Depuis la TR4 de la V7R4, vous pouvez passer votre propre SQLSTATE ce qui est très intéressant sur les triggers avants par exemple.
Vous pouvez avoir la vraie raison du refus
C’est un petit pas pour SQL, mais un grand pas pour le développeur SQL
Exemple
Création de la table
CREATE OR REPLACE TABLE ARTICLE (
NOMART CHAR(30) CCSID 297 NOT NULL DEFAULT » ,
NUMART DECIMAL(6) ,
DESIGN CHAR(25) CCSID 297 NOT NULL DEFAULT » ,
PRXUNI DECIMAL(6)
)
Insertion d’un article (Je sais, je surfe sur l’actualité du moment)
INSERT INTO ARTICLE VALUES(‘Maillot Benzema’, 19,
‘Maillot Benzema EDF’, 166)
tentative de mise à jour
UPDATE ARTICLE SET PRXUNI = 167 WHERE NUMART = 19
Création d’un trigger de controle
ici on teste que l’utilisateur est bien ‘DBADMIN’ pour pouvoir modifier le tarif
CREATE OR REPLACE TRIGGER ARTICLETRG
BEFORE UPDATE OF PRXUNI ON ARTICLE
FOR EACH ROW
BEGIN ATOMIC
IF CURRENT USER <> ‘DBADMIN’ THEN
SIGNAL SQLSTATE ‘DB999’
SET MESSAGE_TEXT = ‘UTILISATEUR NON AUTORISÉ’;
END IF;
END;
Par SQL
Maintenant dans un programme RPGLE
On va utiliser get diagnostics pour récupérer le SQLTATES et le Message associé
**free
dcl-s MessageText char(45) ;
dcl-s ReturnedSQLState char(5);
exec sql SET OPTION COMMIT = *NONE ;
// test mise à jour trigger
exec sql
UPDATE ARTICLE SET PRXUNI = 167 WHERE NUMART = 19 ;
exec sql
get diagnostics condition 2
:ReturnedSQLState = RETURNED_SQLSTATE ,
:MessageText = MESSAGE_TEXT;
dsply (ReturnedSQLState + ‘ ‘ + MessageText) ;
*inlr = *on ;
Vous lancez le programme
Conclusion :
c’est une nouveauté qui devrait simplifier le contrôle des triggers est donc leur usage.