des idées qu’on puisse avoir, mais parfois dans l’urgence d’une correction de données …

  • Commençons par créer une table de tests avec une zone identité de type bigint :
CREATE TABLE NK.IDENT
(
ID BIGINT GENERATED BY DEFAULT AS IDENTITY (
  START WITH 1  INCREMENT BY 1
  NO MINVALUE  NO MAXVALUE
  NO CYCLE NO ORDER),
 NOM_SQL_ZONE_CHAR FOR COLUMN ZONECHAR CHAR(20) NOT NULL DEFAULT '',
 CONSTRAINT IDENT_PK PRIMARY KEY( ID)
)
RCDFMT RIDENT  ;
RENAME TABLE NK.IDENT TO TESTS_IDENTITY
 FOR SYSTEM NAME IDENT;
  • Les zones qui nous intéressent dans la vue syscolumns de QSYS2  ressemblent à ça :
select column_name,
       is_identity,
       identity_generation,
       identity_minimum,
       identity_maximum 
  from qsys2.syscolumns
 where system_table_name ='IDENT'
   and system_table_schema ='NK'
order by ordinal_position;
  • Alimentation de la table avec quelques enregistrements
 insert into nk.ident (Zonechar) values ('Insert Zone2 #1');
 insert into nk.ident (Zonechar) values ('Insert Zone2 #2');
 insert into nk.ident (Zonechar) values ('Insert Zone2 #3');
 insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (DEFAULT, 'Insert Zone2 #4');
 insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (DEFAULT, 'Insert Zone2 #5');
 insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (DEFAULT, 'Insert Zone2 #6');

On peut ignorer ID ou le renseigner en DEFAULT, la table est alimentée :

select * from nk.ident;
  • Que se passe-t-il si je définis moi-même ID lors d’un insert ?

Si l’identity est déjà occupée par un enregistrement : SQL n’accepte pas l’instruction, il fait ce qu’on lui a demandé !

insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (1, 'Insert KO');
  • Si je fais des insertions de données dans IDENT en définissant moi-même des ID libres :
insert into nk.ident
 select id+6, trim(zonechar) || ' Cpy' from nk.ident;

Tout semble s’être bien passé :

select * from nk.ident;

Si j’interroge SQL sur la dernière valeur IDENTITY qu’il a géré :

values (IDENTITY_VAL_LOCAL());

Tout semble encore correct.

Mais si je refais une insertion de données en laissant à nouveau SQL gérer l’identity :

insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (DEFAULT, 'Insert Zone2 #7');

On consulte la log du travail comme le message d’erreur nous invite :

select message_second_level_text 
  from table(qsys2.joblog_info('111778/QUSER/QZDASOINIT')) 
 where message_id = 'CPF5009';

Deux enregistrements sont trouvés :

&N Cause . . . . . :   L’opération d’écriture ou de mise à jour dans le membre numéro 1 (enregistrement numéro 0, format RIDENT) pour le membre IDENT du fichier IDENT, se trouvant dans NK, n’a pas abouti.Le membre numéro 1 (enregistrement numéro 1, format RIDENT) a la même clé d’enregistrement que le membre numéro 1 (enregistrement numéro 0, format RIDENT). Si ce numéro d’enregistrement est 0, la clé d’enregistrement en double a été créée lors d’une opération d’écriture.

&N Que faire . . . : Modifiez les clés en double, de sorte que chaque enregistrement ait une clé unique. Renouvelez la demande.

&N Cause . . . . . :   L’opération d’écriture ou de mise à jour dans le membre numéro 1 (enregistrement numéro 0, format RIDENT) pour le membre IDENT du fichier IDENT, se trouvant dans NK, n’a pas abouti. Le membre numéro 1 (enregistrement numéro 7, format RIDENT) a la même clé d’enregistrement que le membre numéro 1 (enregistrement numéro 0, format RIDENT). Si ce numéro d’enregistrement est 0, la clé d’enregistrement en double a été créée lors d’une opération d’écriture.

&N Que faire . . . : Modifiez les clés en double, de sorte que chaque enregistrement ait une clé unique. Renouvelez la demande.

Le premier message est relatif à la tentative d’insertion « insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (1, ‘Insert KO’); » tentée plus haut et pour laquelle l’erreur était attendue.

Le second message est relatif à «insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (DEFAULT, ‘Insert Zone2 #7’); »

SQL a tenté d’utiliser la valeur suivante de la dernière identity qu’il a lui-même géré, mais a échoué car la valeur IDENT.ID=7 existe déjà.

Si on retente l’insertion qui vient juste d’échouer :

insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (DEFAULT, 'Insert Zone2 #7');

Elle échoue de la même façon, sauf que cette fois SQL a tenté d’utiliser l’ID = 8 :

&N Cause . . . . . :   L’opération d’écriture ou de mise à jour dans le membre numéro 1 (enregistrement numéro 0, format RIDENT) pour le membre IDENT du fichier IDENT, se trouvant dans NK, n’a pas abouti. Le membre numéro 1 (enregistrement numéro 8, format RIDENT) a la même clé d’enregistrement que le membre numéro 1 (enregistrement numéro 0, format RIDENT). Si ce numéro d’enregistrement est 0, la clé d’enregistrement en double a été créée lors d’une opération d’écriture.

&N Que faire . . . : Modifiez les clés en double, de sorte que chaque enregistrement ait une clé unique. Renouvelez la demande.

  • Comment corriger la situation ?

La solution pour se sortir de là si on a fait 3000 insertions ne va pas être de tenter 3000 insertions bidons pour que la table ait son compteur interne gérant l’identity à jour (d’ailleurs, si quelqu’un sait où il se cache je suis preneur).

On récupère la dernière ID utilisée dans la table :

select max(ID) from nk.ident ;

Et on ajoute 1 pour mettre à jour la table :

alter table nk.ident
alter column id restart with 13;

L’instruction précédente :

insert into nk.ident (ID, Zonechar) values (DEFAULT, 'Insert Zone2 #7'); 

se passe bien maintenant et la numérotation de IDENT.ID a bien repris normalement :

 select * from nk.ident;

Pour se prémunir de tout ceci, il suffit de vérifier la nature de la clé primaire d’une table avant de commencer à y insérer des enregistrements.

Sur DB2 l’usage d’IDENTITY dans une table SQL n’est pas très répandu, il est donc nécessaire de comprendre la structure d’une table avant de l’utiliser. L’IDENTITY se révèle alors pratique tant qu’on laisse le système la gérer. On peut bien sûr, dans des cas exceptionnels, la gérer soi-même si on fait attention…

, , , Utilisez les journaux Système

IBM fourni un certain nombre de journaux systèmes que vous pouvez Analyser, la plus part sont dans QUSRSYS et d’autres sont dans QSYS.

Un petit lien ici pour avoir une liste

https://www.ibm.com/docs/fr/i/7.5?topic=journals-working-supplied

Premier exemple, Analyse de l’ajustement des pools mémoires

Mise en œuvre

Valeur système QPFRADJ doit être à 3 ou 2

Vous devez créer le récepteur et le journal

CRTJRNRCV JRNRCV(QUSRSYS/QPFRADJ)
CRTJRN JRN(QSYS/QPFRADJ) JRNRCV(QUSRSYS/QPFRADJ)


Analyse par les fichiers supports ( c’est des fichiers modèles qui sont dans QSYS )
CRTDUPOBJ OBJ(QAWCTPJE) FROMLIB(QSYS) OBJTYPE(*FILE) TOLIB(Votrebib) NEWOBJ(QPFRADJTP)

DSPJRN JRN(QSYS/QPFRADJ) ENTTYP(TP) OUTPUT(*OUTFILE) OUTFILE(Votrebib/QPFRADJTP)

pour analyser le suivi ici du pour des travaux interactifs

SELECT TPPNAM, TPFLG1, TPCSIZ, TPCRES, TPCACT, TPDFLT, TPNFLT,
TPWI, TPAW, TPCJOB, TPAJOB, TPNSIZ, TPNACT
FROM Votrebib/QPFRADJTP
WHERE TPPNAM = ‘*INTERACT’
order by TPDATE, TPTIME

Deuxième exemple, voir les ports filtrés sur votre partition

Analyse par services SQL

create table votrebib.analyse as(
WITH Log_Port AS (
SELECT CAST(ENTRY_DATA AS VARCHAR(1000)) AS entry
FROM TABLE (
QSYS2.DISPLAY_JOURNAL(‘QUSRSYS’, ‘QIPFILTER’, JOURNAL_ENTRY_TYPES => ‘TF’)
)
)
SELECT SUBSTR(entry, 1, 10) AS line,
SUBSTR(entry, 29, 15) AS AdrSrcIp,
SUBSTR(entry, 44, 5) AS SrcPort,
SUBSTR(entry, 49, 15) AS AdrDestIp,
SUBSTR(entry, 64, 5) AS DestPort
FROM Log_Port
) WITH DATA;

Remarques

Certains journaux sont en standard , d’autres devront être démarrés
Si vous n’analysez pas ne les démarrer pas
Pensez à faire le ménage dans les récepteurs si vous les démarrez

Merci à Sylvain pour ca suggestion

, , Trigger sur insert

Vous voulez créer un trigger qui vous indique la création d’un enregistrement dans un fichier par exemple pour superviser, dans notre exemple on enverra un email , il est conseillé de faire un fichier de paramétrage

En CLLE soit le programme Alerte_msg


             PGM        PARM(&BUFFER &BUFLEN)             
/* Paramètres */                                          
             DCL        VAR(&BUFFER) TYPE(*CHAR) LEN(200) 
             DCL        VAR(&BUFLEN) TYPE(*CHAR) LEN(4)   
/* Variables de travail */                                
             DCL        VAR(&USR) TYPE(*CHAR) LEN(10)     
             DCL        VAR(&JOB) TYPE(*CHAR) LEN(10)     
             DCL        VAR(&NBR) TYPE(*CHAR) LEN(06)
             DCL        VAR(&EMAIL) TYPE(*CHAR) LEN(50)
             DCL        VAR(&SUJET) TYPE(*CHAR) LEN(100)
             DCL        VAR(&NOTES) TYPE(*CHAR) LEN(200)
             RTVJOBA    JOB(&JOB) USER(&USR) NBR(&NBR)    
             CHGVAR     VAR(&EMAIL) VALUE('votre@mail.fr')
             CHGVAR     VAR(&SUJET) VALUE('Enregistrement crée')
             CHGVAR     VAR(&NOTES) VALUE('Job :' +
                          *BCAT &NBR *TCAT '/' *TCAT &USR *TCAT '/' +
                          *TCAT &USR)                                    
 SNDSMTPEMM RCP((&EMAIL)) SUBJECT(&SUJET) NOTE(&NOTES) +
             CONTENT(*HTML)            
  MONMSG     MSGID(CPF0000) EXEC(GOTO CMDLBL(ERREUR))
goto fin                                                           
/* Gestion des erreurs  */                                         
erreur:                                                            
             SNDUSRMSG  MSG('Envoi email impossible pour msgint ' +
                          *bcat &job *bcat &usr *bcat &nbr ) +     
                          MSGTYPE(*INFO)                           
fin:                                                               
ENDPGM 

Pour attacher votre programme et enregistrer votre trigger

 ADDPFTRG   FILE(&LIB/REP_VALID) TRGTIME(*AFTER)     
              TRGEVENT(*INSERT) PGM(&LIB/ALERT_MSG) 
              TRGLIB(&LIB) 

&lib sera le nom de votre bibliothèque

En SQL ca créera un programme CEE et ca l’associera au trigger

CREATE OR REPLACE TRIGGER ALERTE_MSG                                   
 AFTER  INSERT ON REP_VALID                                            
 REFERENCING NEW AS N                                                  
 FOR EACH ROW                                                          
 MODE DB2ROW                                                           
-- email destinataire                                                  
 BEGIN                                                                 
DECLARE W_EMAIL CHAR(50);                                              
DECLARE W_SUJET CHAR(100);                                             
DECLARE W_NOTES CHAR(200);                                             
DECLARE EXIT HANDLER FOR SQLSTATE '38501'                              
 RESIGNAL SQLSTATE '38501' SET MESSAGE_TEXT = 'ENVOI MAIL IMPOSSIBLE.';
SET W_NOTES = 'Job : ' concat trim(N.REPNBR)                  
concat '/' concat trim(N.REPUSER) concat '/' concat trim(N.REPJOB) ;
SET W_EMAIL = 'votre@email.fr' ;                 
SET W_SUJET = 'Enregistrement crée' ;   
CALL QCMDEXC('SNDSMTPEMM RCP((''' concat trim(w_email) concat           
''')) SUBJECT(''' concat trim(replace(w_sujet , '''', '"'))             
concat ''') NOTE('''                                                    
concat trim(replace(W_NOTES , '''' , '"')) concat''') CONTENT(*HTML)') ;
END;  

Remarques :

Dans les 2 cas si l’utilisateur n’est pas inscrit à la liste de distribution votre email ne sera pas envoyé
c’est plus simple de gérer l’erreur en CLP.
Si vous devez accéder aux données du buffer ca sera plus rapide et plus simple en SQL ici n.zone

C’est des triggers après , puisque l’information doit être écrite dans tous les cas .

, , Afficher plusieurs colonnes d’enregistrements dans un sous-fichier

Contexte

Un sous-fichier nous permet d’afficher un nombre de lignes qui est limité par la taille de l’écran.
Cette taille est définie dans le script source de l’écran par le paramètre SFLPAG.

On possède un fichier que l’on souhaite afficher et qui contient plus de 19 enregistrement. Il serait donc intéressant de l’afficher sur plusieurs colonnes.

Solution

Une petite modification du script source permet de créer un sous fichier qui contient plusieurs colonnes. Il faut donc indiquer le nombre total de données que l’on souhaite voir à l’écran dans SFLPAG ainsi que le nombre de caractère qui séparent deux colonnes

La maquette se présente ainsi, le paramètre de SFLLIN correspond à l’espace (en caractères) entre deux colonnes.

En exécutant le programme, on obtient :

, , Intégrer Windows dans vos applications 5250

Vous avez des possibilités en standard sur votre IBMi :
Pour générer du PDF
Pour générer du CSV
Pour Générer du TXT

Comment rendre efficace et intégrer ces fichiers sous WINDOWS ?

1 ) Le profil utilisateur propose en standard un répertoire par défaut, /home/votreuser.

Vous devez créer cette directory qui deviendra alors votre répertoire par défaut.
La prise en compte est à la prochaine connexion
Vous pouvez contrôler en faisant
==> WRKLNK

2 ) Sur l’ibmi vous devez monter un partage, s’il n’existe pas encore sur le répertoire /home

3 ) Sur votre PC il est conseillé de monter un partage windows sur /home/votreuser chez nous lettre P.

4 ) Sur votre PC vous devrez vérifier que vos associations d’extension de fichier sont bien rattachées au bon logiciel

5 ) Vous devez ensuite générer le fichier

Exemple :

Génération d’un csv par les commandes de l’IBMI

CPYTOIMPF FROMFILE(QGPL/QAUOOPT)
TOSTMF(Liste_Options_PDM.csv)
MBROPT(REPLACE) STMFCCSID(PCASCII)
RCDDLM(CRLF) STRDLM(NONE) FLDDLM(‘;’)
ADDCOLNAM(*SQL)

Le fichier produit s’appelle Liste_Options_PDM.csv

Si vous allez dans le partage windows vous le voyez

Si on voulait boucler la boucle il faudrait pouvoir le lancer directement à partir de l’interface 5250

Vous disposez de 2 commandes coté IBMi pour faire

La première (STRPCO) va démarrer l’intégrateur qui va vous permettre de passer des commmandes sur votre pc

La deuxième (STRPCCMD) va exécuter la commande windows demandée

Ci joint un petit scripte pour enchainer tout ca ici c’est un programme indépendant, mais vous pouvez facilement le glisser dans un pgm de services

Je vous ai joint une commande pour habiller, si vous voulez tester

Le programme

**free
 // Paramètres
DCL-PI *N;
  P_Commande         CHAR(1023);  // IN / COMMANDE À EXECUTER
  P_Status           CHAR(02);    // OUT/ STATUS KO ET OK
END-PI;
if %parms() < 2 ;
dsply 'Ce programme nécessite 2 paramétres' ;
  *inlr = *on ;
  return ;
endif ;
  // démarrage de PCO
  exec sql call qsys2.qcmdexc('STRPCO') ;
  // démarrage de explorer
  exec sql
  call qsys2.qcmdexc('STRPCCMD PCCMD(''' concat :P_Commande  concat ''') PAUSE(*NO)') ;
  if sqlcode = 0 ;
    P_Status = 'OK'  ;
  else ;
    P_Status = 'KO'  ;
  endif ;
// Fin de programme
*inlr = *on ;

La commande

             CMD        PROMPT('Exécution commande windows')
             PARM       KWD(COMMANDE) TYPE(*CHAR) LEN(1023) +
                          DFT(EXPLORER) PROMPT('Commande windows')
             PARM       KWD(STATUS) TYPE(*CHAR) LEN(2) +
                          PMTCTL(*PMTRQS) PROMPT('Status sur +
                          l''exécution')

Exemple :

On demande l’ouverture du fichier généré

==>EXECWIND COMMANDE(‘P:LISTE_DES_OPTIONS_DE_PDM.CSV’)
P: lettre de partage
.CSV associé à excel

Conclusion :

Simple mais efficace
Ne pas oublier de faire du ménage dans les répertoires utilisateurs